Tag Archive | "course poursuite"

Critique Film Cinéma “Killer Elite” Mercredi 26 Octobre 2011

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma “Killer Elite” Mercredi 26 Octobre 2011


Critique Film Cinéma Mercredi 26 Octobre 2011

C’est un film de brutes divertissant mais sans caractère avec un casting *** étoiles pour un résultat * étoile !

KILLER ELITE
Thriller (01h57min) – Date de sortie : 26/10/2011
De Gary McKendry
Avec Jason Statham, Clive Owen, Robert De Niro…
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

Basée sur des faits réels, l’histoire suit un groupe d’anciens membres des forces spéciales britanniques pourchassé par des assassins. Afin de sauver son meilleur ami, un ancien de la navy est contraint de mettre un terme à sa retraite.

Bande-Annonce : KILLER ELITE

Critique : KILLER ELITE de Gary McKendry avec Jason Statham, Clive Owen, Robert De Niro…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

Des acteurs connus comme Jason Statham, Clive Owen et Robert De Niro s’éclatent la gueule dans «Killer Elite», un film d’action longuet qui aurait pu être beaucoup plus intéressant s’il avait davantage épousé la réalité.

Pour sauver Hunter, son ancien partenaire et mentor, Danny accepte de reprendre du service et de reformer son équipe. Mais celui qui était l’un des meilleurs agents des forces spéciales va cette fois affronter sa mission la plus périlleuse. Pour réussir, il va devoir percer les secrets d’une des unités militaires les plus redoutées qui soit, le SAS britannique. De doubles jeux en trahisons, il va découvrir un complot qui menace le monde et ce pour quoi il s’est

Afin de sauver son mentor (Robert De Niro), un mercenaire (Jason Statham) doit assassiner trois hommes dangereux. Il est pris en grippe par un agent spécial (Clive Owen) qui tente de l’éliminer.

Au départ ce récit est inspiré d’un livre de Ranulph Fiennes qui se serait basé sur sa propre histoire de vie. On sent que beaucoup de choses se passent en périphérie. L’errance et la vengeance d’un homme qui ne peut plus aller dans son pays, l’implication du Royaume-Uni dans des magouilles, la quête éternelle du pétrole et l’abandon d’anciens soldats qui sont livrés à eux-mêmes. Le tout se déroulant dans les années 1980, une décennie marquée par la guerre et la crise économique.

Rien de tout cela n’apparaît réellement à l’écran. Le réalisateur et scénariste Gary McKendry a sacrifié ces nombreux thèmes importants au profit de l’action. Les scènes explosives sont nombreuses et omniprésentes, saoulant tout au long des deux heures de jeu. Aucune séquence musclée n’est réellement digne d’intérêt (malgré que la mise en scène soit compétente) et le cinéaste a senti le besoin d’enrober ce mélange improbable entre «The Specialist» et «James Bond» par une amourette indigeste qui plombe le rythme.

Prioriser les états d’âme de Jason Statham était également une erreur. Bien que le comédien soit en meilleure forme que dans l’ennuyant remake «The Mechanic», il sera toujours condamné à être le Bruce Willis des pauvres. L’interprète n’arrive pas à amener à son personnage de l’émotion, ce qui rend l’attachement du spectateur complètement inopérant. Pourquoi ne pas avoir priorisé Clive Owen qui possède beaucoup plus de charisme? Entre ces deux hommes se trouve un Robert De Niro qui fait son possible pour s’extirper de ses simagrées habituelles, y arrivant envers et contre tous.

Effort très moyen qui satisfera tout de même les amateurs du genre, «Killer Elite» se contente de bien peu pour en mettre plein la vue. Il y a bien un ou deux moments de réelle tension mais ils sont rapidement court-circuités par une série de répétitions qui retarde inutilement l’intrigue. Au lieu d’un suspense à la «Syriana», le cinéphile se retrouve avec une fausse série B qui se prend terriblement au sérieux. L’écart est énorme.

