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Critique Film Cinéma : “Inferno” – Mercredi 09 Novembre 2016

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Critique Film Cinéma : “Inferno” – Mercredi 09 Novembre 2016


Critique Film Cinéma Mercredi 09 Novembre 2016

La chute vers l’enfer !
FILM CINEMA INFERNOINFERNO
Thriller, Policier (02h13min) – Date de sortie : 09/11/2016
De Ron Howard
Avec Tom Hanks, Felicity Jones, Ben Foster, Omar Sy…
Américain

Dans “Inferno”, le célèbre expert en symbologie suit la piste d’indices liés au grand Dante lui-même. Robert Langdon se réveille dans un hôpital italien, frappé d’amnésie, et va devoir collaborer avec le docteur Sienna Brooks pour retrouver la mémoire. Tous deux vont sillonner l’Europe dans une course contre la montre pour déjouer un complot à l’échelle mondiale et empêcher le déchaînement de l’Enfer…


Bande-Annonce : INFERNO

Critique Film : INFERNO de Ron Howard avec Tom Hanks, Felicity Jones, Ben Foster, Omar Sy…

Par Franck DIPPA PRISO

Les livres de Dan Brown et son héros Robert Langdon sont assez classiques et convenus, sans grande surprise. C’est aussi le cas pour les adaptations cinématographiques. Cependant, on peut passer un moment agréable et divertissant devant les romans et les fictions de Brown.

Le film cinéma « Inferno » manque de caractère en comparaison de sa version littéraire. Quand nous lisons un livre, notre imagination travail, alors que devant un métrage c’est moins le cas. Ron Howard le réalisateur virtuose nous guide en nous tenant la main de bout en bout dans ce suspense, thriller d’action haletant qui oscille à plusieurs rythmes du pic le plus bas au plus haut. Hélas ce n’est pas suffisant pour vraiment nous embarquer efficacement dans cette course folle aux mille dangers. Cette histoire exaltante est chargée d’une grande tension narrative jusque dans la mise en scène.

Malgré tout, le spectateur a du mal à faire faire équipe mentalement et émotionnellement avec nos héros Tom Hanks alias Robert Langdon et Felicity Jones alias Dr Sienna Brooks dans cette saga énigmatique. Les informations, les faits, l’action ne font que nous effleurer sans jamais vraiment nous toucher.

Le partage scientifique (iconographie, symbologie etc.) lié aux connaissances sur les œuvres d’art et monuments par Langdon est plus compliqué à l’écran que dans le livre. La machination secrète domine tellement que la pédagogie culturelle et artistique du long-métrage n’est pas reçue et comprise et c’est bien dommage. Les différents lieux (lieux saints, musées et places publics) en Europe où vont les deux protagonistes sont exceptionnels. C’est du gâchis car ils ne servent qu’en toile de fond à l’intrigue d’une course contre la montre parfois sans grand intérêt.

Le projet « Inferno » suscite la curiosité. Surtout quand un fanatique et extrémiste spirituel pense qu’il peut sauver l’humanité en répandant une peste sur terre. Afin que les Hommes puissent renaître purifiés dans un monde sans tâches. De plus, un Langdon amnésique dès le début du film c’est très intrigant mais c’est aussi confus pour le public.

Cette fois Tom Hanks est loin de se surpasser dans sa performance d’acteur. Les autres Felicity Jones, Ben Foster alias Bertrand Zobrist et Omar Sy alias Christophe Bouchard également ne brillent pas particulièrement. L’exception vient peut-être du jeu de comédien d’Irrfan Khan alias Harry Sims « The Provost » en patron d’une mystérieuse et puissante organisation gardienne de personnes très influentes et riches.

“Inferno” est tout juste un spectacle du 7ème Art plaisant et drôle parfois.
On attendait beaucoup de ce film pour énormément de raisons (les précédents volets ont marqué les esprits, c’est une adaptation cinéma d’un roman de Dan Brown, Ron Howard est à la réalisation et Tom Hanks a le premier rôle). Beaucoup de professionnels, de collègues et de médias qualifient l’œuvre cinématographique « Inferno » du meilleur film de la triologie. C’est loin d’être le cas. Car le rendu est souvent brouillon, énervé et léger. Ce thriller ésotérique d’action manque clairement de singularité et de sérieux dans sa volonté d’instruire et d’informer le spectateur. Le cinéaste Ron Howard n’est pas libre de faire ce qu’il veut et cela se voit. Il doit respecter le cahier des charges de cette commande filmique. Et là pour lui c’est « l’enfer », c’est « Inferno » !

Les + :

* Film plaisant
* Projet drôle parfois

Les – :

* Œuvre légère et brouillon
* Long-métrage de commande donc pas de liberté d’expression véritable pour le réalisateur
* Acteurs en dessous de leur potentiel

Mots clés, Tags, Thèmes : Musée, Littérature, Course contre la montre, Epidémie, Virus, Adaptation de roman, Robert Langdon, Mystère, Enigmes, Français à Hollywood, Italie, Italien, Mystère, Jeunes adultes, Adrénaline etc.

