Archive | novembre 2014

Critique Film Cinéma : “Night Call” – Mercredi 26 novembre 2014

Critique Film Cinéma : “Night Call” – Mercredi 26 novembre 2014

Critique Film Cinéma Mercredi 26 novembre 2014

“American Psycho ou Le Rôdeur de la Nuit” auraient pu être les titres de ce long-métrage. Voici le thriller psychologique de l’année 2014 par les producteurs du film “Drive” !
FILM CINEMA NIGHT CALLNIGHT CALL
Thriller, Drame (01h57min) – Date de sortie : 26/11/2014
De Dan Gilroy
Avec Jake Gyllenhaal, Rene Russo, Riz Ahmed…

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

Branché sur les fréquences radios de la police, Lou parcourt Los Angeles la nuit à la recherche d’images choc qu’il vend à prix d’or aux chaînes de TV locales. La course au spectaculaire n’aura aucune limite…

Bande-Annonce : NIGHT CALL

Critique Film : NIGHT CALLde Dan Gilroy avec Jake Gyllenhaal, Rene Russo, Riz Ahmed…

Par Franck DIPPA PRISO

Louis Bloom n’a jamais eu d’emploi stable. Il n’a pas d’éducation non plus. Les choses qu’il sait, il les a apprises sur internet. Un soir, il aperçoit un journaliste indépendant capter des images d’un accident. Ceci l’inspire à devenir, lui aussi, un caméraman pour les nouvelles de dernière heure. Après avoir filmé ses premières images-chocs, il se rend dans une station de télévision pour les vendre. Les gens sont emballés par son travail, surtout la réalisatrice de l’émission du matin, qui apprécie son audace. Quand Louis arrivera sur les lieux d’un crime violent avant les policiers et que ses images feront la manchette, les autorités commenceront à s’intéresser à son cas.

Deux choses sont certaines, le film “Night Call” de Dan Gilroy est le thriller psychologique de l’année 2014 et Jake Gyllenhaal le comédien principal livre ici la meilleure performance (magistrale) de sa carrière (ça sent bon la nomination aux Oscars 2015 dans la catégorie “Meilleur Acteur”). Oui son personnage est remarquable.
Il fait peur, il est tordu, torturé, intrépide, choquant et c’est un psychopathe hostile à la société et à l’ordre social établi.
Il est l’atout, la carte maîtresse du projet.
On ne l’aime pas mais son côté malsain rend curieux le spectateur jusqu’au bout. Ce qui est rare dans les réalisations et les productions cinématographiques de nos jours.

Jake Gyllenhaal alias Lou Bloom est l’artisan principale de cette belle réussite mais pas seulement. Les seconds rôles apportent également quelque chose en plus. Rene Russo se positionne entre bon sens et folie.
Son jeu d’actrice est déconcertant, impeccable et émouvant.
Riz Ahmed aussi en partenaire innocent, naïf et manipulable à souhait du dérangé Jake Gyllenhaal n’est pas en reste.

Le long-métrage est fort du début à la fin.
Le décor est planté dès le départ lorsqu’on saisit la démence évolutive du protagoniste. Il est vrai que la conclusion du film pouvait être plus efficace et plus bouleversante.
La fin un peu banale est pratiquement la seule carence du métrage.
La force de cette œuvre est le bouleversement de nos principes, valeurs et croyances de bout en bout et à chaque scènes.

Dan Gilroy est le réalisateur mais également le scénariste de cette création. Il démontre un grand talent certain sur les deux plans. Son empreinte et sa présence filmique n’écrase pas l’obsession de son personnage ainsi que l’ambiance sinistre du récit. Les séquences avec la caméra à l’épaule sont idéales et adaptées à la prise de vue dans l’action des reportages à sensation. Il faut noter que le film est très critique sur la couverture médiatique (en particulier télévisée) des faits divers.
L’oubli de l’angle actuel du reporter amateur lamda qui est capable aujourd’hui de filmer un évènement dans la rue avec son téléphone mobile (smartphone) est bien là. Cependant, cela n’empêche pas d’être tous plongés dans une vision de folie.

