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Critique Film Cinéma “Contrebande” Mercredi 16 Mai 2012

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Critique Film Cinéma “Contrebande” Mercredi 16 Mai 2012


Critique Film Cinéma Mercredi 16 Mai 2012

Mark Wahlberg porte à deux bras ce thriller d’action classique (déjà vu) mais sincère. La réalisation est réaliste et le résultat est plutôt correct au final.
CONTREBANDE

Action (01h51min) – Date de sortie : 16/05/2012
De Baltasar Kormakur
Avec Mark Wahlberg, Kate Beckinsale…

Ancien contrebandier, Chris Farraday s’est construit une vie paisible avec sa femme et leurs deux fils, jusqu’au jour où son jeune et naïf beau-frère Andy manque à ses engagements dans une opération de trafic de drogues. Pour aider Andy, Chris reprend du service en tant que contrebandier…

Bande-Annonce : CONTREBANDE

Critique Film : CONTREBANDE de Baltasar Kormakur
avec Mark Wahlberg, Kate Beckinsale…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

Prochainement

Chris Farraday a tiré un trait sur son passé criminel et s’est construit une vie paisible avec sa femme Kate et leurs deux fils, jusqu’au jour où son jeune et naïf beau-frère Andy manque à ses engagements dans une opération de trafic de drogues montée par l’inquiétant petit caïd local Tim Briggs. Pour aider Andy à s’acquitter de sa dette, Chris est forcé de reprendre du service et se tourne vers ce qu’il connaît le mieux : la contrebande.
Avec l’aide de son meilleur ami Sebastian, Chris s’assure la coopération de quelques relations éprouvées, dont son ami d’enfance Danny Rayner, et élabore un coup qui devra lui assurer des millions en faux billets, contre un simple aller-retour au Panama, ce sous l’oeil suspicieux du Capitaine Camp que des antécédents houleux avec le père de Chris rendent d’autant plus méfiant.
L’opération s’avère vite être une impasse. Chris n’a plus que quelques heures pour mettre la main sur le butin. Il va devoir faire appel à des talents auxquels il avait renoncé depuis longtemps et naviguer entre la pègre locale, la police et les douanes, avant que sa femme et leurs fils ne servent de dédommagement à Briggs.

Les + :

Les – :

Thèmes : Argent, contrebande, dettes, endettement, Famille, relation familiale, fusillade, fusillade d’enfer, gangsters, truands & bandits, mafia, pègre, otages / prise d’otages, remake, Sur l’eau : bateau, barque, voilier, trafic de drogue etc.

Note : *****

Le dernier bijou du réalisateur Jacques Audiard est puissant, poignant, sombre et lumineux ! La force de ce projet réside dans une interprétation magistral des acteurs, des images sublimes, et une musique prenante, harmonieuse et juste. Le tout offre un grand moment de cinéma ! On passe du rire aux larmes avec ses deux héros et malgré les épreuves de la vie qui les touchent, ils essaient toujours sans cesse de la dompter.
DE ROUILLE ET D’OS
Drame (01h55min) – Date de sortie : 17/05/2012
De Jacques Audiard
Avec Marion Cotillard, Matthias Schoenaerts…
Film en sélection officielle – Compétition au Festival de Cannes 2012

Ça commence dans le Nord.
Ali se retrouve avec Sam, 5 ans, sur les bras. C’est son fils, il le connaît à peine. Sans domicile, sans argent et sans amis, Ali trouve refuge chez sa sœur à Antibes. Là-bas, c’est tout de suite mieux, elle les héberge dans le garage de son pavillon, elle s’occupe du petit et il fait beau.
A la suite d’une bagarre dans une boîte de nuit, son destin croise celui de Stéphanie. Il la ramène chez elle et lui laisse son téléphone.
Il est pauvre ; elle est belle et pleine d’assurance. C’est une princesse. Tout les oppose.
Stéphanie est dresseuse d’orques au Marineland. Il faudra que le spectacle tourne au drame pour qu’un coup de téléphone dans la nuit les réunisse à nouveau.
Quand Ali la retrouve, la princesse est tassée dans un fauteuil roulant : elle a perdu ses jambes et pas mal d’illusions.
Il va l’aider simplement, sans compassion, sans pitié. Elle va revivre.

