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Critique Film Cinéma : “Albator, Corsaire de l’Espace” – Mercredi 25 décembre 2013

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Critique Film Cinéma : “Albator, Corsaire de l’Espace” – Mercredi 25 décembre 2013


Critique Film Cinéma Mercredi 25 décembre 2013

“La génération Albator” a enfin son film d’animation au cinéma !
FILM ALBATOR, CORSAIRE DE L'ESPACEALBATOR, CORSAIRE DE L’ESPACE
Animation, Aventure, Science-Fiction (01h50min) – Date de sortie : 25/12/2013
De Shinji Aramaki
Avec Shun Oguri, Haruma Miura, Yû Aoi…

2977. Albator, capitaine du vaisseau Arcadia, est un corsaire de l’espace. Il est condamné à mort, mais reste insaisissable. Le jeune Yama, envoyé pour l’assassiner, s’infiltre dans l’Arcadia, alors qu’Albator décide d’entrer en guerre contre la Coalition GAIA…


Bande-Annonce : ALBATOR, CORSAIRE DE L’ESPACE

Critique Film : ALBATOR, CORSAIRE DE L’ESPACE de Shinji Aramaki…

Par Franck DIPPA PRISO

2977. Albator, capitaine du vaisseau Arcadia, est un corsaire de l’espace. Il est condamné à mort, mais reste insaisissable. Le jeune Yama, envoyé pour l’assassiner, s’infiltre dans l’Arcadia, alors qu’Albator décide d’entrer en guerre contre la Coalition Gaia afin de défendre sa planète d’origine, la Terre.

La série tv d’animation “Albator” a marqué les années 80 de la télévision française de part sa qualité, son originalité et son innovation. Le visuel était exigeant et le scénario très recherché par rapport à d’autres dessins animés de la même époque comme “Goldorak” par exemple.
Le long-métrage tv tiré de la série avait déjà été une réussite il y a quelques années lors de sa diffusion sur Antenne 2.
Le résultat est le même sur le grand écran aujourd’hui.
Le film “Albator, Corsaire de l’Espace” est spectaculaire et son scénario est cependant compliqué mais captivant.

La B.D (Bande-Dessinée) “Albator” est né en 1969.
Le réalisme poussé et la qualité pure à tous les niveaux de la série tv sont transférés dans cette adaptation cinématographique impressionnante et majestueuse. D’ailleurs, le grand cinéaste James Cameron a déclaré au sujet de ce film qu’il est je cite : « Mythique, épique et visuellement sans précédent ».

Oui, ce bel opéra de l’espace de Shinji Aramaki se distingue premièrement par son graphisme, son animation et son mouvement. Ce projet d’animation est numérique et le réalisme du design, les décors de l’espace, les vaisseaux et les personnages (seul bémol : ils sont moins qualitatifs que le reste) sont saisissants.

La production et la réalisation sont de véritables performances.
Quelques chiffres :
* 5 ans de travail
* 150 personnes pour les effets spéciaux
* 100 millions de fichiers créés

Deux choses majeures peuvent vraiment perturbées le spectateur vigilant.
D’une part, c’est le titre du film.
“Albator” est un pirate (la preuve ? voir son emblème autres signes et codes de conduite) et pas un corsaire (un corsaire est employé par un souverain).
D’autres part, le récit s’embrouille un peu sur la fin.
Cependant, fans ou pas vous prendrez du plaisir, un plaisir stellaire en regardant cette belle fresque spatiale au cinéma, contant l’aventure d’un héros de jeunesse celle de “la génération Albator”.

Les + :

* Visuel magnifique
* Animation et mouvement superbes

Les – :

* Qualité des Personnages moyenne
* Script vers la fin compliqué

Thèmes : Animation, Science-Fiction, Années 80, Antenne 2 Arcadia, Espace, Vaisseaux, Combats, Batailles, Génération Albator, Manga, Mangas, Adaptation au Cinéma d’une série tv d’animation, Pirate, Corsaire etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “Mandela : Un long chemin vers la liberté” – Mercredi 18 décembre 2013

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Critique Film Cinéma : “Mandela : Un long chemin vers la liberté” – Mercredi 18 décembre 2013


Critique Film Cinéma Mercredi 18 décembre 2013

Nelson Mandela revit grâce à ce nouveau biopic sur le combattant de la liberté et l’homme de paix ! Il est mort le jeudi 05 décembre 2013. Il avait 95 ans. Rest in Peace (Repose en Paix) Madiba !
FILM BIOPIC SUR NELSON MANDELA MANDELA : UN LONG CHEMIN VERS LA LIBERTE
Biopic , Drame (02h19min) – Date de sortie : 18/12/2013
De Justin Chadwick
Avec Idris Elba, Naomie Harris, Tony Kgoroge…

Le film retrace le parcours exceptionnel de Nelson Mandela, de son enfance en milieu rural à son investiture comme premier président de la République d’Afrique du Sud élu démocratiquement.