Entre les rires jaunes et le malaise du spectateur, les codes de la comédie noire sont présents dans film afin de communiquer une idée, un message. L’hystérie d’angoisse est une composante puissante et évidente du long-métrage. Tout naturellement, on se pose la question “du pourquoi du comment” de tout ceci (recherche de logique) ?
Hélas, c’est trop lourd et compliqué à cerner.
Il faut donc se résigner à accepter cette psychose cinématographique.

Les + :

* La qualité du personnage

* L’interprétation exceptionnelle de Jake Gyllenhaal

* Le talents des seconds rôles

* Le scénario

* La réalisation

Les – :

* L’absence de l’angle moderne sur immédiateté de l’image (smartphone)

* Une fin ordinaire

Thèmes : Thriller, Drame, Soif de reconnaissance, Besoin de reconnaissance, Vente d’images, Spectaculaires, Sensations, Scandales, Faits divers, Accidents, Meurtres, Crimes violents, Policiers, Succès, Audience, Film, Filmer, Reportage, Caméraman, Réalisateur, Journaliste, Journalisme, Images chocs, Emission, Emission de nuit, Presse, Télévision, Médias, Audiovisuel, Tv Locales, Emploi, Education, Internet, L.A, Los Angeles etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “Hunger Games – La Révolte : Partie I” – Mercredi 19 novembre 2014

Critique Film Cinéma : “Hunger Games – La Révolte : Partie I” – Mercredi 19 novembre 2014

Critique Film Cinéma Mercredi 19 novembre 2014

Le chapitre 3 première partie de la saga Hunger Games !
FILM CINEMA HUNGER GAMES LA REVOLTE PARTIE 1HUNGER GAMES – LA REVOLUTION : PARTIE 1
Action, Drame, Science fiction (02h03min) – Date de sortie : 19/11/2014
De Francis Lawrence
Avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson, Liam Hemsworth…

Katniss Everdeen s’est réfugiée dans le District 13 après avoir détruit à jamais l’arène et les Jeux. Sous le commandement de la Présidente Coin, chef du district, et suivant les conseils de ses amis en qui elle a toute confiance, Katniss déploie ses ailes pour devenir le symbole de la rébellion. Elle va se battre pour sauver Peeta et libérer le pays tout entier, à qui son courage a redonné espoir.

Bande-Annonce : HUNGER GAMES – LA REVOLUTION : PARTIE 1

Critique Film : HUNGER GAMES – LA REVOLUTION : PARTIE I de Francis Lawrence avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson, Liam Hemsworth…

Par Franck DIPPA PRISO

Katniss vient d’être récupérée par le District 13. La présidente Alma Coin lui demande, sans plus de cérémonie, d’être l’emblème de la rébellion. Après avoir imposé ses conditions, elle accepte d’être leur geai moqueur. Elle se rend sur les sites des anciens Districts ravagés par le Capitole et tourne des campagnes de propagandes pour convaincre les habitants de Panem de joindre leurs forces contre l’ennemi commun. Peeta est devenu l’arme du Capitole. Il l’utilise pour contrer les soulèvements et la détermination de Katniss, mais cette dernière refuse de l’abandonner et exige qu’on aille le secourir. Malheureusement, Peeta n’est plus celui qu’elle a connu, transformé par la torture et la peur.

Il était normal de s’attendre à une belle réussite pour ce 3ème chapitre partie 1 de la franchise “Hunger Games” étant donné que les 2 premiers étaient bons. Evidement, on ne change pas une équipe qui gagne (c’est toujours le même groupe efficace qui s’est collée au scénario et à la réalisation). Le traite de cette aventure post-apocalyptique à priori calibré pour les adolescents n’est pas léger, ni commun. Il est à l’opposé, puissant et plein de fureur qui nous touche de plein fouet. L’héroïne Jennifer Lawrence alias Katniss Everdeen nous donne envie de la rejoindre dans son combat pour la liberté. Elle a ce don de comédienne rare qui peut vous embraser et vous emporter dans son univers.

