Archive | novembre 2015

Critique Film Cinéma : “Le Pont des Espions” – Mercredi 02 Décembre 2015

Critique Film Cinéma : “Le Pont des Espions” – Mercredi 02 Décembre 2015

Critique Film Cinéma Mercredi 02 Décembre 2015

Un héros sombre de la guerre froide !
FILM CINEMA LE PONT DES ESPIONSLE PONT DES ESPIONS
Thriller (02h12min) – Date de sortie : 02/12/2015
De Steven Spielberg
Avec Tom Hanks, Mark Rylance, Scott Shepherd (II)…
Américain

James Donovan, un avocat de Brooklyn se retrouve plongé au cœur de la guerre froide lorsque la CIA l’envoie accomplir une mission presque impossible : négocier la libération du pilote d’un avion espion américain U-2 qui a été capturé.


Bande-Annonce : LE PONT DES ESPIONS

Critique Film : LE PONT DES ESPIONS de Steven Spielberg avec Tom Hanks, Mark Rylance, Scott Shepherd (II)…

Par Franck DIPPA PRISO

1957. La Guerre froide fait rage et les États-Unis et l’URSS sont sur un pied d’alerte, se scrutant minutieusement. Après une longue filature, des agents du gouvernement américain arrêtent à Brooklyn Rudolf Abel qui est soupçonné d’être un espion russe. Tout le monde l’accuse avant qu’il ne soit jugé et l’avocat James B. Donovan est vilipendé pendant le procès pour avoir pris sa défense. La peine de mort est exigée et elle n’est qu’une formalité. De quoi irriter son avocat qui est prêt à tout afin de négocier un accord pour lui sauver la vie.

Même les grands cinéastes peuvent avoir leur période de désert (manque d’inspiration). C’est le cas de Steven Spielberg depuis 2005 (période de l’oubliable 4ème “Indiana Jones”) et ce n’est pas encore terminée.
S’attaquer à ses classiques comme “Tintin” et “Lincoln” récemment n’a rien changé à cette mauvaise passe.
Le film “Le Pont des Espions” n’est pas le projet qui va relancer la carrière du réalisateur star. Car c’est correct mais pas fameux.

Le long-métrage débute fort et nous fait penser à son ancien succès “Munich”. La première scène de surveillance est spectaculaire. La puissance des images et du montage suffit et la parole n’est plus nécessaire. Le thriller s’installe et capte l’attention du spectateur.

Puis la narration se poursuit en douceur et présente l’espion supposé russe Mark Rylance alias Rudolf Abel placé en état d’arrestation pendant la guerre froide. Tom Hanks alias James Donovan est son avocat. D’ailleurs, être son défenseur le met en danger. Il s’agit d’un individu seul contre tous. Le gouvernement répand la crainte et la psychose en oubliant les lois. Un semblant de démocratie, un miroir qui reflète assez notre temps actuel en de nombreux points.

Les entretiens entre le prévenu (compliqué et fin) et son avocat (mesuré, précis et idéal (trop pour être plausible)) sont captivants. Tom Hanks a un très grand talent connu et reconnu et il sait offrir au spectateur un personnage passepartout ou singulier quand il le faut. Ensuite, il y a un bémol à mettre sur la musique de Thomas Newman qui est trop oppressante et envahissante. Il en fait trop.

Ce récit est vrai. Les auteurs s’appellent Matt Charman et les frères Coen.
La manière d’abordée ce sujet est peu convaincante. Les scènes sont remplies d’anomalies faciles made in Hollywood. Par exemple, se rendre d’un pays à un autre c’est trop simple et sur le fameux pont des espions on ne ressent pas vraiment la force symbolique qui doit se dégager sur ce lieu et à ce moment là.

C’est bien au début mais l’ensemble s’achève comme d’habitude avec le cinéaste Steve Speilberg en perte de vitesse depuis quelques années. C’est pas terrible et c’est sans grand éclat ! Sa grande interrogation porte sur le pouvoir de l’Etat américain et sa façon de faire bien ou mal.

Ce qui est très étonnant c’est qu’avec des cartes maitresses comme Tom Hanks (acteur) et les frères Coen (scénaristes) le résultat ne soit pas exceptionnel.
Le tout, finalement est honorable mais pas génial. Ce n’est pas encore le second souffle attendu pour le papa d'”Indiana Jones” mais presque un début de renouveau d’inspiration.