Bande-Annonce : MANDELA : UN LONG CHEMIN VERS LA LIBERTE

Critique Film : MANDELA : UN LONG CHEMIN VERS LA LIBERTE de Justin Chadwick avec Idris Elba, Naomie Harris, Tony Kgoroge…

Par Franck DIPPA PRISO

Né et élevé à la campagne, dans la famille royale des Thembus, Nelson Mandela gagne Johannesburg où il va ouvrir le premier cabinet d’avocats noirs et devenir un des leaders de l’ANC.
Son arrestation le sépare de Winnie, l’amour de sa vie qui le soutiendra pendant ses longues années de captivité et deviendra à son tour une des figures actives de l’ANC.
À travers la clandestinité, la lutte armée, la prison, sa vie se confond plus que jamais avec son combat pour la liberté, lui conférant peu à peu une dimension mythique, faisant de lui l’homme clef pour sortir son pays, l’Afrique du Sud, de l’impasse où l’ont enfermé quarante ans d’apartheid. Il sera le premier Président de la République d’Afrique du Sud élu démocratiquement.

Le film “Mandela : Un long chemin vers la liberté” est un tableau historique sur le futur singulier et extraordinaire d’un homme commun qui va devenir un symbole, un modèle, un leader international en croisade contre l’apartheid.
Une histoire qui a débuté il y a 25 ans, Nelson Mandela alias “Madiba” est devenu le premier président noir de l’Afrique du Sud.
Ce projet authentique de deux heures et demie se base sur le livre même écrit par Mandela “Un long chemin vers la liberté”, sorti après son séjour en prison en février 1990 après 27 ans d’incarcération.

Le récit est simple et parle de la naissance du personnage de Nelson Mandela.
Le long-métrage commence sur l’enfance de Mandela dans son village de l’ethnie xhosa. Puis, rapidement on le retrouve avocat défenseur de la cause des Noirs. Par la suite, il va devenir un proche de l’ANC (le congrès national africain), qu’il va rejoindre en 1944.

Le temps des manifestations, des protestations et autres actions survient alors.
Nous avons droit à la facette des pacifistes ensuite des violents en réplique aux massacres, à l’arrestation et à l’emprisonnement de Nelson Rolihlahla Mandela à Robben Island.
Et pour finir les tractations confidentielles avec l’Etat jusqu’à sa libération et son élection en 1994, le point de départ pour la réconciliation du pays.

Cette œuvre est aussi une peinture cinématographique d’un homme qui, avant d’être une légende a accepté de faire des sacrifices dans sa vie personnelle. On y découvre également les faiblesses de l’être humain notamment son l’infidélité envers sa première femme Evelyn Ntoko.

Idris Elba (Pacific Rim) alias Nelson Mandela est très humain et très chaleureux dans la peau de Madiba.
Son interprétation et sa performance sont à saluer (voix et intonation bluffantes).

Naomie Harris (Skyfall) alias Winnie Madikizela-Mandela, communique avec justesse la détermation de la deuxième épouse de celui que l’on appelle le père de l’Afrique du Sud. L’engagement de cette femme lui a autant coûter qu’à son héros d’ex et feu mari. Elle était l’autre image de la lutte anti-apartheid.

Avant son décès, Nelson Mandela, l’ancien président sud-africain avait pu voir quelques images du film à la fin de l’année dernière en 2012. Il paraît qu’il a dit à producteur du film “c’est moi ?” puis il s’est mis à rire.