Les + :

* Quelques endroits rappellent que le tout aurait pu être si dantesque (surtout avec le sujet en place)
* Les prestations de Clive Owen et de Robert De Niro
* Cette réalisation assurée

Les – :

* L’action qui prend le dessus sur les situations et les personnages
* Tous ces thèmes qui sont à peine effleurés
* Le fait de prioriser le destin de Jason Statham qui offre une performance monolithique
* L’essai traîne en longueur et il est redondant

Les thèmes : Action hero, adaptation de roman, amitié, Armes à feu, Combat, Bagarre, Castagne, course poursuite, enlèvement et kidnapping, explosion, explosifs, inspiré d’une histoire vraie, premier film etc…

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (0)

Critique Film Cinéma – “Drive” – Mercredi 05 Octobre 2011

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma – “Drive” – Mercredi 05 Octobre 2011


Critique Film Cinéma – Mercredi 05 Octobre 2011


DRIVE
Action (01h40min) – Date de sortie : 05/10/2011
De Nicolas Winding Refn
Avec Ryan Gosling, Carey Mulligan…
Interdit aux moins de 12 ans

Un cascadeur tranquille et anonyme se métamorphose dès que la nuit tombe : il devient pilote de voitures pour le compte de la mafia. La combine est bien rodée jusqu’au jour où l’un des casses tourne mal et l’entraîne dans une course-poursuite infernale.

Bande-Annonce : DRIVE

Critique : DRIVE de Nicolas Winding Refn avec Ryan Gosling, Carey Mulligan…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

Facilement le meilleur film d’action des dernières années, «Drive» est un divertissement démentiel qui multiplie les hommages au cinéma de Quentin Tarantino et de David Lynch. La totale.

Un jeune homme solitaire, “The Driver”, conduit le jour à Hollywood pour le cinéma en tant que cascadeur et la nuit pour des truands. Ultra professionnel et peu bavard, il a son propre code de conduite. Jamais il n’a pris part aux crimes de ses employeurs autrement qu’en conduisant – et au volant, il est le meilleur !
Shannon, le manager qui lui décroche tous ses contrats, propose à Bernie Rose, un malfrat notoire, d’investir dans un véhicule pour que son poulain puisse affronter les circuits de stock-car professionnels. Celui-ci accepte mais impose son associé, Nino, dans le projet.
C’est alors que la route du pilote croise celle d’Irene et de son jeune fils. Pour la première fois de sa vie, il n’est plus seul.
Lorsque le mari d’Irene sort de prison et se retrouve enrôlé de force dans un braquage pour s’acquitter d’une dette, il décide pourtant de lui venir en aide. L’expédition tourne mal…
Doublé par ses commanditaires, et obsédé par les risques qui pèsent sur Irene, il n’a dès lors pas d’autre alternative que de les traquer un à un…

L’histoire est simple comme bonjour, pour ne pas dire éculée, prévisible et parsemée de clichés. Un homme solitaire (Ryan Gosling) qui a des talents pour conduire les véhicules protège sa voisine (Carey Mulligan) et son fils après que son mari se soit mis dans le pétrin. Face aux méchants qui font couler le sang, un être se dresse pour protéger la veuve et l’orphelin.

Avec une telle prémisse, il était légitime de s’attendre à une énième version de «Fast & Furious», un long métrage explosif mais stupide, car caricatural et se prenant beaucoup trop au sérieux. C’est mal connaître le Danois Nicolas Winding Refn qui a offert par le passé l’exquise trilogie «Pusher» et le déroutant «Valhalla Rising» (qui empruntait à la fois à Malick, Herzog, Kubrick et… «Conan»). Malgré un sujet aussi universel (qui est tout de même adapté des écrits de James Sallis), le cinéaste arrive à transcender et à renouveler le genre, l’amenant complètement ailleurs, ce qui était tout sauf évident.

Lauréat du Prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes, «Drive» est un effort impressionnant, qui berce complètement les sens. Sa réalisation, dantesque, fascine et déroute tout à la fois. Les plans sont sans cesse corrompus, détournés, parsemés de ralentis au sein d’un montage trépidant et sans temps mort façon Michael Mann. L’univers sonore n’est pas sans rappeler celui des oeuvres de David Lynch, alors que les compositions musicales concoctées ou choisies par Cliff Martinez frôlent le génie.

Cette atmosphère bien particulière est propre à la série B, qui est ici pleinement assumée. À l’image de «Pulp Fiction», les dialogues pimentés et les situations mémorables se succèdent au tournant. Il y a ce trop-plein de violence à la «Old Boy» qui fera tourner les têtes et ce sentimentalisme d’usage, rappelant l’éternel combat entre le Bien et le Mal, où l’amour idéalisé et romanesque ne peut que triompher. Un constat qui peut paraître kitch, mais qui est inhérent dans ce type de production qui est ici sublimé en un conte.

