Tag Archive | "Adaptation de Roman"

Critique Film Cinéma : “Hunger Games – L’embrasement” – Mercredi 27 novembre 2013

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma : “Hunger Games – L’embrasement” – Mercredi 27 novembre 2013


Critique Film Cinéma Mercredi 27 novembre 2013

Hunger Games 2 : La domination !
FILM HUNGER GAMES 2HUNGER GAMES – L’EMBRASEMENT
Action (02h26min) – Date de sortie : 27/11/2013
De Francis Lawrence
Avec Jennifer Lawrence, Liam Hemsworth…

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.

Katniss Everdeen est rentrée chez elle saine et sauve après avoir remporté la 74e édition des Hunger Games avec son partenaire Peeta Mellark. Puisqu’ils ont gagné, ils sont obligés de laisser une fois de plus leur famille et leurs amis pour partir faire la Tournée de la victoire…


Bande-Annonce : HUNGER GAMES – L’EMBRASEMENT

Critique Film : HUNGER GAMES – L’EMBRASEMENT de Francis Lawrence avec Jennifer Lawrence, Liam Hemsworth…

Par Franck DIPPA PRISO

Katniss Everdeen est rentrée chez elle saine et sauve après avoir remporté la 74e édition des Hunger Games avec son partenaire Peeta Mellark.
Puisqu’ils ont gagné, ils sont obligés de laisser une fois de plus leur famille et leurs amis pour partir faire la Tournée de la victoire dans tous les districts. Au fil de son voyage, Katniss sent que la révolte gronde, mais le Capitole exerce toujours un contrôle absolu sur les districts tandis que le Président Snow prépare la 75e édition des Hunger Games, les Jeux de l’Expiation – une compétition qui pourrait changer Panem à jamais…

Le film “Hunger Games “II” – L’embrasement” est bien peut-être même mieux que le premier volet.
Ce projet est à destination des adolescents et des jeunes adultes.
La tension dramatique est si grande qu’au bout de plus de 2 heures la fin surprend bien le spectateur.
La saga “Hunger Games” a un bel avenir devant elle.
L’amour (compliqué), l’espoir, l’humanité, la compassion et l’amitié (bizarre) sont les bonnes valeurs que Katniss partage aux spectateurs en héroïne idéale.

Le scénario est brillamment élaboré et contient des thèmes intelligents qui parlent aux adolescents de toutes les tranches d’âge.
C’est une histoire de combat, de bataille, de guerre contre une dictature représentée par une société nommée Panem.
Ce concept est judicieux et efficient.
Les épreuves ou les jeux sont grandioses et complexes. Le tout est bien expliqué dans des dialogues qui dynamisent l’ensemble avec l’action, ce qui évite une narration spatio-temporelle difficile à mettre en place.

Les projets cinématographiques “Hunger Games” sont souvent comparés au long-métrage Japonais “Battle Royale”.
Sauf que “Hunger Games” est bien plus édulcoré, bien plus doux que le saignant “Battle Royale”.
L’appel à la révolte est tout à fait évident il n’y a pas besoin d’en faire plus, d’être extrême pour faire passer le message. La violence la plus importante se décline sous différentes formes (pendaison, strangulation, et éviscération). Et l’effet émotionnel et dramatique est bien là.

Le réalisateur Francis Lawrence fait un très bon travail de réalisation.
Le plus gros problème du film “Hunger Games – L’embrasement” est la présence constante de la caméra “agitée” et mal gérée pendant les luttes et autres situations dangereuses.
Les décors sont remarquables.
Les costumes sont magnifiques.
Dans l’ensemble le jeu des acteurs est correct. sauf peut-être au début, Jennifer Lawrence semble surjouer un poil son rôle.

La fin est intéressante et captivante.
On ne devine pas facilement la fin.
Le suspense reste entier pour l’héroïne et les autres (ok, plus pour les autres).
De plus, il reste deux films à réaliser, ce qui promet des suites encore d’un autre niveau.

