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Critique Film Cinéma “Paperboy” Mercredi 17 Octobre 2012

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Critique Film Cinéma “Paperboy” Mercredi 17 Octobre 2012


Critique Film Cinéma Mercredi 17 Octobre 2012

Un polar sensuel et tranchant dans la moiteur du sud de l’Amérique !
PAPERBOY
Thriller (01h48min) – Date de sortie : 17/10/2012
De Lee Daniels (I)
Avec Matthew McConaughey, Zac Efron…
Interdit aux moins de 12 ans

1969, Lately, Floride. Ward Jansen, reporter au Miami Times, revient dans sa ville natale, accompagné de son partenaire d’écriture Yardley Acheman. Venus à la demande de Charlotte, femme énigmatique qui entretient une correspondance avec des détenus…

Bande-Annonce vost : PAPERBOY

Critique Film : PAPERBOY de Lee Daniels (I) avec Matthew McConaughey, Zac Efron…

Par Franck DIPPA PRISO

1969, Lately, Floride. Ward Jansen, reporter au Miami Times, revient dans sa ville natale, accompagné de son partenaire d’écriture Yardley Acheman. Venus à la demande de Charlotte, femme énigmatique qui entretient une correspondance avec des détenus dans le couloir de la mort, ils vont enquêter sur le cas Hillary Van Wetter, un chasseur d’alligators qui risque d’être exécuté sans preuves concluantes. Persuadés de tenir l’article qui relancera leur carrière, ils sillonnent la région, conduits par Jack Jansen, le jeune frère de Ward, livreur du journal local à ses heures perdues. Fasciné par la troublante Charlotte, Jack les emmène de la prison de Moat County jusqu’aux marais, où les secrets se font de plus en plus lourds. L’enquête avance au cœur de cette Floride moite et écrasante, et révèle que parfois, la poursuite de la vérité peut être source de bien des maux…

On arrête pas de découvrir et de redécouvrir Matthew McConaughey au cinéma dans des rôles très différents et très audacieux depuis le début de sa carrière en 1993 (une figuration dans le film “Génération Rebelle” de Richard Linklater).

Le film “Paperboy” n’a pas convaincu au 65ème Festival de Cannes 2012.
Cependant, toute la profession a salué sa performance de journaliste flou qui utilise toute son énergie pour sauver un condamné à mort qui semble être une vrai “crapule”. Vous serez remués par ce conte pour grandes personnes fourni en rebondissements.
Nicole Kidman va aussi vous étonner.
En effet, elle met au placard sa beauté un peu froide pour s’investir d’un style plus énergique, plus fou.
Le réalisateur Lee Daniels (“Precious”) dirige bien ses acteurs.
Il propose au spectateur une bonne intrigue et bon divertissement dans l’ensemble.

Les + :

* Conte pour grands
* Inquiétant
* Captivant
* Excellente direction d’acteurs
* Bonne intrigue
* Magnétique
* Riche
* Saturé
* Esthétique
* Distrayant

Les – :

* “Paperboy” n’innove pas, il nous évoque très vite le polar de Louisiane “Dans 
la brume électrique” de Bertrand Tavernier
* Mix excessif des genres
* Mise en scène laborieuse
* Lourdeur
* Surenchère
* Sérieux
* Grotesque
* Peu drôle
* Raté
* Parfois ridicule

Thèmes : Ambiance 60’s – années 60, Amérique profonde, avocat, juge, procès, tribunal, justice, enquête, inspiré d’une histoire vraie, journaliste, journalisme, reporter, marais, meurtre,assassinat, peine de mort, condamné à mort, prison, prisonnier, maison de correction etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma “Footloose” Mercredi 21 Décembre 2011

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Critique Film Cinéma “Footloose” Mercredi 21 Décembre 2011


Critique Film Cinéma Mercredi 21 Décembre 2011

Rébellion par la danse !
FOOTLOOSE
Comédie (01h53min) – Date de sortie : 21/12/2011
De Craig Brewer
Avec Kenny Wormald, Julianne Hough…
Film pour enfants à partir de 10 ans

Ren et sa mère Ethel quittent Chicago pour une petite ville. Passionné de rock et danseur effréné, Ren heurte les conceptions morales de la communauté et de son pasteur, maître à penser du lieu…

Bande-Annonce : FOOTLOOSE


Bande-Annonce vost : FOOTLOOSE

Critique : FOOTLOOSE de Craig Brewer…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

Sympathique, mais inutile remake d’un film à succès des années 1980, «Footloose» fait revivre cette importante période où il est nécessaire de s’affranchir de ses parents. Vraiment meilleur que ce que la bande-annonce laissait paraître.