Le climat d’esprit à la fois malsain et mélancolique se situe quelque part à mi-chemin entre le nirvana et le Tartares. Un monde de contradictions que les excellents comédiens comprennent parfaitement, endossant avec délectation des rôles volontairement bidimensionnels. Le stoïque Ryan Gosling pourrait facilement être le prochain Steve McQuenn et il assure avec sa démarche franche et virile à la Clint Eastwood. Il forme un duo mignon comme tout avec la sensible Carey Mulligan qui ne demande qu’à être prise dans nos bras. Les quelques personnages périphériques, tous savoureux, comprennent le suave Albert Brooks que l’on voit malheureusement trop peu et le toujours solide Ron Perlman qui passe son temps à blasphémer.

Il est aisé de prévoir que l’amateur de films d’actions à la «The A-Team» et autres «Salt» se sentira complètement déboussolé devant «Drive» qui se plaît à mêler les cartes, insufflant de l’humour noir un peu n’importe où, ralentissant son rythme au lieu de simplement foncer dans le tas. La superbe introduction résume parfaitement l’ouvrage. Le héros conduit une voiture et au lieu de se sauver à toute vitesse de la police, il utilise ses méninges, jouant au chat et à la souris avec elle. À quoi bon sortir immédiatement ses muscles s’il est possible d’attendre le bon moment pour arriver à ses fins? C’est ce que fait magnifiquement ce récit qui ne s’oubliera pas de sitôt.

Les + :

* Le génie d’utiliser un scénario passe-partout pour le renouveler complètement
* Le très grand soin apporté à la mise en scène, à la musique
* La perfection de l’interprétation
* Il y a quelques scènes inoubliables, qui glacent le sang et qui font rire aux larmes
* Tous ces hommages aux opus de Quentin Tarantino et de David Lynch (et aussi à Danny Boyle et autres Guy Ritchie)
* Voilà un film qui deviendra certainement culte

Les – :

* Le scénario est volontairement mince
* Malgré son ordinaire bande-annonce, ce long métrage est aux antipodes de tous les «Fast Five» de ce monde, ce qui pourra induire quelques spectateurs en erreur

Les thèmes : Adaptation de roman, amour contrarié, amour impossible, braquage, hold up, braqueur, cascade, cascadeur, chantage, course poursuite, Los Angeles, mafia, piège, pilote, Solitude – solitaire, violence extrême, voiture etc…

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (0)

Critique Film Cinéma “Identité Secrète” Mercredi 28 Septembre 2011

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma “Identité Secrète” Mercredi 28 Septembre 2011


Critique Film Cinéma Mercredi 28 Septembre 2011

Depuis “Boyz’N the Hood” le réalisateur John Singleton a du mal à faire mouche au cinéma !
Taylor Lautner le loup-garou de la saga “Twilight” pour son 1er rôle en tant que tête d’affiche est encore loin d’avoir le charisme d’un héros des films d’action comme Bruce Willis, Dwayne Johnson, Vin Diesel etc… ! Il n’est bon qu’à une chose, enlever son tee-shirt devant les filles !
IDENTITE SECRETE
Action (01h40min) – Date de sortie : 28/09/2011
De John Singleton
Avec Taylor Lautner, Lily Collins…

Un jeune homme découvre que ses parents ne sont pas réellement ceux qu’ils prétendent. Une révélation qui l’entraînera dans une aventure où les pièges se succèdent et où il devra lutter pour sauver sa vie.

Bande-Annonce vost : IDENTITE SECRETE

Critique : IDENTITE SECRETE de John Singleton avec Taylor Lautner…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

Film construit autour de Taylor Lautner, «Abduction» n’arrive jamais à convaincre réellement, faisant involontairement rire aux larmes avec toutes ses invraisemblances. Mais la curiosité féminine est sauvée : le Jacob de la populaire série «Twilight» n’hésite pas à se promener torse nu pour la bonne cause.

Nathan Harper a toujours éprouvé la désagréable impression de mener une vie qui n’est pas la sienne. Lorsqu’il tombe par hasard sur une photo de lui, enfant, sur un site de personnes disparues, ses peurs les plus sombres deviennent brusquement réalité. Ses parents ne sont pas les siens, sa vie n’est qu’un mensonge soigneusement fabriqué pour cacher une vérité aussi mystérieuse que dangereuse… Alors qu’il commence à rassembler les pièces du puzzle, Nathan est pris pour cible par des tueurs. Il est obligé de fuir en compagnie de la seule personne en qui il ait confiance, sa voisine, Karen. Tandis que les deux jeunes gens s’efforcent d’échapper à une armée de tueurs et d’agents gouvernementaux, Nathan réalise que sa seule chance de survivre – et de résoudre le mystère de sa véritable identité – est d’affronter la situation à sa façon…

Après avoir découvert qu’il a été adopté, un adolescent (Taylor Lautner) et son amie (Lily Collins) se font pourchasser par un sombre individu (Michael Nyqvist) et ses hommes de main, ainsi que par un agent du FBI (Alfred Molina) et son équipe. Qui a dit que faire la lumière sur son passé allait être simple?