Bande-Annonce : DE ROUILLE ET D’OS

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma “Battleship” Mercredi 11 Avril 2012

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Critique Film Cinéma “Battleship” Mercredi 11 Avril 2012


Critique Film Cinéma Mercredi 11 Avril 2012

Il faut exterminer les envahisseurs extraterrestres de notre planète Terre ! Encore une fois !
BATTLESHIP
Action (02h10min) – Date de sortie : 11/04/2012
De Peter Berg
Avec Taylor Kitsch, Rihanna…

Les combats acharnés, livrés sur terre, en mer et dans les airs, pour sauver notre planète d’une force mystérieuse qui menace de l’anéantir.

Bande-Annonce : BATTLESHIP

Critique Film : BATTLESHIP de Peter Berg avec Taylor Kitsch, Rihanna…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

Océan Pacifique… Au large d’Hawaï, l’US Navy déploie toute sa puissance. Mais bientôt, une forme étrange et menaçante émerge à la surface des eaux, suivie par des dizaines d’autres dotées d’une puissance de destruction inimaginable.
Qui sont-ils ? Que faisaient-ils, cachés depuis si longtemps au fond de l’océan ?
A bord de l’USS John Paul Jones, le jeune officier Hopper, l’Amiral Shane, le sous-officier Raikes vont découvrir que l’océan n’est pas toujours aussi pacifique qu’il y paraît.
La bataille pour sauver notre planète débute en mer.

Ce film n’a aucun intérêt hormis les effets spéciaux !
Petite information, si vous avez le temps, restez jusqu’à la fin du générique de fin, il y a une scène d’introduction (un peu flippante) pour le chapitre 2.

Les + :

* Les effets spéciaux sont soignés

Les – :

* Tout le reste

Les thèmes : Alien, extraterrestre, armée, Attaque, invasion alien, blockbusters, superproductions US, Chanteurs et chanteuses au cinéma, série, explosion, explosifs, Marine et Marins, mer et océan, relation père, fils, sauver la terre, soldat, militaire, Sur l’eau : bateau, barque, voilier etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma “La Colère des Titans” Mercredi 28 Mars 2012

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Critique Film Cinéma “La Colère des Titans” Mercredi 28 Mars 2012


Critique Film Cinéma Mercredi 28 Mars 2012

Le chapitre 2 du combat de Persée (fils de Zeus, moitié Dieu et moitié homme) contre les titans !
LA COLERE DES TITANS
Aventure (01h39min) – Date de sortie : 28/03/2012
De Jonathan Liebesman
Avec Sam Worthington, Liam Neeson…

Une décennie après sa victoire héroïque sur le monstrueux Kraken, Persée, le demi-dieu fils de Zeus, tente de mener une vie paisible de pêcheur, tout en élevant son fils de dix ans, Hélius. Mais alors que les dieux perdent de leur puissance, les Titans sont sur le point de se libérer…

Bande-Annonce : LA COLERE DES TITANS

Critique Film : LA COLERE DES TITANS de Jonathan Liebesman avec Sam Worthington, Liam Neeson…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

L’opus 2 raconte la suite des aventures de Persée (fils de Zeus, 50% Dieu et 50% Homme) contre les Titans.
En 2010 le remake vide du 1er film (“Le Choc des Titans” (film culte de 1981) n’avait pas remporté un grand succès.
Les effets spéciaux dominaient la narration et la 3D ratée donnait de migraines.
Cependant, la première quête de notre héros était quand même une découverte pour certaines personnes du public et bénéficiait donc d’un effet de curiosité.
Malheureusement, la suite de cette saga est un peu banale.
Le scénario est plat.

Dix ans après avoir vaincu le monstre Kraken, au terme d’une bataille héroïque, Persée, demi-dieu et fils de Zeus, tente de mener une vie paisible dans un village où il est pêcheur et s’occupe, seul, de son fils de dix ans, Hélius.
Mais Persée ne se doute pas que les dieux se sont engagés dans une lutte de pouvoir qui menace son existence tranquille. Affaiblis par le manque de dévotion des hommes, les dieux risquent bien de perdre leur immortalité et de ne plus pouvoir garder le contrôle sur leurs redoutables prisonniers, les Titans, et leur chef cruel, Kronos, père de Zeus, de Hadès et de Poséidon : les trois frères ont détrôné leur père depuis longtemps et l’ont envoyé croupir au plus profond du Tartare, donjon situé dans les entrailles des Enfers.
Désormais, Persée n’a d’autre choix que d’accepter son destin lorsque Hadès et Arès, fils de Zeus, changent de camp et passent un accord avec Kronos pour capturer le roi des dieux. Tandis que les pouvoirs divins de Zeus diminuent, la puissance des Titans, elle, s’accroît, et les forces des ténèbres se déchaînent sur Terre.
Persée fait appel à la reine guerrière Andromède, au fils de Poséidon, le demi-dieu Agénor, et au dieu déchu Héphaïstos pour s’enfoncer dans les Enfers dans le but de libérer Zeus, de vaincre les Titans et de sauver l’humanité…

Le demi-dieu Persée alias Sam Worthington et ses nouveaux compagnons d’armes doivent aller sous terre (en enfer) afin de sauver Zeus ainsi que la terre d’une destruction certaine.