Ren et sa mère Ethel quittent Chicago pour une petite ville. Passionné de rock et danseur effréné, Ren heurte les conceptions morales de la communauté et de son pasteur, maître à penser du lieu. C’est alors que Ren tombe amoureux de la fille du pasteur et que les autres jeunes se rallient à Ren…

Une loi est faite pour être changée. C’est ce que pensent l’adolescent Ren (Kenny Wormald), Ariel (Julianne Hough) et leurs amis en cherchant le meilleur moyen de convaincre les adultes d’abandonner leurs règlements qui les empêchent d’organiser une fête.

En cette période où la danse et le chant sont si populaires, un remake du long métrage culte «Footloose» n’est pas surprenant. Pour une rare fois, l’équipe derrière ce projet a respecté l’essence de la version de 1984, reprenant pratiquement le même canevas. Il sera encore question du désir d’émancipation de la jeunesse, d’un étranger d’un grand centre urbain qui aboutit dans un bled perdu, de son amour pour la fille du révérend, des sermons de ce dernier, etc. De quoi éviter les fans de la première heure de trop rouspéter. Étrangement, malgré la grande inutilité de l’entreprise (pourquoi ne pas revoir la première mouture, tout simplement?), la magie finit par opérer. Un charme certain se dégage des situations kitch, l’humour léger touche la cible et la portion plus moralisatrice où les grands discours abondent se délecte avec un sourire en coin, gracieuseté du savoureux Dennis Quaid en homme de foi inébranlable.

Les changements les plus notables résultent généralement de l’époque. Bien que quelques tubes phares soient de retour (dont le mythique thème titre), les chansons versent allègrement dans les rythmes hip-hop et elles ne marqueront certainement pas au fer blanc les cinéphiles. Les chorégraphies, peut-être plus élaborées, mais ultimement moins satisfaisantes, peuvent néanmoins compter sur la mise en scène bien dosée de Craig Brewer (à qui l’on doit les réussis «Hustle & Flow» et «Black Snake Moan»), qui sacrifie les retours dans le temps pour une intrigue beaucoup plus linéaire, un brin artificiel, mais pas trop. La plupart des comédiens jouent dans la note, entre vieux pros pas toujours bien exploités (dont Andy MacDowell et Kim Dickens de la sublime série «Treme») et jeunes premiers prometteurs. Même le danseur Kenny Wormald arrive à prendre sa place, s’affranchissant presque de l’ombre de Kevin Bacon. Le seul faux pas se trouve du côté de l’exubérante Julianne Houghs qui en fait beaucoup trop, oubliant du coup à rendre crédible sa relation avec le héros. Un spectateur friand de sociologie se plaira à analyser l’évolution des adolescentes entre les deux récits, avec ce personnage féminin qui passe en moins de 30 ans de la petite fille douce et innocente à la bombe sexuelle, garce et vulgaire…

S’il est légitime de se demander ce qui peut bien expliquer l’existence de cette variation sur les mêmes thèmes, le résultat est loin d’être catastrophique tant le tout se regarde aisément. Cela ne deviendra toutefois pas un classique. À quand un remake de «Grease», de «Flashdance» et de «Dirty Dancing»?

Les + :

* Enfin un remake qui se tient
* L’original a été respecté à 85%, ce qui donne un film attrayant, drôle et touchant
* L’interprétation est tout à fait appropriée
* La réalisation demeure compétente

Les – :

* À quoi bon refaire le tout si c’est pour rien offrir de nouveau en retour?
* Les chorégraphies et les nouvelles chansons sont très inégales, ne restant que trop rarement en tête
* Julianne Hough devrait peut-être continuer à chanter plutôt que de jouer

Les thèmes : Adolescent, adolescence, Amérique profonde, amour contrarié, amour impossible, cameo du réalisateur, Danse – Danseuse, Danseur, école, collège, lycée,  salle de cours, puritanisme, relation père, fille, Remake de film américain, ville, village etc…