Les + :

* Début avec un impact fort

* Avoir Tom Hanks comme acteur

* Avoir les frères Coen comme scénaristes

Les – :

* Des incohérences de scènes trop faciles

* Le manque d’inspiration réelle du réalisateur Steven Spielberg depuis “Indiana Jones 4”

* Fin avec un impact faible (contraste avec un départ captivant)

Thèmes : Thriller, guerre froide, 1957, agent secret, espion, espionnage, avocat, juge, procès, tribunal, justice, CIA, inspiré d’une histoire vraie etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “Docteur Frankenstein” – Mercredi 25 Novembre 2015

Critique Film Cinéma : “Docteur Frankenstein” – Mercredi 25 Novembre 2015

Critique Film Cinéma Mercredi 25 Novembre 2015

Découvrez le Docteur Frankenstein étudiant à l’aube de ses découvertes monstrueuses !
FIM CINEMA DOCTEUR FRANKENSTEINDOCTEUR FRANKENSTEIN
Fantastique, Aventure, Epouvante-Horreur(01h50min) – Date de sortie : 25/11/2015
De Paul McGuigan
Avec James McAvoy, Daniel Radcliffe, Jessica Brown Findlay…
Américain

Le scientifique aux méthodes radicales Victor Frankenstein et son tout aussi brillant protégé Igor Strausman partagent une vision noble : celle d’aider l’humanité à travers leurs recherches innovantes sur l’immortalité. Mais les expériences de Victor vont trop loin, et son obsession engendre de terrifiantes conséquences. Seul Igor peut ramener son ami à la raison et le sauver de sa création monstrueuse.


Bande-Annonce : DOCTEUR FRANKENSTEIN

Critique Film : DOCTEUR FRANKENSTEIN de Paul McGuigan avec James McAvoy, Daniel Radcliffe, Jessica Brown Findlay…

Par Franck DIPPA PRISO

Londres, au 19e siècle. Handicapé et brutalisé, Igor Strausman travaille dans un cirque et s’intéresse à l’anatomie humaine. Témoin des mauvais traitements qu’on lui inflige, Victor Frankenstein, étudiant en médecine, l’aide à s’échapper avant d’en faire son assistant. Rapidement ils se lient d’amitié. Déterminé à révolutionner sa discipline et à prolonger la vie, Victor poursuit ses recherches sur l’immortalité avec la collaboration d’Igor. Mais ses expériences, obsessives et périlleuses, conduisent à de monstrueuses créations. Igor tente alors de sauver son compagnon de ses folles ambitions.

Le film “Docteur Frankenstein” voit trop grand par rapport à ses capacités narratives.
La précédent projet “I, Frankenstein” avez les problèmes similaires au niveau scénario.
Les théories sont loufoques et ne tiennent pas trop la route.
Dans l’ancien le monstre “mythique” rafistolé doit se battre contre un “ordre de gargouilles” et dans le nouveau le créateur du monstre soigne de manière étonnante son futur assistant bossu qui ne l’est plus après l’opération miracle (aspiration du pu contenu dans sa bosse).
C’est du cinéma oui, mais quand même… !

Il y a une opposition accablante entre la volonté de faire une œuvre sérieuse et les signes flagrants de dérisions (le curieux maquillage de Daniel Radcliffe alias Igor Strausman, la démence extravagante du savant James McAvoy alias Victor Frankenstein, l’immense primate en fuite dans l’école de médecine etc.).
Même les propositions intéressantes ne sont pas mises en valeur à cause de cet esprit de satirique que l’on peut percevoir.
La direction photo est atypique cependant, elle perd de son mordant à l’image de l’interprétation des comédiens qui flirte avec la parodie.

Faire découvrir une partie inconnue d’un conte célèbre était une bonne idée seulement l’ensemble de éléments intelligents se perdent dans une flopée d’absurdités.
Le long-métrage Docteur “Frankenstein” pouvait être une belle réussite étant donné ses effets spéciaux appliqués, un langage châtié et un budget astronomique mais hélas le résultat est décevant.
C’est un navet ou une série B à gros budget.

Les + :

* Les effets spéciaux

Les – :

* Le ton sérieux (une parodie ou une comédie assumée pouvait s’avérer originale)

Thèmes : Fantastique, aventure, épouvante-horreur, Docteur Frankenstein, Victor Frankenstein, Igor, Assistant, Igor Strausman, créateur, création, folie, génie, science, découverte, monstres, Jouer à DIEU, 19e siècle, adaptation de roman, Duo, Tandem, expérience scientifique, chercheur scientifique, Frankenstein, gothique, immortalité, immortel, jeunes adultes, monstre et monstre marin etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “Hunger Games – La Révolte : Partie 2” – Mercredi 18 Novembre 2015

Critique Film Cinéma : “Hunger Games – La Révolte : Partie 2” – Mercredi 18 Novembre 2015

