Tag Archive | "Anticipation"

Critique Film Cinéma : “Hunger Games – L’embrasement” – Mercredi 27 novembre 2013

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma : “Hunger Games – L’embrasement” – Mercredi 27 novembre 2013


Critique Film Cinéma Mercredi 27 novembre 2013

Hunger Games 2 : La domination !
FILM HUNGER GAMES 2HUNGER GAMES – L’EMBRASEMENT
Action (02h26min) – Date de sortie : 27/11/2013
De Francis Lawrence
Avec Jennifer Lawrence, Liam Hemsworth…

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.

Katniss Everdeen est rentrée chez elle saine et sauve après avoir remporté la 74e édition des Hunger Games avec son partenaire Peeta Mellark. Puisqu’ils ont gagné, ils sont obligés de laisser une fois de plus leur famille et leurs amis pour partir faire la Tournée de la victoire…


Bande-Annonce : HUNGER GAMES – L’EMBRASEMENT

Critique Film : HUNGER GAMES – L’EMBRASEMENT de Francis Lawrence avec Jennifer Lawrence, Liam Hemsworth…

Par Franck DIPPA PRISO

Katniss Everdeen est rentrée chez elle saine et sauve après avoir remporté la 74e édition des Hunger Games avec son partenaire Peeta Mellark.
Puisqu’ils ont gagné, ils sont obligés de laisser une fois de plus leur famille et leurs amis pour partir faire la Tournée de la victoire dans tous les districts. Au fil de son voyage, Katniss sent que la révolte gronde, mais le Capitole exerce toujours un contrôle absolu sur les districts tandis que le Président Snow prépare la 75e édition des Hunger Games, les Jeux de l’Expiation – une compétition qui pourrait changer Panem à jamais…

Le film “Hunger Games “II” – L’embrasement” est bien peut-être même mieux que le premier volet.
Ce projet est à destination des adolescents et des jeunes adultes.
La tension dramatique est si grande qu’au bout de plus de 2 heures la fin surprend bien le spectateur.
La saga “Hunger Games” a un bel avenir devant elle.
L’amour (compliqué), l’espoir, l’humanité, la compassion et l’amitié (bizarre) sont les bonnes valeurs que Katniss partage aux spectateurs en héroïne idéale.

Le scénario est brillamment élaboré et contient des thèmes intelligents qui parlent aux adolescents de toutes les tranches d’âge.
C’est une histoire de combat, de bataille, de guerre contre une dictature représentée par une société nommée Panem.
Ce concept est judicieux et efficient.
Les épreuves ou les jeux sont grandioses et complexes. Le tout est bien expliqué dans des dialogues qui dynamisent l’ensemble avec l’action, ce qui évite une narration spatio-temporelle difficile à mettre en place.

Les projets cinématographiques “Hunger Games” sont souvent comparés au long-métrage Japonais “Battle Royale”.
Sauf que “Hunger Games” est bien plus édulcoré, bien plus doux que le saignant “Battle Royale”.
L’appel à la révolte est tout à fait évident il n’y a pas besoin d’en faire plus, d’être extrême pour faire passer le message. La violence la plus importante se décline sous différentes formes (pendaison, strangulation, et éviscération). Et l’effet émotionnel et dramatique est bien là.

Le réalisateur Francis Lawrence fait un très bon travail de réalisation.
Le plus gros problème du film “Hunger Games – L’embrasement” est la présence constante de la caméra “agitée” et mal gérée pendant les luttes et autres situations dangereuses.
Les décors sont remarquables.
Les costumes sont magnifiques.
Dans l’ensemble le jeu des acteurs est correct. sauf peut-être au début, Jennifer Lawrence semble surjouer un poil son rôle.

La fin est intéressante et captivante.
On ne devine pas facilement la fin.
Le suspense reste entier pour l’héroïne et les autres (ok, plus pour les autres).
De plus, il reste deux films à réaliser, ce qui promet des suites encore d’un autre niveau.

Le long-métrage “Hunger Games – L’embrasement” est un franc succès et je pense vous aurez hâte de vite découvrir les surprises des prochains chapitres.