Le long-métrage “Hunger Games – L’embrasement” est un franc succès et je pense vous aurez hâte de vite découvrir les surprises des prochains chapitres.

Les + :

* L’histoire accrocheuse
* La tension dramatique forte
* Les beaux décors
* Les ravissants costumes
* L’action
* Le suspense

Les – :

* La caméra “épileptique”
* L’interprétation un peu exagérée de Jennifer Lawrence au début

Thèmes : Adaptation de roman, adolescent, adolescence, anticipation, futur, avenir proche, rébellion, sœurs, suite, sequel, triangle amoureux etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (0)

Critique Film Cinéma “Cogan : Killing Them Softly” Mercredi 05 décembre 2012

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma “Cogan : Killing Them Softly” Mercredi 05 décembre 2012


Critique Film Cinéma Mercredi 05 décembre 2012

Crise économique chez les bandits !
FILM-CINEMA-COGAN : KILLING THEM SOFTLYCOGAN : KILLING THEM SOFTLY
Thriller (01h37min) – Date de sortie : 05/12/2012
De Andrew Dominik
Avec Brad Pitt, Scott McNairy…
Interdit aux moins de 12 ans

Lorsqu’une partie de poker illégale est braquée, c’est tout le monde des bas-fonds de la pègre qui est menacé. Les caïds de la Mafia font appel à Jackie Cogan pour trouver les coupables.

Bande-Annonce : COGAN : KILLING THEM SOFTLY

Critique Film : COGAN : KILLING THEM SOFTLY de Andrew Dominik avec Brad Pitt, Scott McNairy…

Par Franck DIPPA PRISO

En pleine période électorale, deux petits criminels paumés braquent une partie de poker interlope organisée par la mafia et repartent avec l’argent. Ils deviennent immédiatement la cible des mafieux qui désirent se venger. Pour ce faire, ils engagent Jackie Coogan, un spécialiste qui travaille dans l’ombre. Il a tôt fait de repérer les coupables, mais il préférerait les éliminer doucement, sans émotions. Il fait donc appel à un tueur à gages, Mickey, qui a quelques problèmes personnels. Comme le temps presse, Jackie doit s’occuper personnellement des deux braqueurs et de leur commanditaire.

Le film « Cogan : killing Them Softly » d’Andrew Dominik est un « hymne » au capitalisme américain. C’est un thriller produit par Brad Pitt. C’est une adaptation du livre de George V. Higgins, « L’Art et la manière » de 1974. Tout se passe en 2008, suite à la victoire d’élection du président des Etats-Unis Barack Obama. Lors d’un vol et pendant une partie de Poker illicite, l’argent mis en jeu est dérobé sous la surveillance du responsable du lieu. On recrute l’homme de la situation Brad Pitt alias Jackie Cogan afin qu’il résolve le problème. Les thèmes de ce projet sont le capitalisme et les gangsters.

La crise financière a sans aucun doute influencé le réalisateur. Il n’y a qu’à se rappeler l’histoire de notre société et la finance de ses dernières années et vite faire le rapprochement avec le récit du long-métrage. Il faut donc voir au-delà du polar, et de la vengeance de la mafia. Pour Andrew Dominik l’univers des malfrats, des banquiers et de la finance sont similaires. Les gangsters riches misent leur argent sale au poker comme les traders sur les marchés de la bourse. Si un braquage survient dans leur repaire et que toute leur combine est stoppée on peut comparer ça à la crise financière américaines des subprimes qui a secoué le cercle de la finance et le monde.