Critique Film Cinéma Mercredi 18 Novembre 2015

La suite du 3ème et dernier volet de la saga “Hunger Games” !
FILM CINEMA HUNGER GAMES LA REVOLTE PARTIE 2HUNGER GAMES – LA REVOLTE : PARTIE 2
Aventure, Science-Fiction, Guerre (02h17min) – Date de sortie : 18/11/2015
De Francis Lawrence
Avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson, Liam Hemsworth…
Américain

Alors que Panem est ravagé par une guerre désormais totale, Katniss et le Président Snow vont s’affronter pour la dernière fois. Katniss et ses plus proches amis – Gale, Finnick, et Peeta – sont envoyés en mission pour le District 13 : ils vont risquer leur vie pour tenter d’assassiner le Président Snow, qui s’est juré de détruire Katniss. Les pièges mortels, les ennemis et les choix déchirants qui attendent Katniss seront des épreuves bien pires que tout ce qu’elle a déjà pu affronter dans l’arène…


Bande-Annonce : HUNGER GAMES – LA REVOLTE : PARTIE 2

Critique Film : HUNGER GAMES – LA REVOLTE : PARTIE 2 de Francis Lawrence avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson, Liam Hemsworth…

Par Franck DIPPA PRISO

Alors que la nation de Panem est en pleine guerre, Katniss devra confronter le Président Snow dans un combat décisif. Avec ses plus proches compagnons, Gale, Finnicket Peeta , Katniss et l’unité du District 13 devront risquer leur vie afin de libérer les citoyens de Panem et tenter d’assassiner le Président Snow, lui-même obsédé par la destruction de Katniss. Katniss devra affronter des pièges mortels, des ennemis cruels et des choix moraux déchirants qui la mettront à l’épreuve comme jamais elle ne l’a été dans l’arène des Hunger Games.

Le film “Hunger Games 3 : La révolte Partie 2” raconte la fin de la vengeance de Jennifer Lawrence alias Katniss Everdeen à l’encontre du Capitole. La mode depuis les productions “Harry Potter” et “Twilight” est de la faire en deux parties l’adaptation d’un livre tout en évitant du verbe ennuyeux à l’infini.
C’était mal pensé car de la parole inutile ça il y en a !

La seconde et dernière partie de ce projet est encore plus forte en papotages et répétitions.
Dans le première partie, la fureur progressait en douceur pas à pas. Ici on fait du surplace et quand ça repart un peu il y a une sortie de route aussitôt.
Le lancement du bon tempo arrive tard.
Oui la déception est bien réelle.
Cependant, la bataille qui annonce le grand final (course dans les canalisations, les querelles entre (Josh Hutcherson alias) Peeta (Mellark) et Katniss, les rebelles face aux pièges du Capitole etc.) tant attendue est bien à la hauteur de l’attente.
Petit détail important pour les petits enfants : les monstres des égouts font peur. Il faut également déplorer l’arrivée très tardive de cette véritable tension dramatique à la fin de ce dernier épisode.
Dans cette œuvre le propos politique de l’auteure et productrice exécutive Suzanne Collins envers la jeunesse est encore digne d’intérêt.
C’est la comparaison de notre société avec cet empire monarchique dominateur sur le peuple par la terreur et la violence.
Ce n’est une pensée révolutionnaire mais comparée à ce que proposait d’autres séries pour le jeune public c’est marquant et distinctif.
En effet, la critique sociale est aussi claire que dans le premier film de la saga.

Le long-métrage “Hunger Games – La Révolte : Partie 2” est malheureusement le plus mauvais des quatre épisodes.
Une torpeur inexplicable semble bloquer le développement espéré de cette narration jusqu’au grand final qui bouge un peu mais n’est pas du tout à la hauteur d’une fin pour une série de ce calibre. Le dénouement est décevant. Il manque le combat de clôture grandiose qu’on attend en vain. Que s’est-il passé dans la tête des scénaristes et du réalisateur ?
De mémoire, aucunes sagas récentes à succès (Harry Potter, Twilight…) ne s’est terminées aussi mal.
Et comme si ce n’était pas assez, on nous sert une conclusion à l’image de la série “La Petite Maison dans la Prairie” (il faut au moins ça pour tenter oublier le traumatisme infligé par le Président Snow et le Capitol à l’ensemble des districts).
Et c’est fort regrettable. Malgré tout le travail artistique et technique (les interprétations magistrales, la direction photo (Jo Willems), la composition musicale (James Newton Howard), la décoration en chef (Philip Messina) etc.) est à saluer depuis le début de ce feuilleton cinématographique.
Autre fait indéniable, une héroïne est né. Un modèle qui peut inspirer tous les jeunes de cette génération.