Les + :

* L’histoire accrocheuse
* La tension dramatique forte
* Les beaux décors
* Les ravissants costumes
* L’action
* Le suspense

Les – :

* La caméra “épileptique”
* L’interprétation un peu exagérée de Jennifer Lawrence au début

Thèmes : Adaptation de roman, adolescent, adolescence, anticipation, futur, avenir proche, rébellion, sœurs, suite, sequel, triangle amoureux etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (0)

Critique Film Cinéma “Looper” Mercredi 31 Octobre 2012

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma “Looper” Mercredi 31 Octobre 2012


Critique Film Cinéma Mercredi 31 Octobre 2012

Un film de science-fiction original, inventif et efficace !
LOOPER
Science-Fiction (01h50min) – Date de sortie : 31/10/2012
De Rian Johnson
Avec Bruce Willis, Joseph Gordon-Levitt…
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

Dans un futur proche, la Mafia a mis au point un système infaillible pour faire disparaître tous les témoins gênants. Elle expédie ses victimes dans le passé, à notre époque, où des tueurs d’un genre nouveau (les “Loopers”) les éliminent…

Bande-Annonce : LOOPER

Critique Film : LOOPER de Rian Johnson avec Bruce Willis, Joseph Gordon-Levitt…

Par Franck DIPPA PRISO

Dans un futur proche, la Mafia a mis au point un système infaillible pour faire disparaître tous les témoins gênants. Elle expédie ses victimes dans le passé, à notre époque, où des tueurs d’un genre nouveau (les “Loopers”) les éliminent. Un jour, l’un d’entre eux, Joe, découvre que la victime qu’il doit exécuter n’est autre que… lui-même, avec 20 ans de plus. La machine si bien huilée déraille…

Le voyage dans le temps (sujet complexe au cinéma en terme de cohérence) est bien l’un des principaux thèmes du film blockbuster Looper.
Les acteurs principaux de ce projet de science-fiction sont la star incontestée du film d’action depuis deux décennies Bruce Willis alias Joe plus âgé et Joseph Gordon-Levitt la nouvelle coqueluche d’Hollywood alias Joe plus jeune.
Le long-métrage Looper est distrayant, peu consistant, efficace, le visuel est bon et la narration est captivante.
C’est une très bonne chose car habituellement ce genre de film mise tout sur les effets visuels, l’action et le spectacle.
Dans le cas présent, on cherche à nous surprendre et même à nous faire réfléchir.

Certes, nous pouvons toujours trouver une ou deux choses qui ne collent pas dans la trame narrative de cette thématique peu simple du voyage dans le temps. Mais le labeur de Looper est rigoureux et cela permet de gommer toutes les petites imperfections.
Le récit est accrocheur et bien délivré.
Le voyage dans le temps n’est pas un choix hasardeux, c’est véritablement la colonne vertébrale du film, son axe principal, son moteur.

Le film est direct, dans l’action et clair au niveau de l’information à faire passer.
Malgré tout, les pistes sont parfois floutées et tout ne semble pas être évident (blanc ou noir) et prévisible.
La musique électronique du film apport un dynamisme et un certain réalisme.
La réalisation est maîtrisée, professionnelle et singulière.
Le dosage entre elle et les personnages est appréciable.
Rian Johnson est ici à la fois réalisateur et scénariste. Il est lucide et efficace.

Peu importe si Joseph Gordon-Levitt a un problème avec la prothèse son visage pour ressembler à Bruce Willis, son performance d’acteur est bonne. Bruce Willis est également crédible, c’est aussi le cas d’Emily Blunt alias Sara et l’impressionnant et inquiétant enfant Pierce Gagnon alias Cid.

Le film Looper est au point. Il n’est pas mémorable ou très original, mais c’est un blockbuster (film à gros budget d’Hollywood en général) abouti.