Le metteur en scène est encore plus incisif en montrant Brad Pitt en tueur compatissant puis la minute d’après en exécuteur complètement froid, direct et sans pitié en réalité. Cette attitude hypocrite est exactement la même que celle d’un banquier qui va être désolé de voir un client ruiné mais qui va quand même l’achever par la suite en hypothéquant son bien (une maison par exemple). Le jeu de mot du titre original « killing Them Softly ou Tue-les en douce » est bien un révélateur trompeur.
Sous l’angle d’un simple polar c’est limite et un peu ennuyeux mais les personnages sont bons (une bande d’ordures attachante), les dialogues aussi et l’intrigue tient la route.

Le réalisateur Andrew Dominik est presqu’un second Quentin Tarantino dans l’ensemble de son travail sauf que lui n’arrive pas à casser les codes du polar et donc n’innove pas.
On s’attend à beaucoup d’action mais hélas ce long-métrage est très lent et sombre. C’est malgré tout un bon film psychologique et de suspense un peu dans la veine de la franchise Ocean’s
Le premier degré de ce film va en général décevoir. Le second degré sous son aspect politico-financière fera plus apprécier le film avec le temps.

Les + :

* Le deuxième axe (plus profond et plus critique sur notre société) politico-financier

Les – :

* Le conformisme du réalisateur Andrew Dominik dans les codes du polar

Thèmes : Adaptation de roman, argent, Assassin, Tueur, Meurtrier, Criminel, braquage, hold up, braqueur, mafia, pègre, massacre, tuerie, poker, traque, tueur à gages etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (0)

Critique Film Cinéma “Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2ème partie” Mercredi 14 Novembre 2012

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma “Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2ème partie” Mercredi 14 Novembre 2012


Critique Film Cinéma Mercredi 14 Novembre 2012

La 2ème partie de Twilight – Chapitre 5 suite et fin est pitoyable !
TWILIGHT – CHAPITRE 5 : REVELATION 2EME PARTIE
Fantastique (01h55min) – Date de sortie : 14/11/2012
De Bill Condon
Avec Kristen Stewart, Robert Pattinson…

Après la naissance de sa fille Renesmée, Bella s’adapte peu à peu à sa nouvelle vie de vampire avec le soutien d’Edward. Se sentant menacés par cette naissance d’un nouveau genre, les Volturi déclarent la guerre à la famille Cullen.

Bande-Annonce : TWILIGHT – CHAPITRE 5 : REVELATION 2EME PARTIE

Critique Film : TWILIGHT – CHAPITRE 5 : REVELATION 2EME PARTIE de Bill Condon avec Kristen Stewart, Robert Pattinson…

Par Franck DIPPA PRISO

Après la naissance de sa fille Renesmée, Bella s’adapte peu à peu à sa nouvelle vie de vampire avec le soutien d’Edward. Se sentant menacés par cette naissance d’un nouveau genre, les Volturi déclarent la guerre à la famille Cullen. Pour préparer leur défense, les Cullen vont parcourir le monde pour rassembler les familles de vampires alliées et tenter de repousser les Volturi lors d’un ultime affrontement.

Ouf ! C’est bien la fin de la saga Twilight (l’une des plus grosses machines à “fric” de l’industrie du cinéma après Harry Potter par exemple).
Réalisons que tout tenait seulement sur un principe basique, les hésitations et les décisions d’amour et d’amitié entre une humaine, un vampire et un loup-garou pendant 608 minutes en cinq films. Honnêtement quelle “escroquerie” non ?!
Depuis cinq ans cette caricature basée sur un fantasme féminin fantastico-satanique n’a jamais vraiment trouvée d’inspiration pour briller.
C’est une évidence, les effets spéciaux (souvent semblables à ceux de films de petits budgets), la mélo-romance, l’arsenal de stéréotypes, la touche d’humour etc. n’arrivent pas à transférer atmosphère d’imagination des livres de Stephenie Meyer au cinéma. Quand la matière manque que peut-on faire ? Rien, pas grand chose je pense sauf tenter “de noyer le poisson”.

