Archive | décembre 2014

Critique Film Cinéma : “Le Septième Fils” – Mercredi 17 décembre 2014

Critique Film Cinéma : “Le Septième Fils” – Mercredi 17 décembre 2014

Critique Film Cinéma Mercredi 17 décembre 2014

Une aventure surnaturelle médiévale, une triste copie des sagas “Le Seigneur des Anneaux” et “Le Hobbit” par les producteurs de “Godzilla” et “300 Chapitre 2» !
FILM CINEMA LE SEPTIEME-FILSLE SEPTIEME FILS
Fantastique, Aventure (01h42min) – Date de sortie : 17/12/2014
De Sergey Bodrov
Avec Jeff Bridges, Ben Barnes, Julianne Moore…

Une époque enchantée, où les légendes et la magie ne font qu’un…L’unique guerrier survivant d’un ordre mystique part en quête d’un héros prophétique doté d’incroyables pouvoirs, désigné par la légende comme étant le dernier des Sept Fils.
Le jeune héros malgré lui, arraché à la vie tranquille de fermier qu’il menait jusqu’à présent, va tout quitter pour suivre ce nouveau mentor rompu au combat. Ensemble ils tenteront de terrasser une reine d’autant plus maléfique qu’elle a levé contre le royaume une armée d’assassins redoutables aux pouvoirs surnaturels.


Bande-Annonce : LE SEPTIEME FILS

Critique Film : LE SEPTIEME FILS de Sergey Bodrov avec Jeff Bridges, Ben Barnes, Julianne Moore…

Par Franck DIPPA PRISO

À une époque depuis longtemps révolue, le Mal est sur le point d’être relâché, un mal qui pourrait faire renaître la guerre entre les forces surnaturelles et l’humanité encore une fois. Le Maître Gregory, le dernier Chevalier du Faucon, a emprisonné la puissante sorcière Mother Malkin il y a plusieurs années. Mais maintenant, elle s’est échappé et cherche à se venger. Réunissant ses fidèles, Mother Malkin est sur le point de lâcher sa colère sur le monde. Seul le Maître Gregory peut l’arrêter. Gregory se retrouve donc face à face avec le mal qu’il craignait tant voir revenir. Il a seulement jusqu’à la prochaine lune pour faire ce qu’il a pris l’habitude de faire au cours des dernières années : former un nouvel apprenti pour combattre une magie noire hors du commun. Le seul espoir de l’humanité réside dans le septième fils d’un septième fils.

Généralement, les romans adaptés au cinéma peuvent être de belles réussites mais aussi des échecs cuisants.
Du film “Divergente” à “The Giver”, les productions de films cherchent à séduire les spectateurs de la catégorie “jeunes adultes” en créant des sagas à exploiter au maximum comme les long-métrages “Le Seigneur des Anneaux” “Harry Potter”, “Twilight” et “Hunger Games”. Hélas, c’est peine perdue.

Le film “Le Septième Fils” est l’adaptation cinématographique de 13 romans “L’Epouvanteur” titre original “The Wardstone Chronicles” de Joseph Delaney.
Initialement, ce projet de Legendary Pictures devait sortir début 2013.
Suite à différentes difficultés la Warner Bros a cédé les droits d’exploitation du film à Universal Studios.
Le long-métrage “Le Septième Fils” n’est pas brillant, mais il est loin de la déception annoncé par certains.
L’ensemble et en particulier les actions et le scénario sont tellement attendus.
Le récit propose de découvrir l’apprentissage du héros Ben Barnes (familier et déjà vu dans les films “Narnia” et “Stardust”) alias Tom Ward. Il a surtout marqué les mémoires pour son rôle dans le métrage “Dorian Gray” de 2009.
L’acteur principal devient le disciple de Jeff Bridges alias John Gregory maître dur et compétent.
Julianne Moore alias Mère Malkin offre une interprétation modérée et irréprochable loin d’un simulacre inhabile.
C’est la première réalisation en anglais de Sergey Bodrov (cinéaste russe du film “Mongol” de 2007).

Le film “Le Septième Fils” a un remarquable casting, une réalisation correcte, des décors, des costumes et des effets visuels (la 3D par exemple) aboutis.
La grande faiblesse de cette œuvre est dans le récit qui reprend tous les codes de ce type d’épopée.
L’opposition entre le maître et l’élève, l’amour interdit entre l’apprenti et la sorcière juvénile etc.
La pléiade de clichés, vise ici à raconter une nouvelle acceptable à destination du jeune public (adolescents plus) qui seront séduits par l’atmosphère et la cadence, alors que les adultes s’endormiront probablement pendant quelques scènes explosives honorables.