Note : ** (2/5)

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma “Resident Evil : Retribution” Mercredi 26 Septembre 2012

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Critique Film Cinéma “Resident Evil : Retribution” Mercredi 26 Septembre 2012


Critique Film Cinéma Mercredi 26 Septembre 2012

Le 5ème et avant dernier chapitre de la saga Resident Evil !
RESIDENT EVIL : RETRIBUTION
Action (01h35min) – Date de sortie : 26/09/2012
De Paul W.S. Anderson
Avec Milla Jovovich, Michelle Rodriguez…

Le terrifiant virus mis au point par Umbrella Corporation continue à faire des ravages partout sur terre, transformant les populations en légions de morts-vivants affamés de chair humaine. Alice, s’éveille au cœur du plus secret des complexes industriels d’Umbrella.

Bande-Annonce : RESIDENT EVIL : RETRIBUTION

Critique Film : RESIDENT EVIL : RETRIBUTION de Paul W.S. Anderson avec Milla Jovovich, Michelle Rodriguez…

Par Franck DIPPA PRISO

Le terrifiant virus mis au point par Umbrella Corporation continue à faire des ravages partout sur Terre, transformant les populations en légions de morts-vivants affamés de chair humaine. Alice, l’ultime espoir de notre espèce, s’éveille au cœur du plus secret des complexes industriels d’Umbrella. Au gré de son exploration à haut risque et de ses découvertes, les zones d’ombre de sa vie s’éclairent… Plus que jamais, Alice continue à traquer les responsables de l’atroce infection. De Tokyo à New York, de Washington à Moscou, elle les pourchasse jusqu’à la révélation explosive qui va remettre en cause toutes ses certitudes. Avec l’aide de nouveaux alliés et d’anciens amis, Alice va devoir se battre pour survivre dans un monde hostile, au bord du néant. Le compte à rebours a commencé…

Le générique de début montre à reculons la scène de fin du précédent film.
Cette démarche introductive est informative, rénovante, inattendue et efficace.
Dommage que juste après le scénario lance notre héroïne Milla Jovovich alias Alice dans une explication verbale superflue qui prend le spectateur pour un idiot.

Ce cinquième chapitre se déroule dans la principale base d’Umbrella Corporation.
New York, Moscou et Tokyo sont les terrains de jeux pour l’affrontement physique, virtuel et mental dirigé par la Reine Rouge (puissant ordinateur maléfique sous les traits d’une petite fille).
Les premières scènes d’actions et de combats sont surprenantes et bien orchestrées.
Le spectateur est dans une grande attente sur la suite des évènements.
Alice est de nouveau captive d’Umbrella Corporation.
A son réveil, elle est interrogée et torturée.
Sa seule obsession est de s’échapper de sa gigantesque prison sous la glace polaire.
Elle reçoit de l’aide de l’intérieur de son ennemi de toujours Shawn Roberts alias Albert Wesker ainsi que d’une guerrière asiatique surprise en la personne de Bingbing Li alias Ada Wong.
Une équipe se mobilise également pour la secourir en surface.
Ils vont tous devoir affronter des monstres affreux et puissants (une horde de zombies et des géants) relativement bien incrustés dans l’espace.
Le jeu vidéo est bien repris en particulier aux scènes de bataille à l’ascenseur.

Les effets spéciaux sont compétents et étonnants, parfois même mieux que ceux du précédent volet Resident Evil : Afterlife. Normalement, les combats sont perdus d’avance par les humains insignifiants face aux titans hideux mais la logique n’est pas un facteur à considérer dans ce récit. C’est les bons, les héros qui doivent gagner même si certains affrontements sont clairement ridicules.
Il y a beaucoup d’énormités mais au final cela reste un divertissement regardable, cependant très basique et très répétitif par rapport aux chapitres précédents.

Les + :

* Bons effets spéciaux
* Combats appréciables

Les – :

* Pas de renouvellement de cette franchise vache à lait
* Exploitation du jeu vidéo Resident Evil épuisé (manque cruel d’inspiration)
* Scénario risible
* Illogique
* Prévisible

Thèmes : Action héroïne, adaptation de jeu vidéo, Armes à feu, épidémie, virus, monde post-apocalyptique, mutation, mutant, poursuite en voiture, suite, sequel, Survival, traque, zombie, mort-vivant, contaminés etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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Critique Film Cinéma “Contagion” Mercredi 09 Novembre 2011

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Critique Film Cinéma “Contagion” Mercredi 09 Novembre 2011


Critique Film Cinéma Mercredi 09 Novembre 2011

Le scénario catastrophe d’une épidémie mondiale
Terrifiant !
CONTAGION
Drame (01h46min) – Date de sortie : 09/11/2011
De Steven Soderbergh
Avec Marion Cotillard, Matt Damon…

Alors qu’une épidémie se propage à grande vitesse, la communauté médicale mondiale tente, dans une course effrénée contre la montre, de trouver un remède et de contrôler la panique qui se répand encore plus vite que le virus.