Ce dernier film de Twilight 5 partie 2 est une comédie voir même une grosse farce.
Le récit est plus que léger.
On assiste à la révélation et à la naissance de pouvoirs “magiques” utiles et complémentaires entre vampires inconnus au bataillon sans justifications.
Cependant, cela apporte une curiosité et un divertissement qui est la valeur ajoutée du film.
Il faut également noter l’incohérence la plus totale en ce qui concerne Mackenzie Foy alias Renesmée Cullen l’enfant de Kristen Stewart alias Bella Cullen et Robert Pattinson alias Edward Cullen.
La grande question est-elle une progéniture immortelle ? Chose interdite dans la loi des vampires car ils sont incontrôlables.
Pourquoi les Voturi (les vampires royaux) vont s’attaquer sans vérification aux Cullen afin de détruire Renesmee l’enfant spécial né d’un père vampire et d’une mère encore humaine dans Twilight 5 partie 1 ?
La seule raison est tout simplement de vouloir émoustiller les spectatrices avec des artifices comme Taylor Lautner alias Jacob Black torse nu, des têtes arrachées, un retournement de la narration peu crédible.
L’intrigue entière repose sur un petit quiproquo.
Renesmée est-elle un danger pour toute la race des vampires ?

Les effets spéciaux sont aberrants (c’est les pires de la franchise).
Le bébé est moche et ridicule.
Renesmée est probablement le résultat de manipulations informatiques ratées et surréalistes.
C’est aussi le cas pour les courses de vampires.
Ne parlons même pas du combat final, qui est bizarre, étrange.
C’est une besogne expédiée.
Pour quelle raison Bella, une vampire nouvellement née est plus forte physiquement que des vampires plus vieux (voir le bras de fer culte avec Kellan Lutz alias Emmett Cullen) ?

Afin de toucher tous les âges et tous les styles de personnes on nous sert une palette de vampires divers.
Il y a une réelle affirmation de la bénédiction biblique par rapport aux relations sexuelles du couple dans le cadre du mariage, et Bella et Edward Cullen en profite clairement.

Bill Condon, le réalisateur a une mission difficile.
Il peut tenter de faire illusion mais la réalité le rattrape toujours.
On ne peut pas faire de miracle avec si peu de matière.
Et l’univers d’un livre n’est toujours facile à transposer au cinéma.
C’est donc déjà joué d’avance.
Malgré toute la difficulté, cela n’empêche pas de trouver une astuce, un subterfuge pour générer un jackpot (2,5 milliards de $ au box-office international sur 4 films).

Les + :

* Les différents pouvoirs des vampires
* Les valeurs divines, bibliques sur le mariage et chasteté

Les – :

* Beaucoup d’incohérences (réalisation, interprétation, récit…)
* Effets spéciaux ratés
* Scène finale loupée et décevante
* “Pompe à fric”

Thèmes : Adaptation de roman, bataille, champ de bataille, Diptyque, Famille, relation familiale, films en 3D – en relief, loup-garou, passion amoureuse, fougue, portrait de couple, relation de couple, suite, sequel, triangle amoureux, vampires etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (0)

Critique Film Cinéma “Hunger Games” Mercredi 21 Mars 2012

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma “Hunger Games” Mercredi 21 Mars 2012


Critique Film Cinéma Mercredi 21 Mars 2012

Le téléréalité des survivants futurs !
HUNGER GAMES
Action (02h22min) – Date de sortie : 21/03/2012
De Gary Ross
Avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson…
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

Dans le futur, le gouvernement fédéral des USA exige de chacun de ses 12 districts qu’il envoie un jeune garçon et une jeune fille pour participer aux Hunger Games, un combat à mort retransmis en direct à la télévision.

Bande-Annonce : HUNGER GAMES

Critique Film : HUNGER GAMES de Gary Ross avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

“The Hunger Games” est l’adaptation cinématographique du livre best-seller du même nom. Suzanne Collins est l’auteur de cette trilogie à succès.
Il est évident que “The Hunger Games” veut surfer sur la vague teen sensation comme “Harry Potter” et “Twilight”.
Ce film n’est pas exceptionnel mais il se regarde bien sans problème. C’est un divertissement correct.