Les + :

Le jeu des acteurs Idris Elba et Naomie Harris est impeccable

Les – :

Le caractère exceptionnel du film est discutable

Thèmes : Biopic sur Nelson Mandela, Apartheid, Liberté, Droits de l’Homme, Racisme, L’ANC, Afrikaanders etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “Le Hobbit : La Désolation de Smaug” – Mercredi 11 décembre 2013

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Critique Film Cinéma : “Le Hobbit : La Désolation de Smaug” – Mercredi 11 décembre 2013


Critique Film Cinéma Mercredi 11 décembre 2013

Le chapitre 2 du Hobbit !
FILM CINEMA LE HOBBIT 2LE HOBBIT : LA DESOLATION DE SMAUG
Fantastique, Aventure (02h41min) – Date de sortie : 11/12/2013
De Peter Jackson
Avec Benedict Cumberbatch, Martin Freeman, Richard Armitage…

Les aventures de Bilbon Sacquet, paisible hobbit, qui sera entraîné, lui et une compagnie de Nains, par le magicien Gandalf pour récupérer le trésor détenu par le dragon Smaug. Au cours de ce périple, il mettra la main sur l’anneau de pouvoir que possédait Gollum…


Bande-Annonce : LE HOBBIT : LA DESOLATION DE SMAUG

Critique Film : LE HOBBIT : LA DESOLATION DE SMAUG de Peter Jackson avec Benedict Cumberbatch, Martin Freeman, Richard Armitage…

Par Franck DIPPA PRISO

Les aventures de Bilbon Sacquet, paisible hobbit, qui sera entraîné, lui et une compagnie de Nains, par le magicien Gandalf pour récupérer le trésor détenu par le dragon Smaug. Au cours de ce périple, il mettra la main sur l’anneau de pouvoir que possédait Gollum…

Le film “Le Hobbit : La Désolation de Smaug” est un des films les plus attendus de l’année 2013. La cible de ce projet ce sont les passionnés de fantastique et de récits épiques. “Le Hobbit : La Désolation de Smaug” est artistiquement et esthétiquement beau. Il n’y a presque rien à redire à ce sujet.
Les affrontements et les chorégraphies sont sublimes.
Les costumes, les coiffures, les maquillages et les décors sont exceptionnels et grandioses.
Les ennemis légendaires des nains (les orques, l’ours-garou, les araignées géantes et l’imposant dragon Smaug) sont saisissants et impressionnants émotionnellement et physiquement.

Jennifer Lawrence alias Katniss Everdeen dans « Hunger Games : L’Embrasement » n’est pas la seule comédienne en ce moment au cinéma à savoir manier un arc. Dans le chapitre 2 du « Hobbit : La désolation de Smaug », c’est aussi le cas de Evangeline Lilly alias Tauriel, une jeune Elfe guerrière de 600 ans. Elle est chef de la garde rapprochée du roi Thranduil, père de Legolas (Orlando Bloom). Et son cœur balance entre Legolas et un nain beau gosse et pas si petit. Les puristes de J.R.R Tolkien sont déjà montés au créneau car ce personnage n’existe pas dans le livre. Le désir des scénaristes et du réalisateur est de rajouter une touche de féminine à cette aventure pleine de testostérones et quelques dollars de plus au de recette au passage. D’ailleurs ce n’est pas le seul additif. Il y a d’autres canevas narratifs qui ne se trouvent pas dans le livre original qui fait seulement 370 pages. A cause de l’appât du gain il faut bien trouver le moyen de rallonger l’histoire afin de fabriquer un simulacre de saga très rentable.

Autre exemple : Legolas lui aussi n’est pas un personnage du roman de Tolkien (et oui c’est une autre pièce rapportée). Quant à son amour pour Tauriel, son comportement et ses agissements (la désobéissance à son père Thranduil roi des elfes en accompagnant Tauriel pour secourir les nains et compagnie) tout cela est un peu surprenant quand on connaît ce personnage de la franchise du Seigneur des Anneaux. Il est plutôt intolérant et sévère.

« Le Hobbit : La désolation de Smaug » est plus noir que le précédent. Et rien à voir avec « Le Seigneur des Anneaux » qui était encore plus sombre du début à la fin du récit. C’est normal car la cible était les adultes. Ici le spectateur recherché est plus jeune. D’où la légèreté de cette histoire.

Le hobbit, Martin Freeman alias Bilbon Sacquet est prodigieusement touchant et crédible. Il est héroïque, naïf et captivant. Smaug le dragon (voix de Benedict Cumberbatch alias Sherlock et complice de Martin Freeman alias Dr Watson dans la série tv Sherlock) est drôle, impressionnant, terrifiant parfois et réaliste. Evangeline Lilly alias Tauriel un des personnages intrus est malgré tout efficace.