Les + :

* La grande qualité et constance du travail artistique et technique

Les – :

* Les bavardages inutiles

* La tension dramatique qui arrive trop tard à la fin

* Un combat final inexistant (une grosse déception, une supercherie monumentale)

Thèmes : Aventure, science-fiction, guerre, saga Hunger Games, Hunger Games 3, Hunger Games – La Révolte : Partie 2, The Hunger Games – Mockingjay : Part 2, Die Tribute von Panem 4 – Mockingjay Teil 2, Los juegos del hambre: Sinsajo – Parte 2, Açlık Oyunları: Alaycı Kuş Bölüm 2, adaptation de roman, adolescent, adolescence, adrénaline, anticipation, futur, avenir proche, armée, Dystopie, explosion, explosifs, geek, Hunger Games, jeunes adultes, monde post-apocalyptique, pouvoir, contrôle, rébellion, révolte, révolution, suite, sequel, survival, suspense, teen movie – films d’ado, tir à l’arc et flèches etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “007 Spectre” – Mercredi 11 Novembre 2015

Critique Film Cinéma : “007 Spectre” – Mercredi 11 Novembre 2015

Critique Film Cinéma Mercredi 11 Novembre 2015

La 27ème aventure de l’agent secret britannique le plus populaire de la planète : 007 James, James Bond !
FILM CINEMA 007 SPECTRE007 SPECTRE
Action, Espionnage (02h30min) – Date de sortie : 11/11/2015
De Sam Mendes
Avec Daniel Craig, Christoph Waltz, Léa Seydoux…
Britannique, américain

Un message cryptique surgi du passé entraîne James Bond dans une mission très personnelle à Mexico puis à Rome, où il rencontre Lucia Sciarra, la très belle veuve d’un célèbre criminel. Bond réussit à infiltrer une réunion secrète révélant une redoutable organisation baptisée Spectre.
Pendant ce temps, à Londres, Max Denbigh, le nouveau directeur du Centre pour la Sécurité Nationale, remet en cause les actions de Bond et l’existence même du MI6, dirigé par M. Bond persuade Moneypenny et Q de l’aider secrètement à localiser Madeleine Swann, la fille de son vieil ennemi, Mr White, qui pourrait détenir le moyen de détruire Spectre. Fille de tueur, Madeleine comprend Bond mieux que personne…
En s’approchant du cœur de Spectre, Bond va découvrir qu’il existe peut-être un terrible lien entre lui et le mystérieux ennemi qu’il traque…


Bande-Annonce : 007 SPECTRE

Critique Film : 007 SPECTRE de Sam Mendes avec Daniel Craig, Christoph Waltz, Léa Seydoux…

Par Franck DIPPA PRISO

Un célèbre criminel meurt.
Suite au décès de ce dernier, James Bond se rend à ses funérailles en Italie où il rencontre sa défunte femme, Lucia. Des informations qu’elle lui procure lui permettent de s’infiltrer dans la réunion d’une assemblée secrète, connue sous le nom de SPECTRE. Il y découvre que ce groupe représente un grave danger pour le sort de l’humanité. Il s’alliera donc avec la fille d’un ancien membre qui avait quitté la confrérie en raison de ses pratiques abominables et tentera de la démanteler avant que leur plan pervers soit mis à exécution.

Soyons direct le long-métrage “007 Spectre” est vraiment moyen.
Tous les codes (femmes magnifiques, voitures splendides, cascades impressionnantes, gadgets surréalistes et agent secret “invincible”) de la franchise 007 James Bond sont là et c’est tout.
Il manque l’ingrédient spécial pour classer cet épisode au même rang que les excellents “Casino Royal” et “Skyfall”.
Et quand une chose habituellement facile et banale ne fonctionne pas c’est mauvais signe.
Il s’agit de la scène intime avec la comédienne Monica Bellucci alias la veuve Lucia Sciarra est ridicule.
L’alchimie ne prend pas tout simplement.