«Abduction» est le premier véritable test pour Taylor Lautner. Est-ce que le loup-garou des romantiques possède l’étoffe des héros en incarnant les premiers rôles? Pas encore. Si le jeune homme n’a rien à envier à personne lorsqu’il enlève son chandail, que l’histoire le fait bien paraître auprès des femmes et qu’elle lui propose même quelques scènes musclées, le comédien n’a pas beaucoup de prestance. Son charisme est extrêmement limité, tout comme sa propension à puiser dans une large palette d’émotions. Il n’est pratiquement présent que pour rejoindre le public féminin.

Un scénario plus élaboré aurait pu faire oublier son charme extrêmement limité. Le scénario reprend classiquement et un peu n’importe comment les attributs d’un «Bourne Identity», «Hanna» et autres «Mission : Impossible» en cumulant les invraisemblances et les fautes de goût. Après une trop longue entrée en matière où il ne se passe presque rien, les dialogues ridicules se succèdent au tournant, tout comme les situations grotesques. Il faut pratiquement attendre les nombreuses séquences d’action – prévisibles mais assez bien huilées – pour finalement sortir de sa torpeur.

Entre deux ou trois rebondissements tirés par les cheveux et une finale qui ouvre grand la porte à une suite, les comédiens se débrouillent du mieux qu’ils peuvent. Tout comme son partenaire de jeu, Lily Collins est plus jolie que talentueuse. Sigourney Weaver disparaît vraiment trop tôt pour se faire valoir, Alfred Molina semble parfois mal à l’aise dans sa chemise beaucoup trop serrée pour lui et Michael Nyqvist (le gentil journaliste de la trilogie «Millenium») fronce les sourcils en assassin. En fait, les méchants sont faciles à reconnaître : ce sont tous ceux qui semblent crispés!

Malgré tout son bon vouloir, le réalisateur John Singleton (qui a signé l’excellent «Boyz’N the Hood» il y a de cela deux décennies… et plusieurs efforts oubliables depuis tels «2 Fast 2 Furious») vient d’accoucher d’un long métrage à numéro, complètement anonyme et générique. Il n’y a rien à retenir véritablement de cette série B, autrement que Taylor Lautner n’est pas encore prêt à faire un Bruce Willis ou un Tom Cruise de lui-même. Ah le menteur, et dire qu’il prétendait être capable de s’affranchir de son costume de lycanthrope!

Les + :

* Les scènes d’action satisferont les amateurs du genre
* La distribution secondaire est potable, Sigourney Weaver et Alfred Molina venant faire leurs petits numéros

Les – :

* Taylor Lautner fait pâle figure
* Les situations sont tellement invraisemblables qu’elles finissent par faire rire
* Le scénario est loin d’être «enlevant»
* La mise en scène manque de personnalité
* Dans ce type d’essai, les dialogues ont bien peu d’importance

Les thèmes : Action hero, cavale, fuite, fuir, chasse à l’homme, CIA, Combat, Bagarre, Castagne, course poursuite, nouvelle identité, relation parent enfant, seul contre tous etc…

Note : *****

Des combats d’arts martiaux très spectaculaires et une tragédie shakespearienne !
Malheureusement, ce film ne sera pas une légende du genre !
TRUE LEGEND
Action (01h54min) – Date de sortie : 28/09/2011
De Woo-Ping Yuen
Avec Vincent Zhao, Xun Zhou…

Général réputé de la dynastie Qing, Su Chan met fin à sa carrière militaire pour réaliser son rêve : fonder une famille et sa propre école d’arts martiaux. Mais sa paisible existence est réduite à néant quand Yuan Lie, son frère adoptif, exécute le père de Su Chan…

Bande-Annonce : TRUE LEGEND

 

Découvrez 5 courts-métrages d’animation Tchèque !
L’ATELIER ENCHANTE
Animation (00h39min) – Date de sortie : 28/09/2011
De Hermina Tyrlova
Film pour enfants à partir de 3 ans

L’atelier enchanté regroupe 5 courts-métrages d’animation.

Bande-Annonce : L’ATELIER ENCHANTE

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (0)

CINEBOOSTER TV

CINEBOOSTER RADIO

Cinebooster – audio

avril 2024
L M M J V S D
1234567
891011121314
15161718192021
22232425262728
2930  

CINEBOOSTER RADIO