Ce deuxième volet est bon. Il y a bien un souhait d’étendre la narration. Ce qui fait bien ressentir les plus de 02 heures 40 minutes. En effet, nous aurions pu nous passer de certaines scènes sans conséquences négatives pour l’ensemble de l’œuvre. Incontestablement, les nouveaux personnages « imposteurs » sont de vraies valeurs ajoutées pour cette aventure car ils se fondent bien dans le décor. Un monde étonnant et bien compliqué sorti tout droit de l’imagination fantastique de J.R.R Tolkien pour le plus grand plaisir des amateurs d’extraordinaire.

Les + :

* La réalisation
* Les décors
* Le récit
* Les effets spéciaux
* Le jeu des acteurs
* Bilbon est excellent
* Le dragon est convainquant

Les – :

* L’introduction des nouveaux personnages “intrus” Tauriel et Legolas (inexistants dans le livre de J.R.R Tolkien)

Thèmes : Adaptation de roman, créatures fantastiques, Diptyque, dragon, films en 3D – en relief, heroïc-fantasy, Magie et magiciens, nains, liliputiens, prequel etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “Carrie, la vengeance” – Mercredi 04 décembre 2013

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Critique Film Cinéma : “Carrie, la vengeance” – Mercredi 04 décembre 2013


Critique Film Cinéma Mercredi 04 décembre 2013

Carrie, le remake sanglant 40 ans après le chef d’œuvre de Brian De Palma !
FILM CARRIE, LA VENGEANCE - LE REMAKECARRIE, LA VENGEANCE
Epouvante-Horreur (01h40min) – Date de sortie : 04/12/2013
De Kimberly Peirce
Avec Chloë Grace Moretz, Julianne Moore, Judy Greer…
Interdit aux moins de 12 ans

Timide et surprotégée par sa mère très pieuse, Carrie est une lycéenne rejetée par ses camarades. Le soir du bal de fin d’année, elle subit une sale blague de trop. Carrie déchaîne alors de terrifiants pouvoirs surnaturels auxquels personne n’échappera…


Bande-Annonce : CARRIE, LA VENGEANCE

Critique Film : CARRIE, LA VENGEANCE de Kimberly Peirce
avec Chloë Grace Moretz, Julianne Moore, Judy Greer…

Par Franck DIPPA PRISO

Timide et surprotégée par sa mère très pieuse, Carrie est une lycéenne rejetée par ses camarades. Le soir du bal de fin d’année, elle subit une sale blague de trop. Carrie déchaîne alors de terrifiants pouvoirs surnaturels auxquels personne n’échappera…

Le film “Carrie, la vengeance” est la reprise du classique “Carrie” de Brian de Palma de 1976.
Les thèmes abordés sont la brimade, l’intimidation et l’humiliation à l’adolescence.
Ce n’est pas un long-métrage d’épouvante et d’horreur. En réalité on perçoit plus une signature parodique du genre.
Le récit se positionne dans la moquerie au second degré.
Les trucages sont légion mais cependant grotesques.
La grande question est donc “Carrie, la vengeance” est un film d’épouvante et d’horreur ou une comédie ?

La première scène donne le ton. Et répond clairement à cette question lorsque l’on voit la maman de Carrie qui accouche d’elle sans cordon ombilical.
Le message est évident mais maladroit : moquons nous des mauvaises copies (films) de l’original le chef d’œuvre inventif de M. Brian de Palma des années 70.

Il y a pas mal d’artifices absurdes et non nécessaires collés à l’axe principal.
Par exemple : Carrie maitrise en une semaine ses pouvoirs télékinésiques.
Autre chose d’hallucinant, elle est capable de détruire un lycée en quelques minutes mais est incapable par contre de se défendre face à sa mère armée d’un couteau.
Ne parlons même pas des personnages et de leurs répliques aberrantes.

Le projet cinématographique “Carrie, la vengeance” s’est certainement trompé de classe de genre.
Il peut aisément prétendre à l’Oscar de la meilleur comédie de l’année.

Carrie est clairement dépoussiérée.
Les acteurs ne sont pas mauvais.
C’est juste le scénario qui est faillible car les personnages sont incohérents.
L’envie de respecter la base de l’original est louable mais étant donné que c’est mal fait, la beauté du travail reste très limitée.
“Carrie, la vengeance” est donc simplement un film d’horreur et d’épouvante raté.

