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Critique Film Cinéma “Silent Hill : Révélation 3D” Mercredi 28 Novembre 2012

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Critique Film Cinéma “Silent Hill : Révélation 3D” Mercredi 28 Novembre 2012


Critique Film Cinéma Mercredi 28 Novembre 2012

Silent Hill : Revelation 3D est l’adaptation du jeu vidéo du même nom et la suite encore plus sombre et plus angoissante de Silent Hill de 2006 réalisé par Christophe Gans !
SILENT HILL : REVELATION 3D
Epouvante-Horreur (01h34min) – Date de sortie : 28/11/2012
De Michael J. Bassett
Avec Adelaide Clemens, Sean Bean…
Interdit aux moins de 12 ans

Depuis des années, Heather Mason et son père n’ont jamais cessé de fuir, échappant à chaque fois de justesse aux mystérieuses forces qui les pourchassent. La veille de ses 18 ans, en proie à de terrifiants cauchemars, Heather doit faire face à la disparition de son père.
Pourtant, cette fois, elle est piégée. Pour sauver celui qui avait toujours réussi à la protéger et découvrir qui elle est vraiment, Heather va devoir affronter un cauchemar qui devient de plus en plus réel…Silent Hill.

Bande-Annonce : SILENT HILL : REVELATION 3D

Critique Film : SILENT HILL : REVELATION 3D de Michael J. Bassett avec Adelaide Clemens, Sean Bean…

Par Franck DIPPA PRISO

Heather Mason et son père voyagent de villes en villes pour échapper à l’Ordre, une organisation démoniaque qui tente d’entraîner Heather une nouvelle fois à Silent Hill. La jeune fille, qui a oublié sa première expérience en ce lieu démoniaque, n’a d’autres choix que d’y retourner lorsque son père est enlevé par des forces maléfiques. Sur place, elle devra affronter des monstres patibulaires et des créatures sanguinaires afin de retrouver son paternel et mettre la main sur la deuxième moitié d’un talisman qu’elle a ramené avec elle après sa première escapade en ces lieux sinistres.

Le film Silent Hill : Révélation 3D sort en France après la fête Halloween 2012, ce qui est déjà un mauvais point pour l’équipe de communication et de marketing du distributeur Français Métropolitan Film Export. Il est clair que durant cette période le film aurait fait un meilleur démarrage en salle de cinéma. C’est une suite très attendue par les amateurs de jeu vidéo. C’est très difficile de satisfaire les fans qui connaissent l’univers du jeu vidéo. Ils connaissent probablement mieux les personnages que les scénaristes du projet de film cinéma. Ne parlons même pas du nouveau public qui est encore plus dur à toucher. Le monde de Silent Hill est compliqué.

Silent Hill : Révélation 3D est bien un film d’horreur avec tous les codes du genre pour l’affirmer. Il y a une musique angoissante, un silence, un sursaut… (c’est la base). Malgré tout, on est très peu surpris.

Les dialogues sont quelconques et ressemblent plus à ceux d’une comédie parodiques plutôt qu’à un suspense d’épouvante. Dans l’ensemble, les effets spéciaux sont bons à par des écrans verts ainsi que d’autres représentations qui paraissent de manière évidente dessinées. Le film Silent Hill : Révélation 3D n’apporte aucune innovation au monde de l’animation numérique, cependant les monstres sont crédibles, bien incrustés et les décors de la ville effrayante et angoissante sont correctes. De nos jours, afin d’avoir une certaine reconnaissance dans le domaine des effets spéciaux, il faut être au top et pas juste moyen.

Le film du réalisateur Michael J. Bassett ne brille pas vraiment par son résultat et ne légitime pas assez ce deuxième opus cinématographique de la franchise Silent Hill. A l’identique du jeu vidéo, le film nous fait passer par des étapes, tuer des monstres, et gagner la partie. Sauf que dans le long-métrage nous sommes spectateurs et juges (passifs) alors que dans le jeu vidéo nous sommes acteurs (actifs) (c’est plus passionnant). A la fin la question que nous devons nous poser est la suivante, avons-nous perdu notre temps ou pas ? Applaudissements ou silent ?