Jennifer Lawrence est l’âme de la saga “Hunger Games”.
Sans elle, sans son charisme, le succès de cette production ne serait pas le même. Il en va de même pour Josh Hutcherson alias Peeta Mellark, méconnaissable en jeune homme déterminé et sauvage. Sans oublier le défunt Philip Seymour Hoffman qui livre pour la dernière fois encore une performance d’acteur dont lui seul avait le secret. L’extravagante Elizabeth Banks nous propose aussi une métamorphose de son personnage, une facette différente et attrayante.

Ce film est la moitié de l’adaptation d’un roman.
Coup marketing afin de pomper deux fois plus d’argent ?
Non, même s’il est plus court cette 1ère partie ne nous laisse aucun répit et toutes les scènes sont suffisantes et cohérentes.

Les effets spéciaux sont toujours de grande qualité.
Le travail visuel et musical est harmonieux.
Ce n’est pas réellement un inconvénient mais le tournage est le plus souvent dans des cadres fermés et obscurs.
Le choix de la position impartial via l’utilisation de la caméra subjective par le réalisateur Francis Lawrence est excellent. La caméra à l’épaule n’est plus comme dans le 1er chapitre. C’est habile et c’est tant mieux si c’est pour nous faire éviter des crises d’épilepsie.

“Hunger Games – La Révolte : Partie 1” la moitié du chapitre 3 de la sage est à la hauteur (divertissement satisfaisant) des précédents opus cependant, elle dépend de la suite pour avoir toute sa consistance et son envergure. Alors vivement la suite… !

Les + :

* Tout est bon ou presque

Les – :

* Le film est en 2 parties

Thèmes : Action, Drame, Science-Fiction, Société totalitaire, Rébellion, Libération, Combat, Guerre, Soumission, Dictature, Société Post-Apocalyptique etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “Quand vient la nuit” – Mercredi 12 novembre 2014

Critique Film Cinéma : “Quand vient la nuit” – Mercredi 12 novembre 2014

Critique Film Cinéma Mercredi 12 novembre 2014

Le polar froid et implacable de l’année !
FILM CINEMA QUAND VIENT LA NUITQUAND VIENT LA NUIT
Thriller, Drame, Policier (04h47min) – Date de sortie : 12/11/2014
De Michael R. Roskam
Avec Tom Hardy, Noomi Rapace, James Gandolfini…

Bob Saginowski, barman solitaire, suit d’un regard désabusé le système de blanchiment d’argent basé sur des bars-dépôts – appelés « Drop bars » – qui sévit dans les bas-fonds de Brooklyn. Avec son cousin et employeur Marv, Bob se retrouve au centre d’un braquage qui tourne mal. Il est bientôt mêlé à une enquête qui va réveiller des drames enfouis du passé…


Bande-Annonce : QUAND VIENT LA NUIT

Critique Film : QUAND VIENT LA NUIT de Michael R. Roskam avec Tom Hardy, Noomi Rapace, James Gandolfini…

Par Franck DIPPA PRISO

Bob est barman dans l’établissement de son cousin Marv. Périodiquement, l’endroit est appelé à servir de dépôt temporaire pour l’argent de la mafia ayant circulé dans les rues de Brooklyn durant la nuit. Lorsque le bar est cambriolé, ses réels propriétaires, un gang tchétchène qui n’entend pas à rire lorsqu’il est question de ses avoirs, met la pression sur le duo pour que celui-ci rétablisse la situation. Si Bob tient à garder la tête froide et à ne pas faire de vagues, il semble en être autrement pour Marv, qui n’a toujours pas accepté de voir la notoriété dont il jouissait autrefois lui filer aussi facilement entre les doigts.