Les + :

* Bon jeu d’acteurs
* Bonne réalisation
* Bonne musique

Les – :

* Petits problèmes de cohérence technique et artistique parfois

Thèmes : Anticipation, Futur, avenir proche, armes insolites, rares, Assassin, Tueur, Meurtrier, Criminel, campagne et champs, Combat, Bagarre, Castagne, Japon, japonais, mafia, pègre, méchants enfants et tueurs en culottes courtes, meurtre d’enfant, relation victime, meurtrier, télékinésie, psychokinésie, traque, voyage dans le temps etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (0)

Critique Film Cinéma “Lock Out” Mercredi 18 Avril 2012

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma “Lock Out” Mercredi 18 Avril 2012


Critique Film Cinéma Mercredi 18 Avril 2012

Après “Le Cinquième Elément” de 1997, Luc Besson propose (à la production cette fois) encore un héros (Snow alias Guy Pearce) dans un monde futuriste. Malheureusement, celui-ci est à des années lumière de Korben Dallas alias Bruce Willis !
LOCK OUT
Thriller (01h36min) – Date de sortie : 18/04/2012
De James Mather, Stephen St. Leger
Avec Guy Pearce, Maggie Grace…

MS One est une prison spatiale expérimentale où les 500 criminels les plus dangereux au monde sont maintenus dans un sommeil artificiel. Chargée d’une mission humanitaire, la fille du Président des Etats-Unis, Emilie Warnock, arrive à bord de la station.

Bande-Annonce : LOCK OUT

Critique Film : LOCK OUT de James Mather, Stephen St. Leger
avec Guy Pearce, Maggie Grace…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

En voyant se film on ne peut pas s’empêcher de penser au long-métrage “Le Cinquième Elément” de Luc Besson ou à “Die Hard” version action futuriste.
Oui mais seulement, il est bien loin des originaux et n’arrive même pas à nous faire un petit peu décoller de terre.
Quoi cela sert-il d’avoir 3 scénaristes sur le projet pour produire au final un histoire si terre-à-terre que peut écrire un enfant de 10 ans ?

Dans le futur, les prisonniers les plus nuisibles sont captifs dans une geôle de l’espace. A la suite d’une révolte sur la prison orbitale où se trouve la fille du président américain Emilie Warnock alias Maggie Grace en visite. Elle est retenue contre sa volonté.
L’individu en mesure de la sauver est Snow alias Guy Pearce, un ancien agent renié.

MS One est une prison spatiale expérimentale où les 500 criminels les plus dangereux au monde sont maintenus dans un sommeil artificiel. Chargée d’une mission humanitaire, la fille du Président des Etats-Unis, Emilie Warnock, arrive à bord de la station. Une mutinerie d’une rare violence y éclate. Emilie et l’équipe du MS One sont prises en otage par les détenus. Le Président décide d’y envoyer l’agent Snow avec pour seule et unique mission de sauver sa fille et personne d’autre…

De l’action, des explosions et de la science-fiction est l’une des recettes des concepts scénaristiques de la société de production EUROPACORP (Luc Besson) depuis quelques années.
Le casting de ce projet a déniché un très bon acteur en la personne de l’acteur Guy Pearce.
Justement, le comédien british est le ovni qui apporte sa personnalité et un brin de folie à cette œuvre assez banale.
Son personnage crève l’écran grâce à son jeu décalé (un mix de sérieux, d’humour et d’action).

La réalisation de James Mather et Stephen Saint Leger (de nouveaux réalisateurs) est confuse.
Les effets spéciaux sont dépassés.
Ce long-métrage est creux et très redondant.
Les combats et les cascades ne sont pas vraiment impressionnants.
Le scénario n’apporte rien de positif par rapport aux classiques du genre, au contraire, il s’empare plus de ce qui est négatif dans ce thème.

Le film “Lock Out” est un mélange de suspense, de complications, et d’action pour une durée de presque deux heures.
Cependant, malgré des rebonds et des effets importants le tout a du mal à vraiment divertir.
Il n’y a pas de vilain à hauteur du héros.
On peut noter un manque notoire de finesse illustré par beaucoup de boucan, de rage, et de violence exécutés par des mâles brutes.

Les + :

* Guy Pearce est talentueux
* C’est un peu drôle

Les – :

* Le scénario est nul
* La mise en scène est dans le bluff
* Les scènes d’action sont de l’ordre du déjà vu et revu
* Le film est trop long pour ce qu’il est

Les thèmes : Action hero, anticipation, Futur, avenir proche, émeute, Espace, astronaute, cosmonaute, films virils et durs à cuir, otages, prise d’otages, premier film, prison, prisonnier, maison de correction, sauvetage, vaisseau spatial et soucoupe volante etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (2)

Critique Film Cinéma “Hunger Games” Mercredi 21 Mars 2012

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma “Hunger Games” Mercredi 21 Mars 2012


Critique Film Cinéma Mercredi 21 Mars 2012

Le téléréalité des survivants futurs !
HUNGER GAMES
Action (02h22min) – Date de sortie : 21/03/2012
De Gary Ross
Avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson…
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

Dans le futur, le gouvernement fédéral des USA exige de chacun de ses 12 districts qu’il envoie un jeune garçon et une jeune fille pour participer aux Hunger Games, un combat à mort retransmis en direct à la télévision.