Dans un monde contre-utopique, les humains sont isolés dans 12 districts. Une fois par an, des garçons et des filles de 12 et 18 ans doivent se battre entre eux ans un univers mi-réel et mi-virtuel. Une seule personne peut remportée cette compétition mortelle. Katniss alias Jennifer Lawrence est l’élue du district 12. C’est une as de l’arc et des flèches, elle est par conséquent l’une des favorites.

Chaque année, dans les ruines de ce qui était autrefois l’Amérique du Nord, le Capitole, l’impitoyable capitale de la nation de Panem, oblige chacun de ses douze districts à envoyer un garçon et une fille – les “Tributs” – concourir aux Hunger Games. A la fois sanction contre la population pour s’être rebellée et stratégie d’intimidation de la part du gouvernement, les Hunger Games sont un événement télévisé national au cours duquel les tributs doivent s’affronter jusqu’à la mort. L’unique survivant est déclaré vainqueur.
La jeune Katniss, 16 ans, se porte volontaire pour prendre la place de sa jeune sœur dans la compétition. Elle se retrouve face à des adversaires surentraînés qui se sont préparés toute leur vie. Elle a pour seuls atouts son instinct et un mentor, Haymitch Abernathy alias Woody Harrelson, qui gagna les Hunger Games il y a des années mais n’est plus désormais qu’une épave alcoolique. Pour espérer pouvoir revenir un jour chez elle, Katniss va devoir, une fois dans l’arène, faire des choix impossibles entre la survie et son humanité, entre la vie et l’amour…

Si vous aimez les films du genre “Battle Royale” (pour cerains “Hunger Games” est une copie conforme voir même un plagiat de “Battle Royale”), “Death Race” ou “The Running Man” ce long-métrage (avec un peu moins de testostérones) est pour vous.

A l’ère de la téléréalité et du rêve de célébrité toujours grandissant ce projet jette bien un pavé dans la marre.
La compétition du superficielle est bien accentuée et dénoncée.
Ce projet propose une critique sociale claire.
Nous sommes bien là au cœur d’une société ayant un système Big Brother.
Les caméras sont partout, et elles sont alimentées par un spectacle orchestré de toute pièce.
Il n’y a plus d’espoir et de liberté.
Même la contestation n’existe plus.
L’Etat mène une politique presque dictatoriale.
Il est aisé de comparer ce gouvernement aux nôtres tant la répression est de plus en plus présente un peu partout.

Cette œuvre n’est pas un court écrit satirique.
Il s’agit plus d’une bonne distraction, brutale sans trop être féroce. Les notions de confiance, de découverte du potentiel, d’apprentissage, d’adaptation, les leçons, et les morales sont assez classiques.

La hardiesse de la comédienne Jennifer Lawrence est remarquable.
Elle a ici enfin un rôle dans un blockbuster qui va la faire connaître du grand public.
Les autres acteurs comme Woody Harrelson, Donald Shuterland, Lenny Kravitz, Stanley Tucci… sont bons même si leurs personnages manquent de caractère.

La réalisation de Gary Ross (“Pleasantville”) est nerveuse.
La musique est plaisante et elle est signée James Newton Howard. Le film “The Hunger Games” est un mix inhabituel d’action et de catastrophes sociales, saupoudré d’une histoire d’amour tout à fait superflue.
Le résultat est audacieux, et un peu gros, malgré tout l’ensemble n’est pas pénible à regarder, loin de là. Attendons donc les deux prochaines suites.

Les + :

* Ce film est un blockbuster u.s avec un message moral et social
* L’actrice Jennifer Lawrence sort du lot dans ce casting de haut vol
* La mise en scène est compétente efficace cependant les affrontements sont désordonnés
* Il y a beaucoup d’action, un peu d’humour, de l’affection et une histoire d’amour.