Un belge qui dirige des acteurs américains ça ressemble à une blague sur les belges. Sauf que la c’est vrai et c’est sérieux.
Oui Michael R. Roskam est un réalisateur belge (doué même).
C’est le créateur du film à succès (nomination aux Oscars dans la catégorie du meilleur film en langue étrangère) “Bullhead” de 2011. L’auteur et scénariste américain Dennis Lehane l’a désigné afin qu’il matérialise l’adaptation de son roman du même nom (“The Drop” (titre original du roman et du film) ou “Quand vient la Nuit” (titre français du film)) pour la simple et bonne raison qu’ils ont le même univers en commun.

C’est évident que le résultat n’est pas à la hauteur des films tels que “Mystic River” et “Gone Baby Gone” (autres adaptations cinématographiques des romans de Dennis Lehane).

Malgré tout, le long-métrage “Quand vient la Nuit” plaît grâce à ses ambiances ténébreuses. De plus, cette aventure un peu embrouillée est mise en valeur par un casting d’exception porté par Tom Hardy (sa performance d’acteur est brillante en employé de bar qui va se retrouver embarqué dans une cascade de problèmes qui fera malheureusement des victimes au passage).

L’action se déroule à Brooklyn. La mafia tchétchène utilise un club comme couverture pour y stocker son argent véreux. Tom Hardy alias Bob Saginowski le gérant ferme les yeux sur les magouilles en question.
Le déclencheur d’ennuis va être l’accueil du chien blessé par Bob Saginowski.

A la suite de ce geste de compassion les autres personnages vont être également touchés comme par exemple le cousin propriétaire James Gandolfini alias le cousin Marv, Noomi Rapace alias Nadia et Matthias Schoenaerts alias Eric la star des films “Bullhead” et “De Rouille et d’Os” (à noter que dans ce nouveau rôle il est toujours aussi remarquable).

Ce film de genre noir classique offre un trio jubilatoire (Hardy, Gandolfini et Schoenaerts).
Cependant, l’innovation n’est pas au rendez-vous dans “Quand vient la Nuit” contrairement à “Bullhead” qui nous plongeait dans le monde des criminels trafiquants d’hormones bovines avec des personnages atypiques.
Les autres faiblesses de cette œuvre sont les périodes de flottements et parfois un manque de rythme.
Quelques fois l’action progresse timidement.
Le protagoniste féminin aurait mérité un développement plus important.
D’autant plus qu’elle sort le héros de sa zone de confort.

Au final, les fans d’histoires criminelles traditionnelles seront ravis d’être emportés par les personnages forts et attachants du film “Quand vient la Nuit”.

Les + :

* Des personnages forts et charismatiques

Les – :

* Polar noir classique sans originalité particulière

* Le développement limité du personnage féminin

Thèmes : Mafia, Bar, Gangs, Argent, Couverture, Blanchiment d’argent, Braquage etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma : “Interstellar” – Mercredi 05 novembre 2014

Critique Film Cinéma : “Interstellar” – Mercredi 05 novembre 2014

Critique Film Cinéma Mercredi 05 novembre 2014

Christopher Nolan le réaliateur “d’Inception” et de la sage “The Dark Knight” cette fois vous propulse dans l’espace !
FILM CINEMA INTERSTELLARINTERSTELLAR
Science-Fiction, Drame (02h49min) – Date de sortie : 05/11/2014
De Christopher Nolan
Avec Matthew McConaughey, Anne Hathaway, Michael Caine…

Le film raconte les aventures d’un groupe d’explorateurs qui utilisent une faille récemment découverte dans l’espace-temps afin de repousser les limites humaines et partir à la conquête des distances astronomiques dans un voyage interstellaire.

Bande-Annonce : INTERSTELLAR

Critique Film : INTERSTELLAR de Christopher Nolan avec Matthew McConaughey, Anne Hathaway, Michael Caine…

Par Franck DIPPA PRISO

Dans un proche futur, la Terre est devenue hostile pour l’homme. Les tempêtes de sable sont fréquentes et il n’y a plus que le maïs qui peut être cultivé, en raison d’un sol trop aride. Cooper est un pilote, recyclé en agriculteur, qui vit avec son fils et sa fille dans la ferme familiale. Lorsqu’une force qu’il ne peut expliquer lui indique les coordonnées d’une division secrète de la NASA, il est alors embarqué dans une expédition pour sauver l’humanité et lui trouver une nouvelle terre d’accueil. Malgré l’importance de sa mission, il regrette de devoir laisser sa fille derrière, qui n’accepte pas de voir son père l’abandonner ainsi.