Bande-Annonce : HUNGER GAMES

Critique Film : HUNGER GAMES de Gary Ross avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

“The Hunger Games” est l’adaptation cinématographique du livre best-seller du même nom. Suzanne Collins est l’auteur de cette trilogie à succès.
Il est évident que “The Hunger Games” veut surfer sur la vague teen sensation comme “Harry Potter” et “Twilight”.
Ce film n’est pas exceptionnel mais il se regarde bien sans problème. C’est un divertissement correct.

Dans un monde contre-utopique, les humains sont isolés dans 12 districts. Une fois par an, des garçons et des filles de 12 et 18 ans doivent se battre entre eux ans un univers mi-réel et mi-virtuel. Une seule personne peut remportée cette compétition mortelle. Katniss alias Jennifer Lawrence est l’élue du district 12. C’est une as de l’arc et des flèches, elle est par conséquent l’une des favorites.

Chaque année, dans les ruines de ce qui était autrefois l’Amérique du Nord, le Capitole, l’impitoyable capitale de la nation de Panem, oblige chacun de ses douze districts à envoyer un garçon et une fille – les “Tributs” – concourir aux Hunger Games. A la fois sanction contre la population pour s’être rebellée et stratégie d’intimidation de la part du gouvernement, les Hunger Games sont un événement télévisé national au cours duquel les tributs doivent s’affronter jusqu’à la mort. L’unique survivant est déclaré vainqueur.
La jeune Katniss, 16 ans, se porte volontaire pour prendre la place de sa jeune sœur dans la compétition. Elle se retrouve face à des adversaires surentraînés qui se sont préparés toute leur vie. Elle a pour seuls atouts son instinct et un mentor, Haymitch Abernathy alias Woody Harrelson, qui gagna les Hunger Games il y a des années mais n’est plus désormais qu’une épave alcoolique. Pour espérer pouvoir revenir un jour chez elle, Katniss va devoir, une fois dans l’arène, faire des choix impossibles entre la survie et son humanité, entre la vie et l’amour…

Si vous aimez les films du genre “Battle Royale” (pour cerains “Hunger Games” est une copie conforme voir même un plagiat de “Battle Royale”), “Death Race” ou “The Running Man” ce long-métrage (avec un peu moins de testostérones) est pour vous.

A l’ère de la téléréalité et du rêve de célébrité toujours grandissant ce projet jette bien un pavé dans la marre.
La compétition du superficielle est bien accentuée et dénoncée.
Ce projet propose une critique sociale claire.
Nous sommes bien là au cœur d’une société ayant un système Big Brother.
Les caméras sont partout, et elles sont alimentées par un spectacle orchestré de toute pièce.
Il n’y a plus d’espoir et de liberté.
Même la contestation n’existe plus.
L’Etat mène une politique presque dictatoriale.
Il est aisé de comparer ce gouvernement aux nôtres tant la répression est de plus en plus présente un peu partout.

Cette œuvre n’est pas un court écrit satirique.
Il s’agit plus d’une bonne distraction, brutale sans trop être féroce. Les notions de confiance, de découverte du potentiel, d’apprentissage, d’adaptation, les leçons, et les morales sont assez classiques.

La hardiesse de la comédienne Jennifer Lawrence est remarquable.
Elle a ici enfin un rôle dans un blockbuster qui va la faire connaître du grand public.
Les autres acteurs comme Woody Harrelson, Donald Shuterland, Lenny Kravitz, Stanley Tucci… sont bons même si leurs personnages manquent de caractère.