Ce 2ème long-métrage a corrigé beaucoup de choses.
Les effets spéciaux sont encore meilleurs et l’histoire est bien adaptée à la 3D.
Les batailles sont étonnantes, le final est épatant, les intentions et les scènes éclatantes (le labyrinthe du Tartare est extraordinaire).

Le défaut principal de ce projet est l’excès d’action et le peu de matière. Le scénario est assez brouillon.
Les multiples changements de positions sont invraisemblables et les conversations lourdes sont également des problèmes notables.
Il n’y a pas vraiment d’évolution des personnages, et pour ceux qui sont intéressants, ils sont éliminés avant leur développement.
En ce qui concerne les interprétations, elles sont justes convenables. Arès alias Edgar Ramirez joue bien le fou de rage et Héphaïstos alias Bill Nighy est excellent.
Persée alias Sam Worthington, Zeus alias Liam Neeson, Hadès alias Ralph Fiennes, et Andromède alias Rosamund Pike sont fades.

Jonathan Liebesman (“Battle : Los Angeles”) assure à la mise en scène. Techniquement, il est équipé et ça se voit mais ça la sauce ne prend pas.
Cette récréation cinématographique hollywoodienne est en dessous de ce qu’il y a eu de bien récemment (“Hunger Games”, “John Carter”). C’est toujours triste de régressé après des exemples comme “300”, “Thor”…

Les + :

* Les effets spéciaux, les décors et les costumes sont appréciables
* La 3D est assez au point

Les – :

* Le scénario et les personnages et les acteurs sont sans consistance
* L’histoire est régulièrement répétitive

Les thèmes : Bataille, champ de bataille, blockbusters, superproductions US, Combat, Bagarre, Castagne, créatures fantastiques, Dieu, Déesse, films en 3D – en relief, guerrier, mythologie grecque et grèce antique, relation père, fils, suite, sequel etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma “J. Edgar” Mercredi 11 Janvier 2012

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Critique Film Cinéma “J. Edgar” Mercredi 11 Janvier 2012


Critique Film Cinéma Mercredi 11 Janvier 2012

L’histoire du fondateur et patron du FBI J. Edgar Hoover
J. EDGAR
Biopic (02h15min) – Date de sortie : 11/01/2012
De Clint Eastwood
Avec Leonardo DiCaprio, Naomi Watts…

Le film explore la vie publique et privée de l’une des figures les plus puissantes, les plus controversées et les plus énigmatiques du 20e siècle, J. Edgar Hoover.

Bande-Annonce : J. EDGAR

Critique : J. EDGAR de Clint Eastwood avec Leonardo DiCaprio…

Par Franck DIPPA PRISO

Très attendu portrait du controversé fondateur du FBI, «J. Edgar» est un film ennuyeux et sans véritable ligne directrice, qu’arrivent difficilement à sauver l’expérimenté Clint Eastwood et l’excellent Leonardo DiCaprio.

Le film explore la vie publique et privée de l’une des figures les plus puissantes, les plus controversées et les plus énigmatiques du 20e siècle, J. Edgar Hoover. Incarnation du maintien de la loi en Amérique pendant près de cinquante ans, J. Edgar Hoover était à la fois craint et admiré, honni et révéré. Mais, derrière les portes fermées, il cachait des secrets qui auraient pu ruiner son image, sa carrière et sa vie.

Pendant près de 50 ans, J. Edgar Hoover (Leonardo DiCaprio) a agi dans l’ombre du pouvoir, luttant contre le communisme tout en révolutionnant la façon de mener des enquêtes. À la tête du FBI jusqu’à sa mort en 1972, il était devenu une véritable institution américaine, objet de moqueries pour les uns et de référence absolue pour les autres, dont son fidèle compagnon (Armie Hammer) et sa secrétaire (Naomi Watts).