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma “Shark 3D” Mercredi 21 Septembre 2011

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Critique Film Cinéma “Shark 3D” Mercredi 21 Septembre 2011


Critique Film Cinéma Mercredi 21 Septembre 2011

Voici encore un pop-corn movie superflu, une copie risible de “Piranha 3D” et “Les Dents de la mer” !
Le scénario est bidon, les dialogues pitoyables et les effets 3D décevants !
Vous pouvez attendre ce film à la Tv sans problème !
SHARK 3D
Epouvante-Horreur (01h31min) – Date de sortie : 21/09/2011
De David R. Ellis
Avec Sara Paxton, Dustin Milligan…
Interdit aux moins de 12 ans

Au soleil de l’été, Sara et ses amis sont bien décidés à passer un week-end de pur fun sur une île privée d’un immense lac salé de Louisiane. Pourtant, lorsque Malik, sort d’une séance de ski nautique inconscient, l’ambiance n’est plus à la fête…

Bande-Annonce : SHARK 3D

Critique : SHARK 3D de David R. Ellis…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

Les requins sont toujours source de cauchemars dans «Shark Night 3D», qui utilise tous les clichés du genre pour faire sourire… deux ou trois fois. Ce n’est peut-être pas un bon film, mais c’est tout de même plus potable que la vague «Piranha 3D» qui déferlait l’année dernière sur les écrans.

Au soleil de l’été, Sara et ses amis sont bien décidés à passer un week-end de pur fun sur une petite île privée d’un immense lac salé de Louisiane. Pourtant, lorsque Malik, le jeune footballeur vedette, sort d’une séance de ski nautique inconscient avec un bras en moins, l’ambiance n’est plus à la fête.
Convaincue qu’il s’agit d’un accident, la petite bande embarque sur un speedboat afin de conduire le blessé à l’hôpital de toute urgence, mais les jeunes gens vont vite s’apercevoir que le lac est infesté de requins ultra agressifs. Pour Sara et les siens, face à des prédateurs prêts à tout pour qu’aucune proie ne leur échappe, c’est le début du cauchemar. Assiégés, piégés, dévorés, terrifiés, très peu reverront la terre ferme…

Des jeunes adultes qui séjournent dans un coin reculé et des requins déchaînés qui mangent tout sur leur passage: deux éléments «classiques» qui sont à nouveau réunis pour les plus fervents admirateurs du genre. Tout le monde sait que l’appel du sang sera plus fort que tout, mais qui survivra de ce menu de haute gastronomie et de quelles façons les moins chanceux perdront des parties de leur anatomie ?

C’est le début des classes et les devoirs ne sont pas encore trop nombreux. Bonne nouvelle : ça laisse du temps à une clientèle adolescente d’aller au cinéma pour la dernière production horrifique qui est de qualité (ou de médiocrité) égale à celle de «Final Destination 5». «Shark Night 3D» souffre du syndrome Dr. Jekyll and Mr. Hyde, comme c’était le cas des précédents efforts de son réalisateur David R. Ellis («Final Destination 2», «Snakes on a Plane»). La première partie, interminable, se prend diablement au sérieux. Après une introduction bâclée, le cinéaste prend son temps à présenter ses personnages unidimensionnels et sans intérêt, ne créant jamais un rythme enviable. Et dès qu’une situation intéressante se présente, elle est rapidement évacuée au profit d’échanges affligeants et d’un semblant de complexité psychologique.

Il faut donc patienter près de 45 minutes avant que le long métrage débute réellement. Et lorsque c’est le cas, le bonheur – qui est tout de même très relatif – se veut communicatif. C’est possible grâce à ces situations grotesques qui déferlent à l’écran, aux comportements insensés des héros et à la sottise des dialogues. Le scénario propose quelques pistes de réflexion sur ce qui se passe, les abandonnant évidemment au passage, étant plus intéressant à montrer des corps se faire mutiler. L’exercice, presque bon enfant, rappelle la bêtise de l’être humain, la ramenant dans son simple élément naturel, à savoir que les requins (qui sont ridicules et mal faits) ne sont pas nécessairement méchants par eux-mêmes et qu’il faut toujours avoir un chien pour sa propre sécurité. Un clin d’oeil qu’Ellis adresse à une de ses premières réalisations («Retour au bercail 2»!).