Les + :

* Une nouvelle version du film “Carrie”

Les – :

* Incohérences scénaristiques
* Incohérences des personnages
* Dialogues et répliques

Thèmes : Brimade, intimidation, humiliation, télékinésie, Epouvante-Horreur etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “Hunger Games – L’embrasement” – Mercredi 27 novembre 2013

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Critique Film Cinéma : “Hunger Games – L’embrasement” – Mercredi 27 novembre 2013


Critique Film Cinéma Mercredi 27 novembre 2013

Hunger Games 2 : La domination !
FILM HUNGER GAMES 2HUNGER GAMES – L’EMBRASEMENT
Action (02h26min) – Date de sortie : 27/11/2013
De Francis Lawrence
Avec Jennifer Lawrence, Liam Hemsworth…

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.

Katniss Everdeen est rentrée chez elle saine et sauve après avoir remporté la 74e édition des Hunger Games avec son partenaire Peeta Mellark. Puisqu’ils ont gagné, ils sont obligés de laisser une fois de plus leur famille et leurs amis pour partir faire la Tournée de la victoire…


Bande-Annonce : HUNGER GAMES – L’EMBRASEMENT

Critique Film : HUNGER GAMES – L’EMBRASEMENT de Francis Lawrence avec Jennifer Lawrence, Liam Hemsworth…

Par Franck DIPPA PRISO

Katniss Everdeen est rentrée chez elle saine et sauve après avoir remporté la 74e édition des Hunger Games avec son partenaire Peeta Mellark.
Puisqu’ils ont gagné, ils sont obligés de laisser une fois de plus leur famille et leurs amis pour partir faire la Tournée de la victoire dans tous les districts. Au fil de son voyage, Katniss sent que la révolte gronde, mais le Capitole exerce toujours un contrôle absolu sur les districts tandis que le Président Snow prépare la 75e édition des Hunger Games, les Jeux de l’Expiation – une compétition qui pourrait changer Panem à jamais…

Le film “Hunger Games “II” – L’embrasement” est bien peut-être même mieux que le premier volet.
Ce projet est à destination des adolescents et des jeunes adultes.
La tension dramatique est si grande qu’au bout de plus de 2 heures la fin surprend bien le spectateur.
La saga “Hunger Games” a un bel avenir devant elle.
L’amour (compliqué), l’espoir, l’humanité, la compassion et l’amitié (bizarre) sont les bonnes valeurs que Katniss partage aux spectateurs en héroïne idéale.

Le scénario est brillamment élaboré et contient des thèmes intelligents qui parlent aux adolescents de toutes les tranches d’âge.
C’est une histoire de combat, de bataille, de guerre contre une dictature représentée par une société nommée Panem.
Ce concept est judicieux et efficient.
Les épreuves ou les jeux sont grandioses et complexes. Le tout est bien expliqué dans des dialogues qui dynamisent l’ensemble avec l’action, ce qui évite une narration spatio-temporelle difficile à mettre en place.

Les projets cinématographiques “Hunger Games” sont souvent comparés au long-métrage Japonais “Battle Royale”.
Sauf que “Hunger Games” est bien plus édulcoré, bien plus doux que le saignant “Battle Royale”.
L’appel à la révolte est tout à fait évident il n’y a pas besoin d’en faire plus, d’être extrême pour faire passer le message. La violence la plus importante se décline sous différentes formes (pendaison, strangulation, et éviscération). Et l’effet émotionnel et dramatique est bien là.

Le réalisateur Francis Lawrence fait un très bon travail de réalisation.
Le plus gros problème du film “Hunger Games – L’embrasement” est la présence constante de la caméra “agitée” et mal gérée pendant les luttes et autres situations dangereuses.
Les décors sont remarquables.
Les costumes sont magnifiques.
Dans l’ensemble le jeu des acteurs est correct. sauf peut-être au début, Jennifer Lawrence semble surjouer un poil son rôle.

La fin est intéressante et captivante.
On ne devine pas facilement la fin.
Le suspense reste entier pour l’héroïne et les autres (ok, plus pour les autres).
De plus, il reste deux films à réaliser, ce qui promet des suites encore d’un autre niveau.