Les – :

* La première partie du long-métrage est un peu longue
* Les dialogues sont souvent pauvres
* La critique sociale n’est pas approfondie

Les thèmes : Adaptation de roman, Adolescent, adolescence, amour contrarié, amour impossible, anticipation, Futur, avenir proche, Chanteurs et chanteuses au cinéma, série, Combat, Bagarre, Castagne, compétition, tournoi, couteaux et armes blanches, entraînement, entraîneur et coach, forêt, Survival, tir à l’arc et flèches etc.

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (2)

Critique Film Cinéma “Twilight – Chapitre 4 : Révélation 1ère partie” Mercredi 16 Novembre 2011

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma “Twilight – Chapitre 4 : Révélation 1ère partie” Mercredi 16 Novembre 2011


Critique Film Cinéma Mercredi 16 Novembre 2011

Supense, amour, mariage, duels et le sort final de Bella et de sa grossesse sont au programme de la 1ère partie du chapitre final de la saga “Twilight” au cinéma !

TWILIGHT – CHAPITRE 4 : REVELATION 1ERE PARTIE
Fantastique (01h57min) – Date de sortie : 16/11/2011
De Bill Condon
Avec Robert Pattinson, Kristen Stewart…

Bella a fait son choix : elle s’apprête à épouser Edward. Mais le jeune homme honorera-t-il sa part du marché ? Acceptera-t-il de la transformer en vampire et de la voir renoncer à sa vie humaine ?

Bande-Annonce : TWILIGHT – CHAPITRE 4 : REVELATION 1ERE PARTIE

Critique : TWILIGHT – CHAPITRE 4 : REVELATION 1ERE PARTIE de Bill Condon avec Robert Pattinson, Kristen Stewart…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

La suite de la célèbre saga vampirique “Twilight – Chapitre 4 : Révélation 1ère Partie” est la presque fin de l’adaptation cinématographique des livres à succès de Stephenie Meyer du même nom. Ici les sujets abordés sont : le mariage, la lune de miel et la grossesse (attention accouchement à la fin un peu gore), tant attendu de Kristen Stewart alias Bella Swan avec son amoureux Robert Pattinson alias Edward Cullen le vampire (à la grande déception de Taylor Lautner alias Jacob Black le prétendant loup), et la compétition entre les vampires et les loups.
Dans cette histoire, il y a beaucoup d’amour, de sentiments humains, et la réalisation sonne juste.

Bella a fait son choix : elle s’apprête à épouser Edward. Mais le jeune homme honorera-t-il sa part du marché ? Acceptera-t-il de la transformer en vampire et de la voir renoncer à sa vie humaine ?

Après le somptueux mariage d’Edward et Bella, pendant les noces la jeune mariée tombe déjà enceinte (loi surnaturelle oblige) et quelque chose se développe dans son ventre. Ils doivent donc rentrer chez les Cullen de toute urgence.
Tout naturellement, avec ses nouvelles données le traité de trêve entre les vampires et les loups est donc violé.
Un affrontement terrible s’annonce (Jacob le loup rebelle devra choisir son camp) entre les vampires et les loups.

Depuis le départ de cette série le public est grandement satisfait mais demeure très exigeant et en demande toujours plus.

Les fans de “Twilight – Chapitre 4 : Révélation 1ère Partie” vont certainement aimer l’action même terre à terre de cette œuvre. Elle est enveloppée d’un romantisme volontairement arriéré et exagéré car l’humour est l’arme secrète qui décomplexe joyeusement le tout afin que cela soit plus que digeste.

La dimension de ce film de mythe fantastique est assez traditionnelle, on passe du dramatique à l’héroïque toutefois pour offrir un final grandiose.