Je suis bluffé (he did it again ! (il l’a encore fait)) ! Le réalisateur d’exception, M. Christopher Nolan m’a encore surpris et touché avec son film “Interstellar”. Avec son film précédent “Inception” la barre était déjà très haute. Ici il remet le couvert avec un aplomb remarquable.
“Interstellar” est un bijou du 7ème Art.
Le cinéma existe pour que nous puissions voir de telles choses.
L’expérience exceptionnelle que nous pouvons vivre avec le format IMAX est tout simple époustouflante.
Le tout dans une aisance totale et une considération évidente.
Cette histoire originale nous offre un savant mélange d’excellence artistique et de divertissement.

Cette fois encore le cinéaste a été studieux (il a fait des recherches afin de composer sa trame narrative).
Son tour de force dans le cas présent, c’est qu’il a imaginé cette aventure sur la base de théories scientifiques véridiques. Le magnifique scénario a deux auteurs, Jonathan et Christopher Nolan. L’exigence de cet écrit transpire l’intelligence. Le long-métrage va à l’essentiel sans se charger de dialogues inutiles et d’histoires d’amour à l’eau de rose. Nolan est un prodige. Il a l’art et la manière d’accrocher et de passionner le spectateur pendant trois heures sans laisser aucune place à l’ennui.

Les effets spéciaux sont d’une qualité supérieure à nous couper le souffle. On reste stoïque devant tant de splendeur artistique et esthétique à l’image. De même que le jeu des comédiens, il nous fait palper toutes la palette d’émotions voulues (la peur, la tristesse, l’amour, la joie, la compassion, l’impuissance, le courage, la fierté etc.) du début à la fin. Dès le départ de l’histoire l’idée d’une planète en perdition sonne vraie et juste.
L’avenir compromis de l’Homme sur terre est vraiment concret par rapport à d’autres productions parlant du même sujet. Un détail rend cela encore plus réaliste, l’image de l’humanité y est plus honorable.
Le rapport d’amour fusionnel entre le père et la fille est très fort. Le choix du père (Matthew McConaughey alias Cooper) qui doit sauver l’humanité (choix du collectif) ou de demeurer avec les siens (choix de l’individu).
Attention la puissance de quelques scènes pourra vous émouvoir aux larmes (ce n’était pas mon cas mais presque alors les plus sensibles préparez les mouchoirs).

Christopher Nolan confirme avec ce projet que pour faire un film exceptionnel, il faut plus qu’un bon scénario, plus que des bons acteurs, plus que des bons effets spéciaux etc. Il faut être doué en “chimie cinématographique”, être un excellent alchimiste (savoir mélanger et équilibrer tous les éléments cinématographiques). Et c’est le cas pour Nolan.

Dans le long-métrage “Interstellar” la compréhension de l’espace temps n’est pas simple à saisir du premier coup (il y a pas mal de subtilités). Il faut plusieurs visionnages afin de discerner la véritable teneur de ce chef-d’œuvre. Et oui qui dit divertissement ne dit pas forcément simpliste. Il faut parfois de la teneur dans le but de faire une belle création unique.
La fin est un peu longue à venir et la conclusion un peu curieuse mais une chose est certaine ce film est merveille rare (un bel ovni venu d’une autre planète) à voir absolument.

Les + :

* Tous les points (artistique, technique etc.)

Les – :

* Une fin un peu longue

* Une conclusion un peu étrange

Thèmes : Science-Fiction, Drame, Voyage dans l’Espace, Voyage Spatial, Sauvetage de la Terre, Aventures de Voyageurs, Trou Noir, Espace-Temps etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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