La réalisation de Gary Ross (“Pleasantville”) est nerveuse.
La musique est plaisante et elle est signée James Newton Howard. Le film “The Hunger Games” est un mix inhabituel d’action et de catastrophes sociales, saupoudré d’une histoire d’amour tout à fait superflue.
Le résultat est audacieux, et un peu gros, malgré tout l’ensemble n’est pas pénible à regarder, loin de là. Attendons donc les deux prochaines suites.

Les + :

* Ce film est un blockbuster u.s avec un message moral et social
* L’actrice Jennifer Lawrence sort du lot dans ce casting de haut vol
* La mise en scène est compétente efficace cependant les affrontements sont désordonnés
* Il y a beaucoup d’action, un peu d’humour, de l’affection et une histoire d’amour.

Les – :

* La première partie du long-métrage est un peu longue
* Les dialogues sont souvent pauvres
* La critique sociale n’est pas approfondie

Les thèmes : Adaptation de roman, Adolescent, adolescence, amour contrarié, amour impossible, anticipation, Futur, avenir proche, Chanteurs et chanteuses au cinéma, série, Combat, Bagarre, Castagne, compétition, tournoi, couteaux et armes blanches, entraînement, entraîneur et coach, forêt, Survival, tir à l’arc et flèches etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (2)

Critique Film Cinéma “Time Out” Mercredi 23 Novembre 2011

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma “Time Out” Mercredi 23 Novembre 2011


Critique Film Cinéma Mercredi 23 Novembre 2011

“Le temps c’est de l’argent, time is money !”
TIME OUT
Science-Fiction (01h41min) – Date de sortie : 23/11/2011
De Andrew Niccol
Avec Amanda Seyfried, Justin Timberlake…

Dans un futur proche, le gène de la vieillesse a été supprimé et le temps est devenu une valeur marchande : les riches vivent donc éternellement, pendant que les autres doivent négocier leur immortalité.

Bande-Annonce : TIME OUT

Critique : TIME OUT de Andrew Niccol avec Amanda Seyfried, Justin Timberlake…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

L’idée originale est que le temps est la monnaie unique mondiale et quand ce crédit temps arrive à zéro, on meurt.
Son développement est certes discutable.
Cependant, le suspense de ce film de science-fiction est efficace et donne à réfléchir en profondeur sur notre système économique mondial.
En gros, sans pouvoir d’achat nous mourons.
Les acteurs Amanda Seyfried, Justin Timberlake… sont bons et crédibles.
Et le réalisateur Andrew Niccol apporte un rendu adroit.

Bienvenue dans un monde où le temps a remplacé l’argent. Génétiquement modifiés, les hommes ne vieillissent plus après 25 ans. Mais à partir de cet âge, il faut “gagner” du temps pour rester en vie. Alors que les riches, jeunes et beaux pour l’éternité, accumulent le temps par dizaines d’années, les autres mendient, volent et empruntent les quelques heures qui leur permettront d’échapper à la mort. Un homme, accusé à tort de meurtre, prend la fuite avec une otage qui deviendra son alliée. Plus que jamais, chaque minute compte.

Dans le futur, le compteur d’une vie est sur le bras des Hommes.
La plupart des humains meurent avant la trentaine. L’argent n’existe plus et le temps est la monnaie d’échange entre les classes sociales inégales.
Les riches vivent presque éternellement grâce à l’augmentation du prix des biens au quotidien.
Ce qui réduit l’espérance de vie des pauvres.
Un orphelin (Justin Timberlake alias Will Sallas) va s’élever contre l’ordre en place en enlevant la fille d’un puissant (Amanda Seyfried alias Sylvia Weis).
Mais un policier (Cillian Murphy alias Raymond Leon) tenace va le prendre en chasse.

Après le désormais classique de Science-Fiction “Bienvenue à Gattaca” de 1997 voici un nouveau projet inhabituel et original du cinéaste Andrew Niccol.
Les paramètres scientifiques, morales, sociales, politiques, économiques et humanistes nous permettent de bien identifier notre société actuellement à cette fiction.
L’argent (billet de banque, monnaie, chèque, carte bancaire etc…) n’existe plus.
Le temps est la valeur fiduciaire en vigueur.
Le temps et l’argent, l’argent et le temps, ici l’argent est le temps.
C’est un parallèle intéressant puisqu’il faut du temps dans notre monde réel et actuel pour gagner de l’argent ou en perdre.
Le temps peut être notre allié ou notre ennemi selon la situation.
En tout, dans les deux cas, la science-fiction et la réalité, le système d’échange, de transaction commerciale est créé par les êtres humains eux-mêmes. Il a ses avantages et ses inconvénients et est toujours faillible quelque part.