Les + :

* Effets spéciaux acceptables

Les – :

* Manque d’originalité et de justification de ce chapitre 2 de Silent Hill

Thèmes : Adaptation de jeu vidéo, brouillard, déménagement, emménagement, films en 3D – en relief, malédiction, monde parallèle, peur, Rêve et Cauchemar, onirisme, suite, sequel, surnaturel, phénomène surnaturel, paranormal, ville, village etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma “Footloose” Mercredi 21 Décembre 2011

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Critique Film Cinéma “Footloose” Mercredi 21 Décembre 2011


Critique Film Cinéma Mercredi 21 Décembre 2011

Rébellion par la danse !
FOOTLOOSE
Comédie (01h53min) – Date de sortie : 21/12/2011
De Craig Brewer
Avec Kenny Wormald, Julianne Hough…
Film pour enfants à partir de 10 ans

Ren et sa mère Ethel quittent Chicago pour une petite ville. Passionné de rock et danseur effréné, Ren heurte les conceptions morales de la communauté et de son pasteur, maître à penser du lieu…

Bande-Annonce : FOOTLOOSE


Bande-Annonce vost : FOOTLOOSE

Critique : FOOTLOOSE de Craig Brewer…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

Sympathique, mais inutile remake d’un film à succès des années 1980, «Footloose» fait revivre cette importante période où il est nécessaire de s’affranchir de ses parents. Vraiment meilleur que ce que la bande-annonce laissait paraître.

Ren et sa mère Ethel quittent Chicago pour une petite ville. Passionné de rock et danseur effréné, Ren heurte les conceptions morales de la communauté et de son pasteur, maître à penser du lieu. C’est alors que Ren tombe amoureux de la fille du pasteur et que les autres jeunes se rallient à Ren…

Une loi est faite pour être changée. C’est ce que pensent l’adolescent Ren (Kenny Wormald), Ariel (Julianne Hough) et leurs amis en cherchant le meilleur moyen de convaincre les adultes d’abandonner leurs règlements qui les empêchent d’organiser une fête.

En cette période où la danse et le chant sont si populaires, un remake du long métrage culte «Footloose» n’est pas surprenant. Pour une rare fois, l’équipe derrière ce projet a respecté l’essence de la version de 1984, reprenant pratiquement le même canevas. Il sera encore question du désir d’émancipation de la jeunesse, d’un étranger d’un grand centre urbain qui aboutit dans un bled perdu, de son amour pour la fille du révérend, des sermons de ce dernier, etc. De quoi éviter les fans de la première heure de trop rouspéter. Étrangement, malgré la grande inutilité de l’entreprise (pourquoi ne pas revoir la première mouture, tout simplement?), la magie finit par opérer. Un charme certain se dégage des situations kitch, l’humour léger touche la cible et la portion plus moralisatrice où les grands discours abondent se délecte avec un sourire en coin, gracieuseté du savoureux Dennis Quaid en homme de foi inébranlable.

Les changements les plus notables résultent généralement de l’époque. Bien que quelques tubes phares soient de retour (dont le mythique thème titre), les chansons versent allègrement dans les rythmes hip-hop et elles ne marqueront certainement pas au fer blanc les cinéphiles. Les chorégraphies, peut-être plus élaborées, mais ultimement moins satisfaisantes, peuvent néanmoins compter sur la mise en scène bien dosée de Craig Brewer (à qui l’on doit les réussis «Hustle & Flow» et «Black Snake Moan»), qui sacrifie les retours dans le temps pour une intrigue beaucoup plus linéaire, un brin artificiel, mais pas trop. La plupart des comédiens jouent dans la note, entre vieux pros pas toujours bien exploités (dont Andy MacDowell et Kim Dickens de la sublime série «Treme») et jeunes premiers prometteurs. Même le danseur Kenny Wormald arrive à prendre sa place, s’affranchissant presque de l’ombre de Kevin Bacon. Le seul faux pas se trouve du côté de l’exubérante Julianne Houghs qui en fait beaucoup trop, oubliant du coup à rendre crédible sa relation avec le héros. Un spectateur friand de sociologie se plaira à analyser l’évolution des adolescentes entre les deux récits, avec ce personnage féminin qui passe en moins de 30 ans de la petite fille douce et innocente à la bombe sexuelle, garce et vulgaire…

S’il est légitime de se demander ce qui peut bien expliquer l’existence de cette variation sur les mêmes thèmes, le résultat est loin d’être catastrophique tant le tout se regarde aisément. Cela ne deviendra toutefois pas un classique. À quand un remake de «Grease», de «Flashdance» et de «Dirty Dancing»?

Les + :

* Enfin un remake qui se tient
* L’original a été respecté à 85%, ce qui donne un film attrayant, drôle et touchant
* L’interprétation est tout à fait appropriée
* La réalisation demeure compétente

Les – :

* À quoi bon refaire le tout si c’est pour rien offrir de nouveau en retour?
* Les chorégraphies et les nouvelles chansons sont très inégales, ne restant que trop rarement en tête
* Julianne Hough devrait peut-être continuer à chanter plutôt que de jouer

Les thèmes : Adolescent, adolescence, Amérique profonde, amour contrarié, amour impossible, cameo du réalisateur, Danse – Danseuse, Danseur, école, collège, lycée,  salle de cours, puritanisme, relation père, fille, Remake de film américain, ville, village etc…

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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