Le jeu d’acteur est irrégulier.
Les dialogues sont grotesques.
La réalisation du cinéaste Bill Condon (exemple de référence filmographique “Dreamgirls”) sauve le tout grâce à des plans fignolés et aboutis. Il était temps qu’un réalisateur de son calibre se penche sur “Twilight”.
Ainsi le montage est cohérent et sans oublier la direction artistique, les effets spéciaux, le maquillage etc…
Une atmosphère pesante se dégage à cause des mauvais rêves de Bella.
Ce qui apporte au long-métrage une valeur ajoutée intéressante en terme de suspense.
La musique de Carter Burwell (“Twilight” 1) n’est pas toujours efficace mais la mayonnaise finit par prendre dans l’ensemble.

L’amateur de cinéma qui ne supporte déjà pas cette franchise ne va sûrement toujours pas l’apprécier plus.
Ce quatrième opus n’est pas souvent plausible et l’interprétation des comédiens est régulièrement loupée.
Il faut quand même noter un certain effort indéniable sur le point artistique.
C’est parfois gros (romance lourde et personnages puériles), mais étrangement le résultat final fonctionne.
Même s’il ne se passe pas grand chose, on sourit, et on se laisse prendre par des petits ingrédients, des petits moments de grâce.
Car nous sommes tous pareils au final, parfois il suffit de pas grand chose pour nous émouvoir.

Les + :

* La réalisation et mise en scène
* Le montage, la direction artistique, le maquillage, les effets spéciaux (3D) etc…
* Les scènes des mauvais rêves et flashback
* L’humour dans l’histoire
* Il fallait au moins ça pour le chapitre 2 de “Twilight” mais c’est seulement dans ce volet que la maturité arrive

Les – :

* Certains acteurs sont bons d’autres pas du tout
* Les dialogues sont risibles
* La première partie du film est assez longue
* Tout est exagéré

Les thèmes : Accouchement,
adaptation de roman, Cérémonie, Mariage, Mariés, Diptyque, Femme enceinte, grossesse, loup-garou, passion amoureuse, fougue, suite,sequel, triangle amoureux, vampires, voyage de noces, lune de miel etc…

Note : *****

Un film historique, politique et diplomatique
Poignant ! Dérangeant !

L’ORDRE ET LA MORALE
Action (02h16min) – Date de sortie : 16/11/2011
De Mathieu Kassovitz
Avec Mathieu Kassovitz, Iabe Lapacas…

Avril 1988, Île d’Ouvéa, Nouvelle-Calédonie. 30 gendarmes retenus en otage par un groupe d’indépendantistes Kanak. 300 militaires envoyés depuis la France pour rétablir l’ordre. 2 hommes face à face : Philippe Legorjus, capitaine du GIGN et Alphonse Dianou, chef des preneurs d’otages.

Bande-Annonce : L’ORDRE ET LA MORALE

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (0)

Critique Film Cinéma “Killer Elite” Mercredi 26 Octobre 2011

Tags: , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Critique Film Cinéma “Killer Elite” Mercredi 26 Octobre 2011


Critique Film Cinéma Mercredi 26 Octobre 2011

C’est un film de brutes divertissant mais sans caractère avec un casting *** étoiles pour un résultat * étoile !

KILLER ELITE
Thriller (01h57min) – Date de sortie : 26/10/2011
De Gary McKendry
Avec Jason Statham, Clive Owen, Robert De Niro…
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

Basée sur des faits réels, l’histoire suit un groupe d’anciens membres des forces spéciales britanniques pourchassé par des assassins. Afin de sauver son meilleur ami, un ancien de la navy est contraint de mettre un terme à sa retraite.

Bande-Annonce : KILLER ELITE

Critique : KILLER ELITE de Gary McKendry avec Jason Statham, Clive Owen, Robert De Niro…

Par Franck Olivier DIPPA PRISO

Des acteurs connus comme Jason Statham, Clive Owen et Robert De Niro s’éclatent la gueule dans «Killer Elite», un film d’action longuet qui aurait pu être beaucoup plus intéressant s’il avait davantage épousé la réalité.