L’écriture est simple.
C’est un bon divertissement.
Les scènes de poursuites et d’action sont des références à “Robin des Bois” et “Bonnie and Clyde”.
La réalisation est délectable mais creuse et pas du tout surprenante.
Le ton trop accentué et amplifié n’avantage pas toujours le long-métrage.
les dialogues sont pleins de jeux de mots pas forcément indispensables.
L’interprétation globale des comédiens est correcte.

Le projet est audacieux et inspiré mais sans grande particularité, ni pureté.
Vous passerez un bon moment au cinéma devant ce film, pourtant le manque de profondeur éloigne ce travail de son potentiel statut de chef-d’œuvre.

Les + :

* Les idées du scénario
* Les nombreuses références cinématographiques comme “Bienvenue à Gattaca” etc…
* Les acteurs sont justes et fiables

Les – :

* La mise en scène est sans caractère
* Le développement des idées n’est pas à la hauteur de l’originalité du concept
* L’excès de sentimentalisme est souvent de trop

Les thèmes : La science-fiction, le film d’anticipation, les références de films de science-fiction comme “Bienvenue à Gattaca”, “Inception”…, l’argent, le temps, le futur, le pouvoir, les inégalités sociales, la peur du lendemain, le pouvoir d’achat, la réflexion sur notre système scientifique, moral, social, politique, économique, accusé à tort, anticipation, Futur, avenir proche, braquage, hold up, braqueur, Couple, Duo, Tandem, course poursuite, cyberpunk, immortalité, immortel, lutte des classes, manipulation génétique, seul contre tous etc…

Note : *****

Les images sont très belles et le contenu du film est vide (donc les acteurs de qualité sont dévalorisés) ! Le réalisateur Tarsem Singh a du talent et du style !
On est très proche de l’univers du film “300” !
L’action est souvent redondante, mais les effets spéciaux et la 3D sont à la hauteur !
LES IMMORTELS
Action (01h50min) – Date de sortie : 23/11/2011
De Tarsem Singh
Avec Henry Cavill, Mickey Rourke…
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

Dans la Grèce antique, Thésée, un jeune guerrier, va mener ses hommes à la bataille avec les dieux de l’Olympe pour tenter de repousser les Titans, anciens dieux primaires qui ont juré de détruire l’humanité.

Bande-Annonce :LES IMMORTELS

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (0)

Critique Film Cinéma “Contagion” Mercredi 09 Novembre 2011

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma “Contagion” Mercredi 09 Novembre 2011


Critique Film Cinéma Mercredi 09 Novembre 2011

Le scénario catastrophe d’une épidémie mondiale
Terrifiant !
CONTAGION
Drame (01h46min) – Date de sortie : 09/11/2011
De Steven Soderbergh
Avec Marion Cotillard, Matt Damon…

Alors qu’une épidémie se propage à grande vitesse, la communauté médicale mondiale tente, dans une course effrénée contre la montre, de trouver un remède et de contrôler la panique qui se répand encore plus vite que le virus.

Bande-Annonce : CONTAGION

Critique : CONTAGION de Steven Soderbergh avec Marion Cotillard, Matt Damon…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

Steven Soderbergh convoque une horde de vedettes dans «Contagion», un suspense paranoïaque habilement construit sur un virus qui décime peu à peu l’humanité. Peut-être pas la grande fresque attendue, mais un portrait qui glace le sang et qui tient en haleine.