Plus ou moins bien mis en scène, avec des comédiens extrêmement limités et une 3D plutôt inutile, «Shark Night 3D» est une autre de ces tentatives cinématographiques qui n’existent que pour satisfaire les plus bas instincts du spectateur. Cela aurait pu s’apparenter à «Jaws» ou à «Open Water», mais au lieu de ça, c’est à classer dans la même catégorie qu’«Anaconda» et «Deep Blue Sea» : deux «variations sur des thèmes connexes» des années 1990 qui sont totalement oubliés en 2011. Ce sera certainement le cas de cet inégal défouloir qui aurait pu être bien pire… et bien mieux.

Les + :

* La dernière demi-heure qui ne se prend plus du tout au sérieux
* Quelques dialogues débiles et une ou deux situations jouissives

Les – :

* La première heure est longue et pénible à regarder
* Le talent incertain de la distribution
* Cette tentative de complexifier inutilement le scénario
* La réalisation n’est pas toujours inspirée et la 3D laisse à désirer

Les thèmes : Amérique profonde, animaux et insectes tueurs, bande d’amis, bandes d’amis, élève, écolier, étudiant, été, films en 3D – en relief, île, île déserte, île paradisiaque, Lac, rivière, fleuve, étendue d’eau, Requins, Teen movie, films d’ado etc…

Note : *****

Gus Van Sant est fasciné par la jeunesse, la mort et il remet ça !
RESTLESS
Drame (01h35min) – Date de sortie : 21/09/2011
De Gus Van Sant
Avec Henry Hopper, Mia Wasikowska…

Le parcours initiatique de deux adolescents fascinés par la mort…

Bande-Annonce vost : RESTLESS

 

Le 2ème film sur “La Guerre des Boutons” débarque une semaine après le 1er !
Quelle adaptation est la meilleure ? Votre verdict ?
LA NOUVELLE GUERRE DES BOUTONS
Comédie (01h40min) – Date de sortie : 21/09/2011
De Christophe Barratier
Avec Laetitia Casta, Guillaume Canet…
Film pour enfants à partir de 6 ans

Mars 1944. Alors que la planète est secouée par les soubresauts de la guerre, dans un petit coin d’une campagne française se joue une guerre de gosses… Car, depuis toujours, les gamins des villages de Longeverne et Velrans s’affrontent sans merci.

Bande-Annonce : LA NOUVELLE GUERRE DES BOUTONS

 

Une vision de la paix entre Israéliens et palestiniens avec beaucoup d’humour !
La comédie de la semaine !
LE COCHON DE GAZA
Comédie (01h39min) – Date de sortie : 21/09/2011
De Sylvain Estibal
Avec Sasson Gabai, Baya Belal…

Après une tempête, Jafaar, un pêcheur palestinien de Gaza, remonte par hasard dans ses filets un cochon tombé d’un cargo. Bien décidé a se débarrasser de cet animal impur, il décide toutefois d’essayer de le vendre afin d’améliorer son existence misérable.

Bande-Annonce : LE COCHON DE GAZA

 

Le film policier de la semaine !
MINEURS 27
Policier (01h36min) – Date de sortie : 21/09/2011
De Tristan Aurouet
Avec Jean-Hugues Anglade, Nassim Si Ahmed…

Vincent Descharnes est un flic de province à l’allure ordinaire. Il y a dix ans, il a enterré une sale affaire pour sauver sa peau. Wilson et Stan ont en commun leur passion pour Déborah mais aussi un lourd secret.

Bande-Annonce : MINEURS 27

 

Le mode d’emploi des femmes modernes !
MAIS COMMENT FONT LES FEMMES ?
Comédie (01h30min) – Date de sortie : 21/09/2011
De Douglas McGrath
Avec Sarah Jessica Parker, Pierce Brosnan…

Kate est mariée, a deux enfants et un job épuisant. Professionnelle jusqu’au bout des ongles, elle jongle avec un emploi du temps de ministre pour concilier son travail, l’éducation de ses enfants et sa vie de couple…

Bande-Annonce : MAIS COMMENT FONT LES FEMMES ?

La Rédaction de CinéBooster

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