Les + :

* Bon casting
* Bons effets spéciaux

Les – :

* Scénario déjà vu des centaines de fois

Thèmes : Fantastique , Aventure, Médiéval, Magie, Sorcellerie, Quête, Aventure, Le combat entre le bien et le mal, Maître, Apprenti, Magicien, Sorcier, Sorcière, Guerrier etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “Qu’Allah bénisse la France” – Mercredi 10 décembre 2014

Critique Film Cinéma : “Qu’Allah bénisse la France” – Mercredi 10 décembre 2014

Critique Film Cinéma Mercredi 10 décembre 2014

Le cri social cinématographique de la fin d’année 2014 ! Une leçon d’espérance, de tolérance et d’intégration française !
FILM CINEMA QU'ALLAH BENISSE LA FRANCEQU’ALLAH BENISSE LA FRANCE
Comédie Dramatique (01h36min) – Date de sortie : 10/12/2014
De Abd Al Malik
Avec Marc Zinga, Sabrina Ouazani, Larouci Didi…

Adapté du livre autobiographique de Abd Al Malik, “QU’ALLAH BENISSE LA FRANCE” raconte le parcours de Régis, enfant d’immigrés, noir, surdoué, élevé par sa mère catholique avec ses deux frères, dans une cité de Strasbourg. Entre délinquance, rap et islam, il va découvrir l’amour et trouver sa voie.


Bande-Annonce : QU’ALLAH BENISSE LA FRANCE

Critique Film : QU’ALLAH BENISSE LA FRANCEde Abd Al Malik avec Marc Zinga, Sabrina Ouazani, Larouci Didi…

Par Franck DIPPA PRISO

Le film “Qu’Allah bénisse la France” de Abd Al Malik est l’adaptation cinématographique du livre autobiographique de Abd Al Malik “QU’ALLAH BENISSE LA FRANCE”.
Ce projet parle du cheminement d’un jeune noir fils d’immigrés interprété Marc Zinga alias Régis/Abd Al Malik. C’est un garçon élevé avec ses deux frères par une maman catholique dans une cité strasbourgeoise.
Son quotidien se résume en quelques mots délinquance, rap et islam.
Cependant, il va faire l’expérience de l’amour et trouver son chemin.
Sur le plan esthétique et technique, l’absence de couleurs donc le noir et blanc est un hommage clair au long-métrage culte “La Haine” de Mathieu Kassovitch.
Bien entendu, c’est l’unique similitude entre les deux films.
Ici la violence est éclipsée au profit d’un portrait de l’islam pacifique, un visage poétique des citées ponctué par un slam touchant du protagoniste principal.
Cette production n’est pas irréprochable loin de là mais l’honnêteté et la franchise de la démonstration du rappeur, slameur, écrivain, poète et désormais cinéaste Abd Al Malik sautent aux yeux.

Les + :

Les – :

Thèmes :
Comédie Dramatique, Social, Citées etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “Paddington” – Mercredi 03 décembre 2014

Critique Film Cinéma : “Paddington” – Mercredi 03 décembre 2014

Critique Film Cinéma Mercredi 03 décembre 2014

Découvrez un ourson péruvien gaffeur et attachant dans cette comédie de fin année 2014 pour toute la famille !
FILM CINEMA PADDINGTONPADDINGTON
Comédie, Famille (01h35min) – Date de sortie : 03/12/2014
De Paul King
Avec Ben Whishaw, Hugh Bonneville, Sally Hawkins…

A partir de 3 ans

Paddington raconte l’histoire d’un jeune ours péruvien fraîchement débarqué à Londres, à la recherche d’un foyer et d’une vie meilleure. Il réalise vite que la ville de ses rêves n’est pas aussi accueillante qu’il croyait. Par chance, il rencontre la famille Brown et en devient peu à peu un membre à part entière.


Bande-Annonce : PADDINGTON

Critique Film : PADDINGTONde Paul King avec Ben Whishaw, Hugh Bonneville, Sally Hawkins…

Par Franck DIPPA PRISO

Les joyeuses mésaventures d’un ours venu du Pérou amoureux de tout ce qui est… anglais. Parti pour Londres pour réaliser son rêve, il se retrouve perdu à la gare de Paddington, réalisant bien vite que la belle vie telle qu’il l’avait imaginée ne ressemble en rien à la réalité qu’il voit. Heureusement son cauchemar prend fin avec la rencontre de la famille Brown. Gentils et attentionnés, ils l’accueillent chez lui. La chance du petit ours a peut-être tourné…

L’Ourson Péruvien Paddington est censé être hébergé chez la famille Brown à Londres juste pour un soir. Evidemment, ça être pour plus longtemps malgré les désastres dont il est l’auteur (en premier, l’inondation inoubliable).
L’Ours est le piment inattendu de leur vie bien rangée.
Le réalisateur Paul King a bon goût et le sens du rythme. Il s’inspire d’ailleurs de l’univers de Wes Anderson (choses classées, demeures de figures, plans de coupe etc.).
La musique évoque celle d’Alexandre Desplat (avec un orchestre qui vient rythmer les histoires de la petite tribu).
Le domaine de référence est beau car il se rapproche de celui des aux frères Farrelly.
Il n’y a aucun moment de spleen dans le film “Paddington”.
De surcroit, le long-métrage se termine par une scène de suspense formidable qui marque les esprits.

Les + :

* Animation remarquable
* Ours réaliste
* Intelligent
* Cocasse
* Style esthétique
* Rythme

Les – :

* Absence de second degré d’humour
* Scénario banal

Thèmes : Amour, Foyer, Famille, Voyage, Aventure, Angleterre, Londres, Famille Anglaise, Rêve, Réalité Ours, Oursons, Péruvien, Pérou.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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