Une pandémie dévastatrice explose à l’échelle du globe… Au Centre de Prévention et de Contrôle des Maladies, des équipes se mobilisent pour tenter de décrypter le génome du mystérieux virus, qui ne cesse de muter. Le Sous-Directeur Cheever, confronté à un vent de panique collective, est obligé d’exposer la vie d’une jeune et courageuse doctoresse. Tandis que les grands groupes pharmaceutiques se livrent une bataille acharnée pour la mise au point d’un vaccin, le Dr. Leonora Orantes, de l’OMS, s’efforce de remonter aux sources du fléau. Les cas mortels se multiplient, jusqu’à mettre en péril les fondements de la société, et un blogueur militant suscite une panique aussi dangereuse que le virus en déclarant qu’on “cache la vérité” à la population…

Une épidémie est sur le point de s’étendre sur la planète, obligeant les êtres humains à réagir pour sauver leur peau. Alors que la peur s’installe et qu’elle fait naître des comportements condamnables et insoupçonnables, quelques individus se battent afin d’enrayer la situation.

Revenant à un projet plus «conventionnel», «accessible» et «commercial» (trois qualificatifs qui sont honorables lorsqu’ils sont bien utilisés, comme c’est le cas ici) après son diptyque sur le «Che» et son hilarant «The Informant!», Steven Soderbergh questionne la valeur de l’Homme face à l’adversité. Plusieurs tremblent, s’en remettent à leurs plus bas instincts pour rester en vie pendant que d’autres multiplient les comportements héroïques. Un combat de tous les instants qui, s’il n’est pas manichéen, demeure profondément moral. À ce sujet, c’est avec un certain sourire en coin que le spectateur découvre que la femme adultère qui s’adonne à des jeux de hasard sera punie, tout comme ceux et celles qui mangent de la viande…

Le récit réalisé de mains de maître – et qui évoque «Traffic» du même créateur – ne laisse aucune place au hasard. La mise en scène est claire, précise, découpée au scalpel. Le cinéaste enchaîne à la perfection ses plans, changeant constamment de pays, jouant habilement des histoires et différentes tranches d’existence, suivant la pandémie du début à la fin en la notant selon des jours importants. Un procédé qui n’est pas sans longueur, s’avérant parfois superficiel et artificiel, mais dont l’intérêt ne se démord pas, de l’introduction qui captive rapidement à la conclusion en forme de boutade.

Le réalisateur a toujours su s’entourer d’excellents comédiens et il se surpasse une nouvelle fois. Tous les interprètes sont justes, de Matt Damon en père éploré à Gwyneth Paltrow en victime ravagée par la maladie, en passant par Jude Law qui amène une bonne dose de cynisme en blogueur incontrôlable. Laurence Fishburne se détache du lot, étant plus sobre que d’habitude. Tout comme l’exquise Marion Cotillard et l’incroyable Kate Winslet. Malgré tout ce talent, l’émotion a parfois de la difficulté à filtrer. Peut-être est-ce la faute des choix narratifs. En voulant éclairer la situation dans sa globalité, les personnages finissent par en pâtir, le cinéphile n’arrivant pas toujours à s’attacher correctement à ce qui leur arrive. Un inconvénient que vient partiellement racheter l’excellente musique de Cliff Martinez.

Même s’il évoque parfois «Blindness» et tous les films de zombies, «Contagion» se rapproche surtout d’«Outbreak» qui regroupait également une multitude de stars, dont Dustin Hoffman, Kevin Spacey, Morgan Freeman et Donald Shuterland. Bien que le long métrage de Wolfgang Petersen s’avérait plus divertissant, invraisemblable et sentimental, celui de Soderbergh tranche avec son esprit analytique, plus froid, cérébral et crédible. Voilà peut-être bien l’effort le plus effrayant de l’année.

Les + :

* L’impressionnante distribution de très bons acteurs
* Cette fluidité au niveau de la réalisation
* L’essai est très rythmé et admirablement monté
* La musique accompagne parfaitement l’action
* Quelques passages glacent le sang

Les – :

* L’émotion se fait rare
* On s’attache difficilement aux personnages
* En voulant tout couvrir, il est possible de demeurer un peu en surface

Les thèmes : All Star Movie, anticipation, Futur, avenir proche, épidémie, virus, expérience scientifique, chercheur scientifique, Film catastrophe, catastrophe, Fin du monde, apocalypse, fléau, Français à hollywood, Hôpitaux, médecins, cabinet médical, mort, paranoïa etc…

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (0)

CINEBOOSTER TV

CINEBOOSTER RADIO

Cinebooster – audio

mars 2024
L M M J V S D
 123
45678910
11121314151617
18192021222324
25262728293031

CINEBOOSTER RADIO