L’acteur Daniel Craig alias James Bond 007 n’est pas crédible cette fois.
Son interprétation est peu convaincante malgré son charme et son charisme. On sent qu’il s’est lassé du rôle car la motivation n’est plus là.
Malheureusement pour lui, il a signé pour tourner dans 5 films de la saga. Donc courage, plus qu’un et le calvaire sera terminé.
Léa Seydoux alias Madeleine Swann est belle et envoûtante dans son jeu de comédienne (une James Bond Girl Made in France).
Par contre son histoire d’amour avec le célèbre agent secret britannique est peu convaincante (étrange même).
Christoph Waltz alias Franz Oberhauser le méchant de l’histoire est aussi tristement en dessous de la performance que l’on pouvait attendre de lui.
Depuis sa performance sensationnelle dans le projet “Inglourious Basterds” toute l’industrie cinématographique le demande.
Il est donc partout et c’est dommage car il ne nous fait plus le même effet.
Evidemment, cela tend à le desservir plus qu’autre chose. Et nous savons bien que tout ce qui est rare à plus de valeur.
Pour son deuxième tour de piste, le réalisateur Sam Mendes assure bien sa mission sans plus.
Il démarre fort avec un plan-séquence au centre ville du Mexique au milieu de la fête des Morts. Le générique de début est un classique (à la fois visuel et musical), c’est une œuvre artistique à part entière au service de la série de films la plus longue de l’histoire du cinéma. Là aussi c’est un flop.
L’impact est tellement faible que même avant la fin du film on a déjà oublié cette introduction et sa chanson.
C’est bête car c’est des choses qui donne quelques bons points à cette production habituellement.

Des rappels, des révélations et des liens sont établis entre cet opus et les précédents parfois bien et parfois maladroitement. Car cette manœuvre est nécessaire et utile pour la bonne compréhension générale du spectateur.
La légèreté est aussi de mise. C’est parfois drôle, ponctué de dialogues et de répliques appréciables qui peuvent surprendre le public dans le bon sens.

Oui le film “007 Spectre” est loin d’être un “bon cru” mais ce n’est pas non plus le plus mauvais de toute l’histoire de sa cuvée.

Les + :

* L’action
* Les cascades
* les effets spéciaux
* L’adrénaline
* Les révélations

Les – :

* La routine de l’action de cette franchise (il est difficile de faire plus impressionnant et plus inventif à chaque fois)

Thèmes : Espionnage, policier, action, adaptation cinématographique d’un roman de Ian Fleming, 27ème James Bond, agent secret, agent secret britannique, agent secret anglais, adrénaline, espion, espionnage, armes à feu, costumes, smoking, course poursuite, gadgets, génériques mémorables, James Bond, jeunes adultes, musique culte, suite, sequel, saga, franchise etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “Dope” – Mercredi 04 Novembre 2015

Critique Film Cinéma : “Dope” – Mercredi 04 Novembre 2015

Critique Film Cinéma Mercredi 04 Novembre 2015

Les mésaventures de 3 jeunes lycéens de la banlieue de Los Angeles (une production de Forest Whitaker et Pharell Williams) !
FILM CINEMA DOPEDOPE
Comédie, Drame, Policier (01h43min) – Date de sortie : 04/11/2015
De Rick Famuyiwa
Avec Shameik Moore, Kiersey Clemons, Tony Revolori…
Américain

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

Malcolm, jeune geek fan de hip-hop des années 90 vit à Inglewood, un quartier chaud de Los Angeles. Avec ses deux amis Diggy et Jibs, ils jonglent entre musique, lycée et entretiens pour entrer à l’université. Une invitation à une soirée underground va entrainer Malcolm dans une aventure qui pourrait bien le faire passer du statut de « geek » à celui de mec cool, un « dope ».


Bande-Annonce : DOPE

Critique Film : DOPE de Rick Famuyiwa avec Shameik Moore, Kiersey Clemons, Tony Revolori…

Par Franck DIPPA PRISO

Une banlieue de Los Angeles criblée par la criminalité est le terrain de jeu de Malcolm, un élève brillant qui termine son secondaire. Élevé par sa mère célibataire, il forme avec ses deux amis un trio très serré qui est fasciné par la culture des années 1990. Un jour, il est invité par une jolie fille à une fête. Ce soir-là, par un fâcheux concours de circonstances, Malcolm se retrouve en possession d’une nouvelle drogue. Il doit écouler la marchandise en faisant preuve de créativité grâce à son côté geek et cela, sans entacher ses possibilités d’entrer au collège.

C’est une comédie sur l’adolescence. Ce projet est brillant et moderne.
Le scénario est incisif et s’amuse bien des clichés raciaux.
L’œuvre dans son ensemble n’est pas toujours bien équilibrée.
Le tout reste quand même jubilatoire grâce à une mise en scène forte et dynamique.
Le jeu d’acteur de Shameik Moore est excellent.
C’est la révélation du film.

Les + :

* Drôle

* Intelligent

Les – :

* Quelques clichés parfois

Thèmes : Comédie, Drame, Policier, Hip-Hop des années 90, Geek, Musique, Rêve de réussite, Entrée à l’Université, Drogue, Gangs, Amourette, Banlieue, Los Angeles etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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