Le long-métrage “Hunger Games – L’embrasement” est un franc succès et je pense vous aurez hâte de vite découvrir les surprises des prochains chapitres.

Les + :

* L’histoire accrocheuse
* La tension dramatique forte
* Les beaux décors
* Les ravissants costumes
* L’action
* Le suspense

Les – :

* La caméra “épileptique”
* L’interprétation un peu exagérée de Jennifer Lawrence au début

Thèmes : Adaptation de roman, adolescent, adolescence, anticipation, futur, avenir proche, rébellion, sœurs, suite, sequel, triangle amoureux etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “Capitaine Phillips” – Mercredi 20 novembre 2013

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Critique Film Cinéma : “Capitaine Phillips” – Mercredi 20 novembre 2013


Critique Film Cinéma Mercredi 20 novembre 2013

Ô mon bateau !
FILM CAPITAINE PHILLIPSCAPITAINE PHILLIPS
Drame (02h14min) – Date de sortie : 20/11/2013
De Paul Greengrass
Avec Tom Hanks, Catherine Keener…

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.

Capitaine Phillips retrace l’histoire vraie de la prise d’otages du navire de marine marchande américain Maersk Alabama, menée en 2009 par des pirates somaliens.


Bande-Annonce : CAPITAIN PHILLIPS

Critique Film : CAPITAIN PHILLIPS de Paul Greengrass avec Tom Hanks, Catherine Keener…

Par Franck DIPPA PRISO

Capitaine Phillips retrace l’histoire vraie de la prise d’otages du navire de marine marchande américain Maersk Alabama, menée en 2009 par des pirates somaliens. La relation qui s’instaure entre le capitaine Richard Phillips, commandant du bateau, et Muse, le chef des pirates somaliens qui le prend en otage, est au cœur du récit. Les deux hommes sont inévitablement amenés à s’affronter lorsque Muse et son équipe s’attaquent au navire désarmé de Phillips. À plus de 230 kilomètres des côtes somaliennes, les deux camps vont se retrouver à la merci de forces qui les dépassent…

Le réalisateur “nerveux” (avec sa caméra épileptique) Paul Greengrass semble être l’homme de la situation selon les attributs de ce récit patriotique, fort, sauvage et dramatique. C’est donc une évidence de s’attendre dans le film “Capitaine Phillips” à des séquences dynamiques, des scènes très sport. Seulement voilà, cela doit être justifié et cohérent. On ne peut pas à n’importe quel moment utilisé ce type d’effet de style.

Mise à part le mouvement nerveux et “incontrôlable” de la caméra et le patriotisme indéniable du metteur en scène ce long-métrage est une production forte, solide et consistante.
Du début à la fin notre attention retenue. La fin du film est d’ailleurs renversante.
La tension narrative est constante.

Le comédien principal Tom Hanks est éclatant. Après ses deux oscars pour ses rôles dans les films “Forrest Gump” et “Philadelphia” cette nouvelle interprétation magistrale laisse penser qu’il est en bonne place pour recevoir de nouvelles statuettes. Les différentes palettes (aimant, sensible, dur, imperturbable) de son jeu d’acteur sont mémorables.

Cette œuvre ne comporte pas de minutes inutiles malgré ses 134 minutes.
Le scénario de Billy Ray est intelligent.
Les dialogues sont justes et bien placés.
L’action entre les personnages est bien logique et justifiée.
On sait tout de suite qui est qui et qui veut quoi.

Ce projet ne se positionne pas vraiment vers une opinion particulière.
Le spectateur repère bien le cadre social, économique et politique de tous les camps.
Il peut se faire son propre point de vue.
L’orientation du choix du capitaine comme héros de notre cœur dans ce récit est presque naturelle.

Le film “Capitaine Phillips” est un divertissement brillant.
Le scénario est bien écrit.
Les personnages sont touchants.
La réalisation est experte et pousse à la réflexion, au raisonnement.
Sur ce thème là, c’est vraiment un des films à voir cette année 2013.

Les + :

* Tom Hanks et son excellent jeu d’acteur complet
* La force de l’histoire
* La tension narrative efficace

Les – :

* La caméra nerveuse du réalisateur Paul Greengrass même quand ce n’est pas nécessaire
* Drame parfois difficile à regarder

Thèmes : Prise d’otages, Abordage, Sur l’eau, Bateau, Pirates, Pirates Somaliens, Histoire vraie etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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