Pour sauver Hunter, son ancien partenaire et mentor, Danny accepte de reprendre du service et de reformer son équipe. Mais celui qui était l’un des meilleurs agents des forces spéciales va cette fois affronter sa mission la plus périlleuse. Pour réussir, il va devoir percer les secrets d’une des unités militaires les plus redoutées qui soit, le SAS britannique. De doubles jeux en trahisons, il va découvrir un complot qui menace le monde et ce pour quoi il s’est

Afin de sauver son mentor (Robert De Niro), un mercenaire (Jason Statham) doit assassiner trois hommes dangereux. Il est pris en grippe par un agent spécial (Clive Owen) qui tente de l’éliminer.

Au départ ce récit est inspiré d’un livre de Ranulph Fiennes qui se serait basé sur sa propre histoire de vie. On sent que beaucoup de choses se passent en périphérie. L’errance et la vengeance d’un homme qui ne peut plus aller dans son pays, l’implication du Royaume-Uni dans des magouilles, la quête éternelle du pétrole et l’abandon d’anciens soldats qui sont livrés à eux-mêmes. Le tout se déroulant dans les années 1980, une décennie marquée par la guerre et la crise économique.

Rien de tout cela n’apparaît réellement à l’écran. Le réalisateur et scénariste Gary McKendry a sacrifié ces nombreux thèmes importants au profit de l’action. Les scènes explosives sont nombreuses et omniprésentes, saoulant tout au long des deux heures de jeu. Aucune séquence musclée n’est réellement digne d’intérêt (malgré que la mise en scène soit compétente) et le cinéaste a senti le besoin d’enrober ce mélange improbable entre «The Specialist» et «James Bond» par une amourette indigeste qui plombe le rythme.

Prioriser les états d’âme de Jason Statham était également une erreur. Bien que le comédien soit en meilleure forme que dans l’ennuyant remake «The Mechanic», il sera toujours condamné à être le Bruce Willis des pauvres. L’interprète n’arrive pas à amener à son personnage de l’émotion, ce qui rend l’attachement du spectateur complètement inopérant. Pourquoi ne pas avoir priorisé Clive Owen qui possède beaucoup plus de charisme? Entre ces deux hommes se trouve un Robert De Niro qui fait son possible pour s’extirper de ses simagrées habituelles, y arrivant envers et contre tous.

Effort très moyen qui satisfera tout de même les amateurs du genre, «Killer Elite» se contente de bien peu pour en mettre plein la vue. Il y a bien un ou deux moments de réelle tension mais ils sont rapidement court-circuités par une série de répétitions qui retarde inutilement l’intrigue. Au lieu d’un suspense à la «Syriana», le cinéphile se retrouve avec une fausse série B qui se prend terriblement au sérieux. L’écart est énorme.

Les + :

* Quelques endroits rappellent que le tout aurait pu être si dantesque (surtout avec le sujet en place)
* Les prestations de Clive Owen et de Robert De Niro
* Cette réalisation assurée

Les – :

* L’action qui prend le dessus sur les situations et les personnages
* Tous ces thèmes qui sont à peine effleurés
* Le fait de prioriser le destin de Jason Statham qui offre une performance monolithique
* L’essai traîne en longueur et il est redondant

Les thèmes : Action hero, adaptation de roman, amitié, Armes à feu, Combat, Bagarre, Castagne, course poursuite, enlèvement et kidnapping, explosion, explosifs, inspiré d’une histoire vraie, premier film etc…

Note : *****

La Rédaction de CinéBooster

Posted in CinéBooster Presse, Critiques Films Cinéma, Photos, VidéosCommentaires (0)

CINEBOOSTER TV

CINEBOOSTER RADIO

Cinebooster – audio

avril 2024
L M M J V S D
1234567
891011121314
15161718192021
22232425262728
2930  

CINEBOOSTER RADIO