Il n’y a rien de plus difficile que de s’extirper d’un creux. La carrière de réalisateur de Clint Eastwood s’y était engouffrée depuis l’inégal «Invictus» et le laborieux «Hereafter»… et elle risque d’y demeurer avec ce nouveau long métrage. Pourtant il s’agit d’un sujet en or, ambitieux et axé sur l’Amérique, comme les aime bien l’ancien Homme sans nom. Il ne s’agit parfois qu’une ou de choses pour faire toute la différence, pour que l’effort soit intéressant, ce qui n’est pas toujours le cas ici.

Une prémisse aussi vaste nécessitait son lot d’ellipses, qui sont rendues possibles avec le traditionnel schéma du héros qui raconte ses mémoires, revenant sur les faits importants de son existence. Un procédé qui est amené sans suspense et sans réel souffle, alors que les différents gestes et actions s’intègrent un peu aléatoirement. Le rythme plombé d’avance se fera un peu étouffant tout au long des 137 minutes qui, même si la recréation d’époque est majestueuse et que les maquillages sont étonnants, n’évite pas un certain marasme.

Le tout ne commençait pourtant pas si mal. On y découvre le personnage principal qui cherche à s’intégrer à une société en pleine mutation, qui a ses convictions et qui n’hésite pas à marcher sur les autres pour y arriver. Il donne du souffle au FBI, le révolutionne et l’amène ailleurs. Une chronique d’un homme et d’un pays qui devient vite accessoire, alors que le scénario passe rapidement sur certaines époques importantes (celle de Kennedy, de Nixon) pour retenir autre chose.

Si au moins ce choix servait à donner de l’épaisseur à Hoover. Malgré que le cinéaste insiste sur sa relation avec sa mère (défendue avec conviction par Judi Dench) et qu’il traite de son homosexualité avec des gants blancs, cette finition psychologique n’est pas suffisamment exploitée. De nombreux thèmes sont à peine effleurés (sa paranoïa, sa façon de mettre tout le monde sur écoute) ou carrément évacués (les liens avec la mafia) pour retenir une figure étonnamment consensuelle, sage et brouillonne. Sans doute qu’il était insaisissable – ce qui est bien expliqué par une scène tardive où les fantasmes et les faits se chevauchent – et que les informations disponibles sont souvent contradictoires, mais le résultat n’est pas seulement opaque, il est incomplet.

C’est d’autant plus dommage que la performance de Leonardo DiCaprio est tout simplement renversante. Il incarne brillamment cet être complexe sans jamais tomber dans la caricature, en insufflant une véritable parcelle de son âme, encore plus que dans «The Aviator», autre biopic qui est de loin supérieur. Une nomination aux Oscars est à espérer de son côté, tout comme pour le nouveau venu Armie Hammer (aperçu dans «The Social Network») qui est d’une solidité et d’une intensité implacable.

Réalisé classiquement avec style et soin (les liaisons entre les époques sont très fluides), croulant parfois sur une musique pompeuse et une narration beaucoup trop explicative, «J. Edgar» ne peut demander à sa superbe tête d’affiche de sauver ses choix scénaristiques parfois défaillants et son manque flagrant d’audace. Ce n’est ni le portrait de l’Amérique tant espéré (de ce côté, mieux vaut se tourner vers le «Nixon» d’Oliver Stone, qui en dit presque autant sur Hoover) ni la plongée dans les abysses de cet homme controversé qui a tout sacrifié pour son travail. Une nouvelle déception pour Clint Eastwood qui, espère-t-on, arrivera à remettre les compteurs à zéro en s’attaquant à une nouvelle version de «A Star is Born».

Les + :

* Leonardo DiCaprio transcende l’écran et il est bien secondé par les autres comédiens

* Le soin apporté aux maquillages, à la recréation artistique et au montage mérite l’attention

*Le sujet est fascinant et la première partie laisse promettre de belles choses…

Les – :

* Le reste n’est malheureusement pas à la hauteur, versant dans l’anecdote

* Le scénario passe rapidement sur des faits importants, cernant mal l’aura de son sujet

* Si le film est beaucoup trop long, l’exploration psychologique du personnage manque de finition

* Cette façon d’alterner entre les époques s’effectue sans suspense et, surtout, sans aucun rythme ou véritable direction

Les thèmes : J. Edgar Hoover, FBI, acteur derrière la caméra, ambition, amitié, avocat, juge, procès, tribunal, justice, biopic, biographie, Biographie romancée, corruption, policier véreux, d’après une histoire vraie, Film éponyme, homosexualité, gay, personnalités, politiques, Politique, Politicien, Portrait d’homme, relation mère, fils etc…