Bande-Annonce : CONTAGION

Critique : CONTAGION de Steven Soderbergh avec Marion Cotillard, Matt Damon…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

Steven Soderbergh convoque une horde de vedettes dans «Contagion», un suspense paranoïaque habilement construit sur un virus qui décime peu à peu l’humanité. Peut-être pas la grande fresque attendue, mais un portrait qui glace le sang et qui tient en haleine.

Une pandémie dévastatrice explose à l’échelle du globe… Au Centre de Prévention et de Contrôle des Maladies, des équipes se mobilisent pour tenter de décrypter le génome du mystérieux virus, qui ne cesse de muter. Le Sous-Directeur Cheever, confronté à un vent de panique collective, est obligé d’exposer la vie d’une jeune et courageuse doctoresse. Tandis que les grands groupes pharmaceutiques se livrent une bataille acharnée pour la mise au point d’un vaccin, le Dr. Leonora Orantes, de l’OMS, s’efforce de remonter aux sources du fléau. Les cas mortels se multiplient, jusqu’à mettre en péril les fondements de la société, et un blogueur militant suscite une panique aussi dangereuse que le virus en déclarant qu’on “cache la vérité” à la population…

Une épidémie est sur le point de s’étendre sur la planète, obligeant les êtres humains à réagir pour sauver leur peau. Alors que la peur s’installe et qu’elle fait naître des comportements condamnables et insoupçonnables, quelques individus se battent afin d’enrayer la situation.

Revenant à un projet plus «conventionnel», «accessible» et «commercial» (trois qualificatifs qui sont honorables lorsqu’ils sont bien utilisés, comme c’est le cas ici) après son diptyque sur le «Che» et son hilarant «The Informant!», Steven Soderbergh questionne la valeur de l’Homme face à l’adversité. Plusieurs tremblent, s’en remettent à leurs plus bas instincts pour rester en vie pendant que d’autres multiplient les comportements héroïques. Un combat de tous les instants qui, s’il n’est pas manichéen, demeure profondément moral. À ce sujet, c’est avec un certain sourire en coin que le spectateur découvre que la femme adultère qui s’adonne à des jeux de hasard sera punie, tout comme ceux et celles qui mangent de la viande…

Le récit réalisé de mains de maître – et qui évoque «Traffic» du même créateur – ne laisse aucune place au hasard. La mise en scène est claire, précise, découpée au scalpel. Le cinéaste enchaîne à la perfection ses plans, changeant constamment de pays, jouant habilement des histoires et différentes tranches d’existence, suivant la pandémie du début à la fin en la notant selon des jours importants. Un procédé qui n’est pas sans longueur, s’avérant parfois superficiel et artificiel, mais dont l’intérêt ne se démord pas, de l’introduction qui captive rapidement à la conclusion en forme de boutade.

Le réalisateur a toujours su s’entourer d’excellents comédiens et il se surpasse une nouvelle fois. Tous les interprètes sont justes, de Matt Damon en père éploré à Gwyneth Paltrow en victime ravagée par la maladie, en passant par Jude Law qui amène une bonne dose de cynisme en blogueur incontrôlable. Laurence Fishburne se détache du lot, étant plus sobre que d’habitude. Tout comme l’exquise Marion Cotillard et l’incroyable Kate Winslet. Malgré tout ce talent, l’émotion a parfois de la difficulté à filtrer. Peut-être est-ce la faute des choix narratifs. En voulant éclairer la situation dans sa globalité, les personnages finissent par en pâtir, le cinéphile n’arrivant pas toujours à s’attacher correctement à ce qui leur arrive. Un inconvénient que vient partiellement racheter l’excellente musique de Cliff Martinez.

Même s’il évoque parfois «Blindness» et tous les films de zombies, «Contagion» se rapproche surtout d’«Outbreak» qui regroupait également une multitude de stars, dont Dustin Hoffman, Kevin Spacey, Morgan Freeman et Donald Shuterland. Bien que le long métrage de Wolfgang Petersen s’avérait plus divertissant, invraisemblable et sentimental, celui de Soderbergh tranche avec son esprit analytique, plus froid, cérébral et crédible. Voilà peut-être bien l’effort le plus effrayant de l’année.

Les + :

* L’impressionnante distribution de très bons acteurs
* Cette fluidité au niveau de la réalisation
* L’essai est très rythmé et admirablement monté
* La musique accompagne parfaitement l’action
* Quelques passages glacent le sang

Les – :

* L’émotion se fait rare
* On s’attache difficilement aux personnages
* En voulant tout couvrir, il est possible de demeurer un peu en surface

Les thèmes : All Star Movie, anticipation, Futur, avenir proche, épidémie, virus, expérience scientifique, chercheur scientifique, Film catastrophe, catastrophe, Fin du monde, apocalypse, fléau, Français à hollywood, Hôpitaux, médecins, cabinet médical, mort, paranoïa etc…

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

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