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma “Happy Feet II” Mercredi 07 Décembre 2011

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Critique Film Cinéma “Happy Feet II” Mercredi 07 Décembre 2011


Critique Film Cinéma Mercredi 07 Décembre 2011

HAPPY FEET 2
Animation (01h39min) – Date de sortie : 07/12/2011
De George Miller
Avec Carlos Alazraqui, Lombardo Boyar…
Film pour enfants à partir de 3 ans

Mumble et Gloria ont désormais un fils, Erik, qui se bat pour découvrir ses propres talents dans le monde des manchots empereurs. Mais de nouveaux dangers menacent la nation des manchots, et tous vont se rassembler – et danser – pour les sauver.

Bande-Annonce 1 : HAPPY FEET 2


Bande-Annonce 2 : HAPPY FEET 2

Critique : HAPPY FEET 2 de George Miller…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

Ce film est la suite de “Happy Feet”.
Les manchots les plus adorables de l’animation sont de retour au cinéma.
Ce chapitre 2 est plus vif et plus merveilleux que le premier.
Le programme pour toute la famille est de la danse, des chansons, des morales positifs, une animation de grande qualité et des effets 3D excellents.

Elijah Wood alias Mumble, le roi des claquettes, est bien ennuyé quand il découvre que son fils Ava Acres alias Erik est allergique à la danse. C’est alors que ce dernier s’enfuit et rencontre Sven Puissant, pingouin capable de voler ! Mumble comprend qu’il ne peut nullement rivaliser avec ce personnage charismatique qu’Erik tente d’imiter… Mais la situation ne fait qu’empirer quand le monde est menacé par des forces telluriques… Erik prend conscience que son père ne manque pas de cran lorsqu’il mobilise le peuple des pingouins et d’autres créatures fabuleuses, du minuscule Krill au gigantesque éléphant de mer, Elephant Seals, pour rétablir l’ordre…

Le jeune et mignon Mumble est à son tour devenu père.
Erik son fils a le don de se retrouver dans les ennuis.
Il deviendra le héros des manchots en secourant de la tribu prisonnière des murs de glace.
Le papa et le fiston formeront une équipe surprenante afin de braver le danger.

En 2006, “Happy Feet” a conquit le public et la presse.
Il a même remporté l’Oscar de la meilleure animation.
Cinq ans après l’opus 2 débarque dans nos salles obscures.
Et pour notre plus grand plaisir, il est bien au dessus du premier volet.

Il y a toujours des imperfections du premier projet dans cette seconde œuvre (des situations comiques douteuses, des références à la culture populaire, des choix de musiques meilleures que d’autres etc…).
L’histoire est plus accrocheuse (drame, humour, et aventure).
Le tempo est plus rapide, ce qui élimine toute lassitude potentielle.

Il y a de nouveaux personnages drôles et appréciables comme Krills l’une des deux crevettes.
En voilà des protagonistes possibles pour un film dérivé, à bon entendeur, salut !
Les causes défendues ici sont la liberté, la différence, l’unité face à l’adversité, l’altruisme, l’humanisme, l’humanité, la bienveillance, l’écologie etc…
L’attaque des oiseaux est l’un des passages les plus noirs du long-métrage.

Par moment le film communique une certaine émotion et à d’autres moments il est vide et superficiel.
L’animation est recherchée et diverse en plus des effets 3D brillants.
La danse des claquettes est un moment mémorable comme il fallait s’y attendre.

Nos sympathiques manchots sauveurs de notre planète terre offrent souvent des réponses hilarantes, idiotes et intentionnellement naïves par moment au réchauffement climatique etc…
“Happy Feet 2” une belle expédition idéaliste, un peu désuète mais pédagogique pour toute la famille.
Et par rapport au premier, c’est déjà un deuxième petit pas de géant.

Les + :

* L’odyssée est amusante, excitante et cadencée
* Les thèmes sont sociaux, écologiques et humanistes
* L’animation est éblouissante3D
* Les personnages sont drôles et les voix stars du casting v.o sont plaisantes

Les – :

* Le niveau de qualité des blagues est inégal
* Les chansons populaires ne sont pas toutes du même rang

Les thèmes : Catastrophe écologique, Danse – Danseuse, Danseur, Dessin animé et animation, films en 3D – en relief, mer et océan, Neige, froid, hiver, pingouin, manchot, relation père, fils, suite, sequel, voler, en vol etc…

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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